Hippie Hourrah
Partagez cet événement
Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, Le Zaricot, à billetterie@lezaricot.com.
Achat de billets
À bien des égards, c’est la musique que l’on entend parfois après s’être cogné la tête. Un mandala de sons vaporeux. Comme pour les mots que l’on tente de lire en rêve, quelque chose nous échappe : une lettre en moins, en trop, à l’envers, inconnue, incongrue. Ici, les certitudes se fracassent en éclats de doutes : guitare ou cithare ; moderne ou ancien ; fruit de l’orfèvrerie ou bien du hasard ? « Hippie Hourrah » était cette chanson que Jacques Dutronc avait écrite pour se moquer des enfleurés qui essaimaient dans ses plates-bandes. Caustique morceau de vertige à s’envoyer à 45 rpm ou sur cube de sucre. Échappé de la bouche de ce dernier – un fumeur de havane ne la ferme jamais -, le mot s’est fait chair, a pris corps, roulant d’une fange à une autre dans le marécage éthylique des soirées, petit bonheur caché sous des haillons de lumière et quelques barbes. On lui promettait mondes et merveilles. Puis les murs ont avalé le soleil.
Tout est allé très vite, ensuite. Ils étaient trois, quatre, cinq ou plus, Cédric Marinelli, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert. Il y avait des fleurs et de la fumée, aussi des basses et des synthés. Il y avait ce chanteur en posture de l’arbre, croisé autrefois en costume d’Adam (d’après la Chute) au sein des Marinellis. Il y avait ces Jésus des Bermudes, trouvés chez Anemone et Elephant Stone, et leur Golgotha de réverbérations. Et rien sur scène ne sonnait réellement comme ce que l’on y voyait. C’était comme si ce mot que l’on peinait à lire en rêve s’était offert un orchestre de chambre pour chanter ses louanges dans un bourdonnement de chœurs psychédéliques, répétant un mantra à l’envers. Et dans la voûte céleste, un écho résonnait : Hippie Hourrah, Hippie Hourrah…
Première Partie : Vincent Khouni (solo)
Leader du groupe de rock garage montréalais Double Date with Death (DDWD), Vincent Khouni décide de partir à l’aventure en solitaire, telle une bouteille à la mer, pour créer des morceaux plus personnels.
Portes: 18h
Spectacle: 20h
- Remboursements
- Aucun remboursement
- Échanges
- Aucun échange
- Gratuité pour les enfants
- Gratuit pour les 10 ans et moins
- Accès pour personnes à mobilité réduite
- Oui
- Gratuité pour l'accompagnateur
- Oui
À bien des égards, c’est la musique que l’on entend parfois après s’être cogné la tête. Un mandala de sons vaporeux. Comme pour les mots que l’on tente de lire en rêve, quelque chose nous échappe : une lettre en moins, en trop, à l’envers, inconnue, incongrue. Ici, les certitudes se fracassent en éclats de doutes : guitare ou cithare ; moderne ou ancien ; fruit de l’orfèvrerie ou bien du hasard ? « Hippie Hourrah » était cette chanson que Jacques Dutronc avait écrite pour se moquer des enfleurés qui essaimaient dans ses plates-bandes. Caustique morceau de vertige à s’envoyer à 45 rpm ou sur cube de sucre. Échappé de la bouche de ce dernier – un fumeur de havane ne la ferme jamais -, le mot s’est fait chair, a pris corps, roulant d’une fange à une autre dans le marécage éthylique des soirées, petit bonheur caché sous des haillons de lumière et quelques barbes. On lui promettait mondes et merveilles. Puis les murs ont avalé le soleil.
Tout est allé très vite, ensuite. Ils étaient trois, quatre, cinq ou plus, Cédric Marinelli, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert. Il y avait des fleurs et de la fumée, aussi des basses et des synthés. Il y avait ce chanteur en posture de l’arbre, croisé autrefois en costume d’Adam (d’après la Chute) au sein des Marinellis. Il y avait ces Jésus des Bermudes, trouvés chez Anemone et Elephant Stone, et leur Golgotha de réverbérations. Et rien sur scène ne sonnait réellement comme ce que l’on y voyait. C’était comme si ce mot que l’on peinait à lire en rêve s’était offert un orchestre de chambre pour chanter ses louanges dans un bourdonnement de chœurs psychédéliques, répétant un mantra à l’envers. Et dans la voûte céleste, un écho résonnait : Hippie Hourrah, Hippie Hourrah…
Première Partie : Vincent Khouni (solo)
Leader du groupe de rock garage montréalais Double Date with Death (DDWD), Vincent Khouni décide de partir à l’aventure en solitaire, telle une bouteille à la mer, pour créer des morceaux plus personnels.
Portes: 18h
Spectacle: 20h
- Remboursements
- Aucun remboursement
- Échanges
- Aucun échange
- Gratuité pour les enfants
- Gratuit pour les 10 ans et moins
- Accès pour personnes à mobilité réduite
- Oui
- Gratuité pour l'accompagnateur
- Oui
Heures d'ouverture
Hippie Hourrah
À bien des égards, c’est la musique que l’on entend parfois après s’être cogné la tête. Un mandala de sons vaporeux. Comme pour les mots que l’on tente de lire en rêve, quelque chose nous échappe : une lettre en moins, en trop, à l’envers, inconnue, incongrue. Ici, les certitudes se fracassent en éclats de doutes : guitare ou cithare ; moderne ou ancien ; fruit de l’orfèvrerie ou bien du hasard ? « Hippie Hourrah » était cette chanson que Jacques Dutronc avait écrite pour se moquer des enfleurés qui essaimaient dans ses plates-bandes. Caustique morceau de vertige à s’envoyer à 45 rpm ou sur cube de sucre. Échappé de la bouche de ce dernier – un fumeur de havane ne la ferme jamais -, le mot s’est fait chair, a pris corps, roulant d’une fange à une autre dans le marécage éthylique des soirées, petit bonheur caché sous des haillons de lumière et quelques barbes. On lui promettait mondes et merveilles. Puis les murs ont avalé le soleil.
Tout est allé très vite, ensuite. Ils étaient trois, quatre, cinq ou plus, Cédric Marinelli, Miles Dupire-Gagnon et Gabriel Lambert. Il y avait des fleurs et de la fumée, aussi des basses et des synthés. Il y avait ce chanteur en posture de l’arbre, croisé autrefois en costume d’Adam (d’après la Chute) au sein des Marinellis. Il y avait ces Jésus des Bermudes, trouvés chez Anemone et Elephant Stone, et leur Golgotha de réverbérations. Et rien sur scène ne sonnait réellement comme ce que l’on y voyait. C’était comme si ce mot que l’on peinait à lire en rêve s’était offert un orchestre de chambre pour chanter ses louanges dans un bourdonnement de chœurs psychédéliques, répétant un mantra à l’envers. Et dans la voûte céleste, un écho résonnait : Hippie Hourrah, Hippie Hourrah…
hippiehourrah.ca/?fbclid=IwAR3bAUmKcMLVPOxLxWaKHP4sG-zw5ABQRgytejL8n-r-v2Nwly3QG2zgQ4UVincent Khouni (solo)
Leader du groupe de rock garage montréalais Double Date with Death (DDWD), Vincent Khouni décide de partir à l’aventure en solitaire, telle une bouteille à la mer, pour créer des morceaux plus personnels.
Avec le multi-instrumentiste Emmanuel Alias (ALIAS) à la batterie et à la direction musicale, Patrick Gosselin (Le Couleur) à la basse et pedal steel puis Guillaume Chiasson (Ponctuation, Jesus les Filles, Bon Enfant) à l’enregistrement, Vincent Khouni propose une aventure musicale située quelque part entre 1968 et 1970.
Événements à venir
-
7 février 2025, 20h00Le Zaricot, Saint-Hyacinthe, QC
-
Mélisande - Électrotrad
8 février 2025, 20h00Le Zaricot, Saint-Hyacinthe, QC -
Les Matins des Grands Soirs : Mélisande - Électrotrad
9 février 2025, 11h00Le Zaricot, Saint-Hyacinthe, QC -
BINGO de l'amour avec MISS FOUNTAIN
13 février 2025, 19h00Le Zaricot, Saint-Hyacinthe, QC