Le Festival à deux têtes : Passe journalière 16 août
Diffusion culturelle SBDL présente

Le Festival à deux têtes : Passe journalière 16 août

Événement en personne
16 août 2024
18h00 – 23h45 / Entrée: 17h30
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Diffusion culturelle SBDL à mtherrrien@dcsbdl.ca.

Achat de billets

Passe journalière du 16 août pour le Festival à deux têtes : Lydia Képinski, Beyries et YOCTO

Remboursements
Aucun remboursement
Échanges
Aucun échange
Gratuité pour les enfants
Gratuit pour les 14 ans et moins
Vérification des disponibilités en cours...

Passe journalière du 16 août pour le Festival à deux têtes : Lydia Képinski, Beyries et YOCTO

Remboursements
Aucun remboursement
Échanges
Aucun échange
Gratuité pour les enfants
Gratuit pour les 14 ans et moins

Sur la scène Montellier de l'Espace festif et sur la scène Desjardins situées au 1 rue du Couvent, Sainte-Brigitte-de-Laval, G0A 3K0.

Gratuit

Lydia Képinski

Biographie

Après de longues années de refus dans tous les concours possibles, Lydia Képinski lance en 2016 un EP

sobrement baptisé EP avant de remporter la quasi-totalité des prix en concours aux Francouvertes.

Un premier album Premier juin paru au début de l’été 2018 sous l’étiquette Chivi Chivi la porte un peu

partout sur les scènes du Québec et de la France. Cet opus reçoit un accueil à la hauteur de son audace,

tant de la critique des professionnels que d’un public toujours plus nombreux à se masser aux pieds de la

prophète milléniale. En plus de figurer sur la longue liste du prestigieux Prix de Musique Polaris, elle

remporte la catégorie «Album Pop de l’année» au Gala GAMIQ, le Prix André-« Dédé"

-Fortin (émergence)

au Gala SPACQ et décroche 6 nominations au Gala ADISQ dont «Révélation de l’année», «Album de

l’année – Alternatif» et «Album de l’année – Choix de la critique». Dans le même souffle, Lydia Képinski

présente le spectacle immersif et historique Sadenight au Cinéma L’Amour à Montréal qu’elle rend

disponible en intégralité sur Internet.

La Montréalaise émerge au printemps 2022 avec un deuxième chapitre de onze titres ficelé avec Blaise

Borboën-Léonard à la réalisation. Depuis est la trame narrative de tout ce qui s’est passé depuis l’opus

précédent. Résolument plus pop, cet album est un mélange foisonnant de références autobiographiques et

d’aventures émancipatrices qui traitent des vertiges de l’identité en se réfugiant dans l’Histoire et une

facture littéraire qui emprunte souvent à la mythologie.

Les portes du succès s’ouvrent toutes grandes devant cette voix aussi fragile qu’invincible de la chanson

québécoise. Parions qu’un jour, on saura écrire son nom correctement.

www.lydiakepinski.com

Beyries

Biographie

Le chemin qui a conduit Amélie Beyries à se révéler comme autrice-compositrice-interprète est tout sauf

banal. Jeune, la Montréalaise apprend à plaquer ses premiers accords de piano en autodidacte, sur le

Heintzman de 1923 de sa grand-mère maternelle, et baigne dans un milieu ouvert sur la culture. À

l’adolescence, elle se met à la guitare et écrit des chansons en dilettante, sans penser à en faire une

carrière pour autant.

Après des études en communications, Amélie Beyries travaille en restauration, en relations publiques et en

cinéma. Un cancer, apparu à la fin de la vingtaine, puis une récidive viennent bouleverser sa trajectoire et

rebrasser les cartes. Amélie trouve refuge dans la musique et signe une première chanson, la touchante

Soldier, qui parle du courage de dire non et de s’écouter, suivie d’autres créations.

Encouragée par Emmanuelle Girard, son amie et bientôt gérante, Amélie décide de faire écouter les

maquettes de ses chansons profondément personnelles à des amis de l’industrie, mais à une condition :

que ce soit fait sous le couvert de l’anonymat. Le talentueux Alex McMahon, conquis par ce qu’il entend,

accepte volontiers de réaliser les chansons de l’artiste qui, à la scène, devient BEYRIES (se prononce bé-

riss). Son premier album, Landing, paraît en 2017.

Réunissant des pièces apaisantes et sensibles aux accents folk et pop, le recueil est accueilli

chaleureusement. Landing est nommé dans les catégories Album de l’année – Anglophone (2017) et

Spectacle de l’année à l’ADISQ (2018), tandis que BEYRIES reçoit le prix André « Dédé » Fortin de la

fondation de la Société professionnelle des auteurs et des compositeurs du Québec en 2018.

Après avoir présenté son premier spectacle à vie en 2016, en première partie de Martha Wainwright, où elle

apprend à brancher sa guitare dans un ampli, BEYRIES est invitée à se produire partout au Québec,

ailleurs au Canada, en Angleterre, en France, en Allemagne et en Turquie. Elle compose la musique de la

chanson thème de la saison 2017 de La vraie nature, intitulée Au-delà des mots, sur des paroles du

comédien Maxime Le Flaguais. L’année suivante, elle propose un EP de six titres en français, dont une

version toute personnelle du classique Si j’étais un homme, de Diane Tell. Ses reprises émaillent des

productions destinées au petit écran, dont Je pars à l’autre bout du monde (Unité 9), J’aurai cent ans

(District 31), en duo avec Louis-Jean Cormier, et To Love Somebody (Grey’s Anatomy).

À nouveau réalisé par Alex McMahon, Encounter, son deuxième long jeu, paraît en 2020 et aborde

l’autodécouverte à travers la musique, la vie de tournée et les rencontres, car, pour BEYRIES, la musique

est une façon de bâtir des ponts et d’établir des connexions.

À l’été 2023, BEYRIES revient avec le simple What About Hiding, coécrit et produit par l’Américain Aben

Eubanks (Kelly Clarkson, Ariana Grande), et son adaptation française Seule sans toi, signée par l’auteur-

compositeur-interprète Doriand (Mika). Au même moment, BEYRIES prépare un premier album complet

en français pour 2024, Du feu dans les lilas, à paraître sur sa nouvelle étiquette, Audiogram. Elle en confie

la réalisation à Joseph Marchand (Pierre Lapointe, Forêt), un musicien dont elle admire la sensibilité. Pour

l’écriture des textes, la musicienne fait une fois de plus appel à la plume poétique de son complice Maxime

Le Flaguais.

BEYRIES accumule à ce jour près de 30 millions d’écoutes sur les plateformes de diffusion en continu.

Guidée par son instinct, elle poursuit sa route en semant sur son passage des chansons emplies

d’humanité.

beyriesmusic.com

YOCTO

Biographie

MICRO UNITÉ DE MESURE

Déjà complices au sein d’IDALG, Jean-Michel Coutu et Yuki Berthiaume-Tremblay planchent depuis un

moment sur du nouveau matériel duquel émerge une identité distincte : les échos d’un post punk exotica,

la trame polychrome et nerveuse d’un space opera de facture art rock. YOCTO, outre le nom donné à ce

nouveau projet, c’est une micro-unité de mesure qui reflète bien cette musique mini-cyclique et

fractionnaire tirant son ADN du rock underground de la mi-70’s (Television /Talking Heads / Devo) et des

génériques de feuilletons sci-fi de la même époque.

LE GROUPE

Figures de proue de cette formation, Yuki Berthiaume-Tremblay (Jesuslesfilles, IDALG) entonne des

hymnes de rébellion aux côtés de Jean-Michel Coutu (IDALG) à la guitare, Emmanuel Éthier (Chocolat) à

la basse, Félix-Antoine Coutu à la batterie et Carl Matthieu Neher au v-orgue.

CELLE QUI NARGUE L’ANTAGONISTE MÉGALO

Le premier album Zepta Supernova — coréalisé par Emmanuel Éthier (Corridor, Pierre Lapointe, P’tit

Belliveau) et Jean-Michel Coutu (Jesuslesfilles, CRABE, PYPY) — fera son arrivée au printemps 2023

sous l’étiquette canadienne Duprince et le label français Requiem pour un Twister. Une odyssée incisive

où il est question d’obsession fatale, d’orgueil pernicieux, d’astre enchaîné et de jugement dernier. Dans

cette série de fables sciences-fictions, Yocto s’adresse à un antagoniste complètement mégaloman. Ce

dernier a une prédisposition à se complaire dans ses propres vices — ce que Yocto a bien compris et dont

elle fera bon usage : de par sa ruse et sa pure ingéniosité, elle mettra à mal son rival jusqu’à ce que la

bonne étoile de celui-ci devienne supernova.

www.ambiancesambigues.com/nos-artistes/yocto

Événements à venir