Drogue
Partagez cet événement
Achat de billets
Admission générale. Les places assises seront attribuées lors de votre arrivée conformément aux normes de distanciation physique exigées par la Santé Publique. Masque de procédure obligatoire lors des déplacements dans la salle. Service de bar disponible sur place.
* Conformément aux exigences de la Santé Publique, vous devrez présenter une preuve de vaccination numérique ou papier (code QR) + une pièce d'identité avec photo à l'entrée. À défaut d'avoir reçu votre 2ème dose depuis au moins 7 jours, l'accès vous sera refusé.
*********************************************************************
Première partie assurée par Blendeur Blues
C’est par ennui de mettre trop de guitares et trop d’amplis dans un truck pour aller jouer trop fort quelque part que la formation Drogue apparaît. Amis de longue date, Stéphane Papillon et Jean-Sébastien Chouinard (XLarge) avaient envie de ramener le rock énergique, revendicateur et explosif dans un paysage où le style a pris une tangente un peu plus cérébrale depuis quelques années. C’est ainsi en invitant Pierre Fortin (Les Dales Hawerchuk) à se joindre à l’exaltation que le groupe décide de se parker au studio Tone Bender pour travailler sur ce qui deviendra son premier EP éponyme. Fortement inspirée des Hives, des Sonics et d’Iggy Pop avec son rock décapant, la formation sature ses guitares autant que possible avant d’envoyer quelques esquisses à Ludwig Wax (Le Nombre, Démolition) qui viendra compléter le cocktail. Le chanteur, bien connu pour ses prestations scéniques déchaînées et téméraires, collabore avec Jean-Philippe Roy (Secrétaires Volantes, Le Nombre) pour l’écriture des textes de ce premier EP sur un ton désinvolte, corrosif et dadaïste. Comme un détonateur prêt à exploser ou à partir de tout côté, Drogue c’est une force de frappe, une critique sociale, de l’entertainment pur et brut qui arrache tout. C’est un mirage, une forte hallucination, une maladie incurable. C’est le rock fort, trop fort qui fait se coucher trop tard, qui provoque des convulsions, qui s’assure qu’on ne retient pas la leçon et que ça recommencera.
- Remboursements
- Aucun remboursement
- Accès pour personnes à mobilité réduite
- Oui
- Gratuité pour l'accompagnateur
- Oui
Admission générale. Les places assises seront attribuées lors de votre arrivée conformément aux normes de distanciation physique exigées par la Santé Publique. Masque de procédure obligatoire lors des déplacements dans la salle. Service de bar disponible sur place.
* Conformément aux exigences de la Santé Publique, vous devrez présenter une preuve de vaccination numérique ou papier (code QR) + une pièce d'identité avec photo à l'entrée. À défaut d'avoir reçu votre 2ème dose depuis au moins 7 jours, l'accès vous sera refusé.
*********************************************************************
Première partie assurée par Blendeur Blues
C’est par ennui de mettre trop de guitares et trop d’amplis dans un truck pour aller jouer trop fort quelque part que la formation Drogue apparaît. Amis de longue date, Stéphane Papillon et Jean-Sébastien Chouinard (XLarge) avaient envie de ramener le rock énergique, revendicateur et explosif dans un paysage où le style a pris une tangente un peu plus cérébrale depuis quelques années. C’est ainsi en invitant Pierre Fortin (Les Dales Hawerchuk) à se joindre à l’exaltation que le groupe décide de se parker au studio Tone Bender pour travailler sur ce qui deviendra son premier EP éponyme. Fortement inspirée des Hives, des Sonics et d’Iggy Pop avec son rock décapant, la formation sature ses guitares autant que possible avant d’envoyer quelques esquisses à Ludwig Wax (Le Nombre, Démolition) qui viendra compléter le cocktail. Le chanteur, bien connu pour ses prestations scéniques déchaînées et téméraires, collabore avec Jean-Philippe Roy (Secrétaires Volantes, Le Nombre) pour l’écriture des textes de ce premier EP sur un ton désinvolte, corrosif et dadaïste. Comme un détonateur prêt à exploser ou à partir de tout côté, Drogue c’est une force de frappe, une critique sociale, de l’entertainment pur et brut qui arrache tout. C’est un mirage, une forte hallucination, une maladie incurable. C’est le rock fort, trop fort qui fait se coucher trop tard, qui provoque des convulsions, qui s’assure qu’on ne retient pas la leçon et que ça recommencera.
- Remboursements
- Aucun remboursement
- Accès pour personnes à mobilité réduite
- Oui
- Gratuité pour l'accompagnateur
- Oui
La salle de spectacle est située à l'Église Saint-Antoine au 1351 rue Notre-Dame à Lavaltrie.
Le stationnement de l’église, situé à l’intersection des rues Notre-Dame
et Saint-Antoine Nord, et le stationnement de l'hôtel de Ville sont mis à votre disposition gratuitement. En cas de débordement, le stationnement situé à l’arrière de la Maison des contes et légendes (1251, rue Notre-Dame) demeure accessible via la rue Benoit.
Heures d'ouverture
Drogue
C’est par ennui de mettre trop de guitares et trop d’amplis dans un truck pour aller jouer trop fort quelque part que la formation Drogue apparaît. Amis de longue date, Stéphane Papillon et Jean-Sébastien Chouinard (XLarge) avaient envie de ramener le rock énergique, revendicateur et explosif dans un paysage où le style a pris une tangente un peu plus cérébrale depuis quelques années. C’est ainsi en invitant Pierre Fortin (Les Dales Hawerchuk) à se joindre à l’exaltation que le groupe décide de se parker au studio Tone Bender pour travailler sur ce qui deviendra son premier EP éponyme. Fortement inspirée des Hives, des Sonics et d’Iggy Pop avec son rock décapant, la formation sature ses guitares autant que possible avant d’envoyer quelques esquisses à Ludwig Wax (Le Nombre, Démolition) qui viendra compléter le cocktail. Le chanteur, bien connu pour ses prestations scéniques déchaînées et téméraires, collabore avec JeanPhilippe Roy (Secrétaires Volantes, Le Nombre) pour l’écriture des textes de ce premier EP sur un ton désinvolte, corrosif et dadaïste. Comme un détonateur prêt à exploser ou à partir de tout côté, c’est une force de frappe, une critique sociale, de l’entertainment pur et brut qui arrache tout. C’est un mirage, une forte hallucination, une maladie incurable. C’est le rock fort, trop fort qui fait se coucher trop tard, qui provoque des convulsions, qui s’assure qu’on ne retient pas la leçon et que ça recommencera.Événements à venir
-
20 avril 2024, 20h00Église Saint-Antoine de Lavaltrie, Lavaltrie, QC
-
Hors Série : Les Royal Pickles
25 avril 2024, 20h00Église Saint-Antoine de Lavaltrie, Lavaltrie, QC -
Série Prestige : Galaxie
26 avril 2024, 20h00Église Saint-Antoine de Lavaltrie, Lavaltrie, QC -
Série Coup de Coeur : MR. 82
27 avril 2024, 20h00Église Saint-Antoine de Lavaltrie, Lavaltrie, QC