Ariane Moffat
Le Théâtre des Grands Bois présente

Ariane Moffat

Événement en personne
26 octobre 2019
21h00 / Entrée: 19h30

415 rue Tessier Est, Saint-Casimir, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Les Grands Bois - Arts et Spectacles à info@lesgrandsbois.com.

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Gratuité pour les enfants
Aucune gratuité
Accès pour personnes à mobilité réduite
Non
Gratuité pour l'accompagnateur
Non

Stationnement disponible à la salle, à l'église ainsi que dans les rues du village. Merci de bien vous stationner sans bloquer de rues ou d'entrées.

Ariane Moffat

Auteure évocatrice, musicienne versatile, activiste et maman à temps plein, Ariane Moffatt demeure depuis ses débuts une des figures les plus présentes, créatives et appréciées du milieu de la musique québécois. L'histoire débute en 2002 avec Aquanaute, un premier album sans prétention, porté par une jeune Ariane Moffatt à la plume expressive et à la voix clair-obscur. En plus d'être sacrée Révélation de l'Année au Gala de l'ADISQ 2003, elle remporte les Félix d'Album pop-rock Réalisation de l'année pour son premier disque. En 2005, Moffatt sort Le coeur dans la tête, un album présentant de nouvelles chansons aux sonorités électros, incluant notamment la contagieuse Montréal. L'album permet d'ajouter deux Félix à sa collection, dont celui d'Interprète féminine de l'année. Au studio comme un poisson dans l'eau, elle se révèle aussi être une artiste de scène qui donne sans compter. Cette énergie contagieuse sera d'ailleurs croquée sur le vif par le DVD Ariane Moffatt à la Station C la même année. En 2008, place à Tous les sens, un parfait cocktail de groove et de refrains qui sera bientôt salué par la critique et lui vaudra de nombreux prix dont quatre Félix, le Juno de l'Album francophone de l'année; un Grand Prix de l'Académie Charles Cros et une nomination aux Victoires de la musique, dans la catégorie Révélation scène de l'année. Elle interprètera d'ailleurs le succès Je veux tout lors du gala parisien, diffusé sur France 2. Dans la foulée, elle confie les titres de l'album à des artistes technos montréalais, qui en proposeront des relectures sous le titre Tous les sens – remix. Ariane Moffatt se plaît à apparaître là où on l'attend moins. En 2010, elle reprenait une série de chansons anglophones marquantes pour la série télé Trauma (SRC), revisitant très librement Leonard Cohen, Tom Waits, R.E.M et plusieurs autres. Deux ans plus tard, on accueille MA, un album bilingue qui marie l'organique et la sensualité dont la version scénique a fait un malheur depuis les quatre coins du Québec jusqu'au festival South by Southwest, au Texas. L'année suivante, elle raconte son parcours dans un livre-bilan, d'iMAges & réflexions. L'auteure-compositeure-interprète poursuit sa trajectoire en 2015 avec 22h22, un disque de pop onirique, où l'intime rencontre le monde, réalisé en complicité avec Jean-Phi Goncalves. 22h22 sera couronné Album pop de l'année au Gala de L'ADISQ et Ariane Moffatt sacrée Interprète féminine de l'année, refermant ainsi une année entre parenthèses, durant laquelle elle a d'abord joué son rôle de jeune maman. Pour marquer les 15 ans de l'arrivée de son premier album, Ariane Moffatt effectue une sorte de retour aux sources, alors qu'elle présente Le petit spectacle, Live à la Chapelle, où elle s'entoure de quelques instruments afin d'interpréter ses chansons les plus appréciées dans une formule minimaliste, intime et toujours enveloppante. À l'automne 2018, Ariane Moffatt propose Petites mains précieuses, un album chaleureux et sensuel qu'elle qualifie depuis ses premières maquettes de « neo-seventies ». Pour ce sixième opus entièrement écrit et composé par elle, Ariane a choisi de faire équipe avec le chevronné Philippe Brault à la réalisation. Ses chansons, toujours plus assumées, abordent des sujets féminins et féministes dans une perspective aussi intime qu'universelle.

Laurence-Anne

Née dans un pays imaginaire —ou peut-être dans sa tête—, Laurence-Anne existe au milieu de tout et de rien, évoluant quelque part entre le rose carnivore des fleurs et le bleu noyade du fleuve. Établie à Montréal il y a on ne sait trop quand, c’est en 2017 que la kamouraskoise se fait d’abord découvrir du public de la métropole, alors que la jeune retraitée du crime désorganisé se faufile jusqu’en grande finale des Francouvertes. Paraîtront (puis disparaîtront) au cours des mois suivants quelques chansons magnifiques et tragiques, lesquelles laissent déjà deviner toute la force du prock-mystère/mini-rock de la jeune flamme. La création d’un premier album complet s’entame alors dès l’année suivante. Sorti en février 2019, “Première apparition” est une collection de nouvelles compositions aux parfums toujours aussi singuliers, où chaque pièce nous apparaît comme une toile de clair-obscur aux contours flous. Car c’est ici, quelque part entre les tensions et les textures, les images et les sensations, la fragilité et la force enveloppante de sa voix, que Laurence-Anne nous attend toujours, camouflée dans ce qu’il y a de plus beau et de plus mystérieux. Une étrangère familiarité.

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