fréQuenCes/vidéomusique
Erreur de type 27 présente

fréQuenCes/vidéomusique

Événement en personne
25 novembre 2016
20h00 – 10h30 / Entrée: 19h00

591, rue de Saint-Vallier Est, Québec, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter E27 musiques nouvelles à info@e27musiquesnouvelles.com.

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Erreur de type 27 (E27) propose fréQuenCes/vidéomusique le 25 novembre 2016 à la salle multi du complexe méduse. Chaque année depuis 2014, E27 propose son événement annuel présentant les musiques nouvelles de type acousmatique (électroniques, électroacoustiques et mixtes).

Pour cette troisième édition de fréQuenCes, Herman Kolgen et Louis Dufort sont invités à présenter un style émergent de la musique acousmatique : la vidéomusique. Il s’agit d’une forme hybride combinant la composition simultanée de musique électroacoustique et de l’image présentée sur des écrans immenses et grâce à des systèmes de son de fine pointe, le résultat de ces performances est à couper le souffle.

Les œuvres présentées :

Deux créations (Louis Dufort)
AfterShock et SEISKMIK (Herman Kolgen)

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Erreur de type 27 (E27) propose fréQuenCes/vidéomusique le 25 novembre 2016 à la salle multi du complexe méduse. Chaque année depuis 2014, E27 propose son événement annuel présentant les musiques nouvelles de type acousmatique (électroniques, électroacoustiques et mixtes).

Pour cette troisième édition de fréQuenCes, Herman Kolgen et Louis Dufort sont invités à présenter un style émergent de la musique acousmatique : la vidéomusique. Il s’agit d’une forme hybride combinant la composition simultanée de musique électroacoustique et de l’image présentée sur des écrans immenses et grâce à des systèmes de son de fine pointe, le résultat de ces performances est à couper le souffle.

Les œuvres présentées :

Deux créations (Louis Dufort)
AfterShock et SEISKMIK (Herman Kolgen)

Louis Dufort

Le compositeur montréalais Louis Dufort propose une musique qui oscille entre un expressionnisme à tendance cathartique, surtout dans ses premières œuvres, et un organicisme où l’accent est plutôt mis sur la structure intrinsèque du matériau sonore dans ses œuvres plus récentes.

Ayant d’abord développé son style par la voie de l’électroacoustique, il s’est rapidement ouvert aussi aux musiques mixte et multimédia, attirant ainsi l’attention d’organismes montréalais extrêmement variés tels que la Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ), l’Ensemble contemporain de Montréal (ECM+), le quatuor de saxophones Quasar et le Quatuor Bozzini, l’Ensemble de flûtes Alizé, Réseaux, l’Association pour la création et la recherche électroacoustiques du Québec (ACREQ), puis Chants libres, pour qui il composait en 2005 la musique de l’opéra L’Archange (remis à l’affiche en 2008).

Il recevait en 2007 des commandes de la Société Radio-Canada (SRC) et de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC) pour un «remix» vidéo et un «remix» acousmatique sur Glenn Gould, créés à l’occasion du 75e anniversaire de naissance du célèbre pianiste.
Parallèlement, le parcours de Louis Dufort est fortement marqué par des collaborations avec le milieu de la danse, principalement auprès de la Compagnie Marie Chouinard avec qui il travaille sur une base régulière depuis 1996.

Dès le début des années 2000, la carrière du compositeur a connu un véritable essor sur le plan international. Il obtenait en 2001 une mention dans le cadre du Prix Ars Electronica (Autriche), collaborait avec le Zentrum für Kunst und Medientechnologie (ZKM) en 2005 (Allemagne), puis le Recombinant Media Labs (RML) en 2007 (San Francisco), sans compter l’immense succès remporté par certains projets avec Marie Chouinard à l’étranger (notamment Body_Remix, créé à la Biennale de Venise, 2005).

Parallèlement à son travail de créateur, Louis Dufort siège sur les comités artistiques du festival Élektra et de la SMCQ, en plus d’enseigner au Conservatoire de musique de Montréal.

Source : Noémie Pascal (electrocd.com)

Herman Kolgen

Artiste multidisciplinaire reconnu depuis plus vingt ans pour ses créations en arts médiatiques, herman kolgen vit et travaille à montréal. Véritable sculpteur audiocinétique, il tire son matériau premier de la relation intime entre le son et l’image. Kolgen travaille à créer des objets qui prennent la forme d’installations, d’oeuvres vidéos et filmiques, de performances et de sculptures sonores. En exploration constante, il travaille à la croisée de différents médias, élaborant ainsi un nouveau langage technique et un esthétique singulier.

L’impact du territoire sur les humains est au centre même de ses préoccupations. Les tensions brutes qui en résultent de même que l’interaction des éléments entre eux constituent l’épicentre de sa démarche. Son travail protéiforme est, entre autres, caractérisé par une approche radiographique. C’est l’effet rayon-x, dans sa qualité d’immatérialité, qui permet alors de donner à voir l’invisible.

Combinée, associée au numérique et à l’électronique à travers un travail d’une extrême sensibilité, son approche est alors détournée vers des formes hybrides. Sa pratique de l’installation intègre également un important travail de spatialisation, notamment au niveau sonore. La conception et l’utilisation de systèmes aléatoires d’auto-génération du son et de l’image permet ainsi de créer des espaces sonores particularisés par leur qualité immersive.

Les oeuvres de herman kolgen ont été présentés entre autres à la biennale de venise, ars electronica, la transmediale de berlin, isea, au centre georges pompidou, sonic-acts, london bfi, dissonanze, mutek, elektra, sonar, tapei digital arts, shanghai e-arts. Il a également performé avec l’ensemble intercontemporain de paris et la philharmonique de los angeles. Herman kolgen est récipiendaire de plusieurs prix prestigieux dont ars electronica, qwartz, best experimental film award du independant film festival de new york et los angeles. De 1996 à 2008, il consacre la majeure partie de son temps au duo skoltz_ kolgen.