Entre poésie vagabonde et rythmes métissés, la soirée promet un voyage vibrant aux couleurs du monde. « Labess contient de la vitamine B, celle du bonheur ! » disait France Inter en 2024, et c’est bien cette énergie solaire que Nedjim Bouizzoul et le percussionniste québéco-marocain Kattam, feront rayonner sur scène. Vingt ans après ses débuts montréalais, le chanteur algéro-québécois, désormais installé en Bretagne, revient là où tout a commencé. Après un Olympia de Paris complet pour célébrer vingt ans de carrière et cinq albums, Labess continue de faire danser les frontières avec son gypsy-chaâbi aux accents du Maghreb et de l’Europe de l’Est. Portée par sa voix éraillée et habitée, sa musique célèbre la liberté, les racines et l’espoir, un condensé d’humanité, festif et plein de tendresse. Son dernier opus, Dima libre, est sorti en 2024.

Pour ouvrir la soirée, une rencontre exceptionnelle et précieuse : la chanteuse et guitariste Raphaëlle Toulemonde, autrice-compositrice venue du Sud-Ouest de la France, partagera la scène avec Labess pour un moment complice. Sa chanson française raconte les sons de ses voyages, et pleine de sincérité et d’émotion, trouve un écho rare dans l’univers de Labess.

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