The Sacred Veil - Eric Whitacre
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Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, Ensemble vocal À ContreVoix, à ensembleacontrevoix@gmail.com.
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Direction musicale Marc-Olivier Lacroix
Pianiste Justine Brasseur-Masse
Violoncelliste Dominique Beauséjour-Ostiguy
En 2005, le poète Charles Anthony Silvestri, ami de longue date et collaborateur régulier d’Eric Whitacre, a perdu sa femme, décédée à 36 ans d’un cancer des ovaires. Ce n’est qu’une dizaine d’années plus tard qu’il s’est senti prêt à parler de ce qu’il avait vécu, à retourner creuser dans sa douleur et dans sa quête subséquente de paix intérieure. Il a écrit un poème, un jour, et l’a laissé sur le piano de Whitacre alors qu’il était de passage chez lui. Ce dernier a immédiatement commencé à le mettre en musique. Les douze mouvements de The Sacred Veil découlent de ce choc :
guidé par l’amitié fraternelle et par la sensibilité artistique du compositeur, Silvestri s’est attelé à la tâche de raconter son histoire d’amour et de chagrin à l’aide d’une mosaïque de textes, auxquels se joignent des écrits de sa défunte épouse – messages, entrées de journal, éclats d’humour et d’angoisse –, des extraits de dossiers médicaux et deux poèmes signés par Whitacre lui-même. Il s’agit là de l’œuvre la plus longue du compositeur, et, pour les deux hommes, de la plus intensément personnelle. Écrite pour chœur, piano et violoncelle, parfois simple et mélodique, parfois très complexe, la partition musicale est une sorte de requiem qui épouse chacune des phrases et des émotions de la partition écrite –attentif aux mots et à ce qu’ils portent, le compositeur nous suggère d’ailleurs de lire le livret pendant l’écoute.
Direction musicale Marc-Olivier Lacroix
Pianiste Justine Brasseur-Masse
Violoncelliste Dominique Beauséjour-Ostiguy
En 2005, le poète Charles Anthony Silvestri, ami de longue date et collaborateur régulier d’Eric Whitacre, a perdu sa femme, décédée à 36 ans d’un cancer des ovaires. Ce n’est qu’une dizaine d’années plus tard qu’il s’est senti prêt à parler de ce qu’il avait vécu, à retourner creuser dans sa douleur et dans sa quête subséquente de paix intérieure. Il a écrit un poème, un jour, et l’a laissé sur le piano de Whitacre alors qu’il était de passage chez lui. Ce dernier a immédiatement commencé à le mettre en musique. Les douze mouvements de The Sacred Veil découlent de ce choc :
guidé par l’amitié fraternelle et par la sensibilité artistique du compositeur, Silvestri s’est attelé à la tâche de raconter son histoire d’amour et de chagrin à l’aide d’une mosaïque de textes, auxquels se joignent des écrits de sa défunte épouse – messages, entrées de journal, éclats d’humour et d’angoisse –, des extraits de dossiers médicaux et deux poèmes signés par Whitacre lui-même. Il s’agit là de l’œuvre la plus longue du compositeur, et, pour les deux hommes, de la plus intensément personnelle. Écrite pour chœur, piano et violoncelle, parfois simple et mélodique, parfois très complexe, la partition musicale est une sorte de requiem qui épouse chacune des phrases et des émotions de la partition écrite –attentif aux mots et à ce qu’ils portent, le compositeur nous suggère d’ailleurs de lire le livret pendant l’écoute.