Bar Farouk
Festival du Monde Arabe de Montréal présente

Bar Farouk

Événement virtuel
Du 19 novembre au 10 décembre 2020
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Festival du Monde Arabe de Montréal à fma@festivalarabe.com.

Achat de billets

En première canadienne / En diffusion exclusive pour le 21e FMA
(Liban)

À travers une dynamique qui ne connait aucun répit, des artistes en liesse perpétuelle qui nous entrainent dans un tourbillon d’émotions, d’airs enfiévrés et d’énergie folle, ce musical de haute voltige a marqué les âmes et les esprits des spectateurs et a réussi à les téléporter dans la Beyrouth glorieuse d’antan, des années 30 à 70, une ville bouillonnante à l’avant-garde de la scène culturelle et artistique de tout le monde arabe.

Bar Farouk n'est pas seulement un spectacle qui met de l’avant le théâtre populaire et le cabaret musical de l’époque, « c'est un moment suspendu dans le temps où, à la manière des Frères Lumière et du premier cinématographe, des photos s'animent en toile de fond et font revivre la capitale libanaise. Beyrouth au temps de Sahet al-Bourj ou de Hamra la rouge, Beyrouth la trépidante et l'intrépide, à la pointe de l'aube et au crépuscule avec ses arômes, ses saveurs, son odeur qui sent bon le « sous », le « jellab » ou le narguilé. Beyrouth avec ses « abadayes » et ses femmes de petite vertu, mais aux grandes vertus. Beyrouth qu'on aime conjuguer au féminin car elle est amoureuse, joyeuse, délurée, mutine et gamine, mais également nourricière comme une femme. C'est cette ville-là qui défile en filigrane à travers des portraits musicaux et dansants. Des années rococo (années 30) aux années hippie (1970), les artistes rendent hommage aux musiciens, compositeurs, danseurs et chanteurs qui ont écrit les belles pages de l'histoire de la ville [avant la guerre civile] : Sabah, Omar el-Zeeni, Philémon Wehbé, Chouchou ou Férial Karim » (Colette Khalaf, L’Orient-Le-Jour).

 Avec Bar Farouk, ce spectacle musical qui a fait fureur au Festival de Beiteddine en 2015 et qui continue d’être présenté depuis plus de cinq ans sur la scène de Metro Al Madina, le directeur artistique Hicham Jaber, secondé par Ziad al-Ahmadieh pour les arrangements musicaux, ont relevé le défi de transmettre à toutes les générations confondues - au-delà des clivages politiques, confessionnels ou sociaux  - l’âme et la vitalité de l’âge d’or de Beyrouth. Une vingtaine d’artistes – entre chanteurs, danseurs, artistes visuels et créateurs de costumes d’époque et d’un décor vintage brillamment conçu – ont œuvré de concert pour restituer la magie des cafés chantants et dansants d’antan tout en unissant les Libanais autour de cette mémoire collective qui ébranle le plus profond des âmes. Une expérience sensorielle, onirique et revitalisante, à l’énergie plus que contagieuse, et qui est maintenant – plus que jamais – nécessaire à reconstruire cette ville qui renaît pour la 8e fois de ses cendres…   

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En première canadienne / En diffusion exclusive pour le 21e FMA
(Liban)

À travers une dynamique qui ne connait aucun répit, des artistes en liesse perpétuelle qui nous entrainent dans un tourbillon d’émotions, d’airs enfiévrés et d’énergie folle, ce musical de haute voltige a marqué les âmes et les esprits des spectateurs et a réussi à les téléporter dans la Beyrouth glorieuse d’antan, des années 30 à 70, une ville bouillonnante à l’avant-garde de la scène culturelle et artistique de tout le monde arabe.

Bar Farouk n'est pas seulement un spectacle qui met de l’avant le théâtre populaire et le cabaret musical de l’époque, « c'est un moment suspendu dans le temps où, à la manière des Frères Lumière et du premier cinématographe, des photos s'animent en toile de fond et font revivre la capitale libanaise. Beyrouth au temps de Sahet al-Bourj ou de Hamra la rouge, Beyrouth la trépidante et l'intrépide, à la pointe de l'aube et au crépuscule avec ses arômes, ses saveurs, son odeur qui sent bon le « sous », le « jellab » ou le narguilé. Beyrouth avec ses « abadayes » et ses femmes de petite vertu, mais aux grandes vertus. Beyrouth qu'on aime conjuguer au féminin car elle est amoureuse, joyeuse, délurée, mutine et gamine, mais également nourricière comme une femme. C'est cette ville-là qui défile en filigrane à travers des portraits musicaux et dansants. Des années rococo (années 30) aux années hippie (1970), les artistes rendent hommage aux musiciens, compositeurs, danseurs et chanteurs qui ont écrit les belles pages de l'histoire de la ville [avant la guerre civile] : Sabah, Omar el-Zeeni, Philémon Wehbé, Chouchou ou Férial Karim » (Colette Khalaf, L’Orient-Le-Jour).

 Avec Bar Farouk, ce spectacle musical qui a fait fureur au Festival de Beiteddine en 2015 et qui continue d’être présenté depuis plus de cinq ans sur la scène de Metro Al Madina, le directeur artistique Hicham Jaber, secondé par Ziad al-Ahmadieh pour les arrangements musicaux, ont relevé le défi de transmettre à toutes les générations confondues - au-delà des clivages politiques, confessionnels ou sociaux  - l’âme et la vitalité de l’âge d’or de Beyrouth. Une vingtaine d’artistes – entre chanteurs, danseurs, artistes visuels et créateurs de costumes d’époque et d’un décor vintage brillamment conçu – ont œuvré de concert pour restituer la magie des cafés chantants et dansants d’antan tout en unissant les Libanais autour de cette mémoire collective qui ébranle le plus profond des âmes. Une expérience sensorielle, onirique et revitalisante, à l’énergie plus que contagieuse, et qui est maintenant – plus que jamais – nécessaire à reconstruire cette ville qui renaît pour la 8e fois de ses cendres…   

L’âge d’or des nuits de Beyrouth des années 30 à 70