Libre - dire oui

Libre - dire oui

Événement en personne
14 février 2025
20h00 – 22h00 / Entrée: 19h00

206, rue Christophe-Colomb est, Québec, QC, Canada
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Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, La Charpente des fauves, à info@charpentedesfauves.com.

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Libre - Dire oui est la sixième production scénique de Théâtre Rude Ingénierie. Naviguant entre instruments, objets-musique, danse-performance et installations mécaniques, cinq performeurs se croisent dans un jeu de cohabitations. Ce cabaret d’occupations simultanées fait se rencontrer, entre chocs et alliances, sans règles préétablies, corps, machines et sons. Pour Libre - Dire oui, nous jouons sur le registre de l’intime : Dire oui à un patrimoine personnel comme acte de résistance à la fabrication d’autres «mémoires façades», s’offrir ce temps de contact à ce qui nous bâtit jusque dans les racines, valoriser et célébrer les territoires qui nous composent dans leurs plus petites, complexes et banales expressions, étudier ce qui les lie ou les fragmente, jouer à activer des zones d’expressions libérées où la cohabitation de ces langages diversifiés est priorisée, se battre contre un temps qui s’accélère en réfléchissant des espaces de ralentissement pour contrer un sentiment d’usure, d’éparpillement dans la production, d’épuisement, de perte de temps et d’essence.

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Libre - Dire oui est la sixième production scénique de Théâtre Rude Ingénierie. Naviguant entre instruments, objets-musique, danse-performance et installations mécaniques, cinq performeurs se croisent dans un jeu de cohabitations. Ce cabaret d’occupations simultanées fait se rencontrer, entre chocs et alliances, sans règles préétablies, corps, machines et sons. Pour Libre - Dire oui, nous jouons sur le registre de l’intime : Dire oui à un patrimoine personnel comme acte de résistance à la fabrication d’autres «mémoires façades», s’offrir ce temps de contact à ce qui nous bâtit jusque dans les racines, valoriser et célébrer les territoires qui nous composent dans leurs plus petites, complexes et banales expressions, étudier ce qui les lie ou les fragmente, jouer à activer des zones d’expressions libérées où la cohabitation de ces langages diversifiés est priorisée, se battre contre un temps qui s’accélère en réfléchissant des espaces de ralentissement pour contrer un sentiment d’usure, d’éparpillement dans la production, d’épuisement, de perte de temps et d’essence.