Hippie Hourrah
Le Zaricot présente

Hippie Hourrah

Événement en personne
8 avril 2023
20h00 – 22h00 / Entrée: 18h00

1460, rue des Cascades, Saint-Hyacinthe, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Le Zaricot à billetterie@lezaricot.com.

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À bien des égards, c’est la musique que l’on entend parfois après s’être cogné la tête. Un mandala de sons vaporeux. Comme pour les mots que l’on tente de lire en rêve, quelque chose nous échappe : une lettre en moins, en trop, à l’envers, inconnue, incongrue. Ici, les certitudes se fracassent en éclats de doutes : guitare ou cithare ; moderne ou ancien ; fruit de l’orfèvrerie ou bien du hasard ? « Hippie Hourrah » était cette chanson que Jacques Dutronc avait écrite pour se moquer des enfleurés qui essaimaient dans ses plates-bandes. Caustique morceau de vertige à s’envoyer à 45 rpm ou sur cube de sucre. Échappé de la bouche de ce dernier – un fumeur de havane ne la ferme jamais -, le mot s’est fait chair, a pris corps, roulant d’une fange à une autre dans le marécage éthylique des soirées, petit bonheur caché sous des haillons de lumière et quelques barbes. On lui promettait mondes et merveilles. Puis les murs ont avalé le soleil.

Tout est allé très vite, ensuite. Ils étaient trois, quatre, cinq ou plus, Cédric Marinelli, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert. Il y avait des fleurs et de la fumée, aussi des basses et des synthés. Il y avait ce chanteur en posture de l’arbre, croisé autrefois en costume d’Adam (d’après la Chute) au sein des Marinellis. Il y avait ces Jésus des Bermudes, trouvés chez Anemone et Elephant Stone, et leur Golgotha de réverbérations. Et rien sur scène ne sonnait réellement comme ce que l’on y voyait. C’était comme si ce mot que l’on peinait à lire en rêve s’était offert un orchestre de chambre pour chanter ses louanges dans un bourdonnement de chœurs psychédéliques, répétant un mantra à l’envers. Et dans la voûte céleste, un écho résonnait : Hippie Hourrah, Hippie Hourrah…

Première Partie : Vincent Khouni (solo)
Leader du groupe de rock garage montréalais Double Date with Death (DDWD), Vincent Khouni décide de partir à l’aventure en solitaire, telle une bouteille à la mer, pour créer des morceaux plus personnels.


Portes: 18h
Spectacle: 20h

Remboursements
Aucun remboursement
Échanges
Aucun échange
Gratuité pour les enfants
Gratuit pour les 10 ans et moins
Accès pour personnes à mobilité réduite
Oui
Gratuité pour l'accompagnateur
Oui
Vérification des disponibilités en cours...

À bien des égards, c’est la musique que l’on entend parfois après s’être cogné la tête. Un mandala de sons vaporeux. Comme pour les mots que l’on tente de lire en rêve, quelque chose nous échappe : une lettre en moins, en trop, à l’envers, inconnue, incongrue. Ici, les certitudes se fracassent en éclats de doutes : guitare ou cithare ; moderne ou ancien ; fruit de l’orfèvrerie ou bien du hasard ? « Hippie Hourrah » était cette chanson que Jacques Dutronc avait écrite pour se moquer des enfleurés qui essaimaient dans ses plates-bandes. Caustique morceau de vertige à s’envoyer à 45 rpm ou sur cube de sucre. Échappé de la bouche de ce dernier – un fumeur de havane ne la ferme jamais -, le mot s’est fait chair, a pris corps, roulant d’une fange à une autre dans le marécage éthylique des soirées, petit bonheur caché sous des haillons de lumière et quelques barbes. On lui promettait mondes et merveilles. Puis les murs ont avalé le soleil.

Tout est allé très vite, ensuite. Ils étaient trois, quatre, cinq ou plus, Cédric Marinelli, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert. Il y avait des fleurs et de la fumée, aussi des basses et des synthés. Il y avait ce chanteur en posture de l’arbre, croisé autrefois en costume d’Adam (d’après la Chute) au sein des Marinellis. Il y avait ces Jésus des Bermudes, trouvés chez Anemone et Elephant Stone, et leur Golgotha de réverbérations. Et rien sur scène ne sonnait réellement comme ce que l’on y voyait. C’était comme si ce mot que l’on peinait à lire en rêve s’était offert un orchestre de chambre pour chanter ses louanges dans un bourdonnement de chœurs psychédéliques, répétant un mantra à l’envers. Et dans la voûte céleste, un écho résonnait : Hippie Hourrah, Hippie Hourrah…

Première Partie : Vincent Khouni (solo)
Leader du groupe de rock garage montréalais Double Date with Death (DDWD), Vincent Khouni décide de partir à l’aventure en solitaire, telle une bouteille à la mer, pour créer des morceaux plus personnels.


Portes: 18h
Spectacle: 20h

Remboursements
Aucun remboursement
Échanges
Aucun échange
Gratuité pour les enfants
Gratuit pour les 10 ans et moins
Accès pour personnes à mobilité réduite
Oui
Gratuité pour l'accompagnateur
Oui

Heures d'ouverture

Dimanche
11h00 – 1h00
Lundi
11h00 – 1h00
Mardi
11h00 – 1h00
Mercredi
11h00 – 1h00
Jeudi
11h00 – 3h00
Vendredi
11h00 – 3h00
Samedi
11h00 – 3h00

Hippie Hourrah

À bien des égards, c’est la musique que l’on entend parfois après s’être cogné la tête. Un mandala de sons vaporeux. Comme pour les mots que l’on tente de lire en rêve, quelque chose nous échappe : une lettre en moins, en trop, à l’envers, inconnue, incongrue. Ici, les certitudes se fracassent en éclats de doutes : guitare ou cithare ; moderne ou ancien ; fruit de l’orfèvrerie ou bien du hasard ? « Hippie Hourrah » était cette chanson que Jacques Dutronc avait écrite pour se moquer des enfleurés qui essaimaient dans ses plates-bandes. Caustique morceau de vertige à s’envoyer à 45 rpm ou sur cube de sucre. Échappé de la bouche de ce dernier – un fumeur de havane ne la ferme jamais -, le mot s’est fait chair, a pris corps, roulant d’une fange à une autre dans le marécage éthylique des soirées, petit bonheur caché sous des haillons de lumière et quelques barbes. On lui promettait mondes et merveilles. Puis les murs ont avalé le soleil.

Tout est allé très vite, ensuite. Ils étaient trois, quatre, cinq ou plus, Cédric Marinelli, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert. Il y avait des fleurs et de la fumée, aussi des basses et des synthés. Il y avait ce chanteur en posture de l’arbre, croisé autrefois en costume d’Adam (d’après la Chute) au sein des Marinellis. Il y avait ces Jésus des Bermudes, trouvés chez Anemone et Elephant Stone, et leur Golgotha de réverbérations. Et rien sur scène ne sonnait réellement comme ce que l’on y voyait. C’était comme si ce mot que l’on peinait à lire en rêve s’était offert un orchestre de chambre pour chanter ses louanges dans un bourdonnement de chœurs psychédéliques, répétant un mantra à l’envers. Et dans la voûte céleste, un écho résonnait : Hippie Hourrah, Hippie Hourrah…

hippiehourrah.ca/?fbclid=IwAR3bAUmKcMLVPOxLxWaKHP4sG-zw5ABQRgytejL8n-r-v2Nwly3QG2zgQ4U

Vincent Khouni (solo)

Leader du groupe de rock garage montréalais Double Date with Death (DDWD), Vincent Khouni décide de partir à l’aventure en solitaire, telle une bouteille à la mer, pour créer des morceaux plus personnels.

Avec le multi-instrumentiste Emmanuel Alias (ALIAS) à la batterie et à la direction musicale, Patrick Gosselin (Le Couleur) à la basse et pedal steel puis Guillaume Chiasson (Ponctuation, Jesus les Filles, Bon Enfant) à l’enregistrement, Vincent Khouni propose une aventure musicale située quelque part entre 1968 et 1970.

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