Swing

Swing

Événement en personne
10 mai 2024
21h00 – 23h00 / Entrée: 20h00

58 rue Meadow, Sherbrooke, QC, Canada
Lepointdevente.com agit à titre de mandataire pour La Petite Boîte Noire dans le cadre de l’affichage en ligne et la vente de billets pour ses événements.
Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, La Petite Boîte Noire, à lapbnoire@gmail.com.

Achat de billets

Dans un monde moderne, toujours pressé, où le futur est fantasmé, où le passé se voit régulièrement idéalisé, une vie peut-elle encore se conjuguer au présent ? Cette question aux multiples solutions s’infiltre dans les moindres recoins du premier album de Swing. Avec "Au revoir Siméon", le rappeur bruxellois délivre une œuvre personnelle et sans concession. Exercice introspectif, hautement addictif, cet enregistrement offre une photographie de l’instant : un panorama émotionnel pris sur le vif, au plus près des sentiments.

Après dix ans passés au sein du collectif L’Or du Commun, Swing s’affirme en solitaire via cet album providentiel. Confronté au temps qui passe, l’artiste mesure le chemin parcouru et entrevoit désormais de nouveaux horizons. Enregistré au printemps 2022, en compagnie du producteur Crayon (Ichon, FKJ), "Au revoir Siméon" est une ode à la résilience, une quête initiatique, mais aussi un rite de passage. Épaulé par les talentueux Prince Waly ("Un seul ciel") et YG Pablo ("Reykjavik"), Swing met sa plume au service d’une musique audacieuse. Entre R’n’B en lévitation ("2:22"), influx de house ou de techno minimale ("Mafia"), il esquisse des alternatives et s’invente d’autres façons de chanter. Lancé en éclaireur, le single "Maladresse" témoigne parfaitement de ce changement de paradigme.

Dressé sur les ruines d’une romance délabrée, Swing se reconstruit ici à travers une série de chansons réparatrices. Tel un écho au surréalisme, "Magritte" revient ainsi, avec à-propos, sur cette période irréelle.

En quatorze titres, assortis de passion et d’authenticité, Swing surmonte ses désillusions avec un goût retrouvé pour le réel, le vrai. Carpe diem. Tel est le message suggéré au cœur d’un interlude singulier : un conseil paternel délivré, sans complaisance, au détour d’une conversation téléphonique. Dans une époque qui oscille dangereusement entre futur espéré et passé recomposé, nostalgie intensive et projections utopiques, Swing choisit de vivre au présent. Sa meilleure vie. Assurément.

Vérification des disponibilités en cours...

Dans un monde moderne, toujours pressé, où le futur est fantasmé, où le passé se voit régulièrement idéalisé, une vie peut-elle encore se conjuguer au présent ? Cette question aux multiples solutions s’infiltre dans les moindres recoins du premier album de Swing. Avec "Au revoir Siméon", le rappeur bruxellois délivre une œuvre personnelle et sans concession. Exercice introspectif, hautement addictif, cet enregistrement offre une photographie de l’instant : un panorama émotionnel pris sur le vif, au plus près des sentiments.

Après dix ans passés au sein du collectif L’Or du Commun, Swing s’affirme en solitaire via cet album providentiel. Confronté au temps qui passe, l’artiste mesure le chemin parcouru et entrevoit désormais de nouveaux horizons. Enregistré au printemps 2022, en compagnie du producteur Crayon (Ichon, FKJ), "Au revoir Siméon" est une ode à la résilience, une quête initiatique, mais aussi un rite de passage. Épaulé par les talentueux Prince Waly ("Un seul ciel") et YG Pablo ("Reykjavik"), Swing met sa plume au service d’une musique audacieuse. Entre R’n’B en lévitation ("2:22"), influx de house ou de techno minimale ("Mafia"), il esquisse des alternatives et s’invente d’autres façons de chanter. Lancé en éclaireur, le single "Maladresse" témoigne parfaitement de ce changement de paradigme.

Dressé sur les ruines d’une romance délabrée, Swing se reconstruit ici à travers une série de chansons réparatrices. Tel un écho au surréalisme, "Magritte" revient ainsi, avec à-propos, sur cette période irréelle.

En quatorze titres, assortis de passion et d’authenticité, Swing surmonte ses désillusions avec un goût retrouvé pour le réel, le vrai. Carpe diem. Tel est le message suggéré au cœur d’un interlude singulier : un conseil paternel délivré, sans complaisance, au détour d’une conversation téléphonique. Dans une époque qui oscille dangereusement entre futur espéré et passé recomposé, nostalgie intensive et projections utopiques, Swing choisit de vivre au présent. Sa meilleure vie. Assurément.

Swing

Dans un monde moderne, toujours pressé, où le futur est fantasmé, où le passé se voit régulièrement idéalisé, une vie peut-elle encore se conjuguer au présent ? Cette question aux multiples solutions s’infiltre dans les moindres recoins du premier album de Swing. Avec "Au revoir Siméon", le rappeur bruxellois délivre une œuvre personnelle et sans concession. Exercice introspectif, hautement addictif, cet enregistrement offre une photographie de l’instant : un panorama émotionnel pris sur le vif, au plus près des sentiments.

Après dix ans passés au sein du collectif L’Or du Commun, Swing s’affirme en solitaire via cet album providentiel. Confronté au temps qui passe, l’artiste mesure le chemin parcouru et entrevoit désormais de nouveaux horizons. Enregistré au printemps 2022, en compagnie du producteur Crayon (Ichon, FKJ), "Au revoir Siméon" est une ode à la résilience, une quête initiatique, mais aussi un rite de passage. Épaulé par les talentueux Prince Waly ("Un seul ciel") et YG Pablo ("Reykjavik"), Swing met sa plume au service d’une musique audacieuse. Entre R’n’B en lévitation ("2:22"), influx de house ou de techno minimale ("Mafia"), il esquisse des alternatives et s’invente d’autres façons de chanter. Lancé en éclaireur, le single "Maladresse" témoigne parfaitement de ce changement de paradigme.

Dressé sur les ruines d’une romance délabrée, Swing se reconstruit ici à travers une série de chansons réparatrices. Tel un écho au surréalisme, "Magritte" revient ainsi, avec à-propos, sur cette période irréelle.

En quatorze titres, assortis de passion et d’authenticité, Swing surmonte ses désillusions avec un goût retrouvé pour le réel, le vrai. Carpe diem. Tel est le message suggéré au cœur d’un interlude singulier : un conseil paternel délivré, sans complaisance, au détour d’une conversation téléphonique. Dans une époque qui oscille dangereusement entre futur espéré et passé recomposé, nostalgie intensive et projections utopiques, Swing choisit de vivre au présent. Sa meilleure vie. Assurément.

Événements à venir