Naomi

Naomi est une pop-star dans l’âme : avec ses influences assumées de la pop américaine, son côté international, son charisme accrocheur et sa polyvalence artistique, elle prend sa place comme nulle autre. Cette artiste multidisciplinaire incarne un parfait mélange de danse, de musique et de théâtre, explorant diverses facettes de son expression artistique. Avec son penchant pour les airs estivaux caribéens qu’elle pimente au gré de ses influences pop, RnB et house, Naomi enflamme le plancher de danse et la scène, avec une aisance et un naturel désarmants. Depuis ses débuts en musique, Naomi a marqué les esprits avec ses chansons accrocheuses comme « Tout à nous », « Zéro stress », « Semblant » et « Pas le temps de jouer. Son premier album éponyme, sorti en 2022, a été salué par la critique et ses fans, affirmant sa place dans le paysage musical québécois. La chanteuse, qui a lancé trois extraits prometteurs dans la dernière année («Hot ex» – #78 BDS, «Phénomène» et «Dalí»), a présenté son deuxième album Un coin sombre pour danser à l’automne 2024. Elle s’est entourée d’une équipe de réalisateurs et de collaborateurs de renom (Gary Wide, Willy Wonder, Guillaume Doubet) afin de créer un album plus ambiant et plus raffiné. Artiste engagée et exaltante, Naomi contrôle tous les aspects de son projet artistique, des chorégraphies au stylisme en passant par la composition musicale, offrant ainsi à son public une expérience artistique immersive et complètement à son image.

Le Belladone

Le Belladone (elle/iel/il), artiste émergente de la scène montréalaise, offre une pop « sensuelle et grinçante » (comme on dit quand on n’ose pas dire carrément perverse) qui mêle des textes à la fois fragiles et cruels à des mélodies mélancoliques, vous laissant quelque part entre malaise et catharsis. Sur scène, Le Belladone impose sa présence avec la délicatesse d’une claque. Sa scénographie ésotérique crée un rituel étrange où l’intime devient provocation. Elle déchire ses propres blessures sous vos yeux et écrase, au passage, les égos les plus fragiles sous ses bottes. Son public, qu’elle appelle ses « belles-dames », se perd dans cet univers où la noirceur devient une offrande et la douleur, un plaisir.

Sa musique crue et méritée. Le Belladone, c’est mordre dans un fruit empoisonné et se rendre compte qu’on aime le goût du poison.