Table ronde Marche démarche manoeuvre (après-midi)
3351, boul. des Forges, CIPP, local 5154, Trois-Rivières, QC, Canada
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La Biennale nationale de sculpture contemporaine présente une Table ronde sous la thématique de sa 10e édition : Marche démarche manoeuvre. En collaboration avec la Galerie R3 de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), nous tiendrons une journée de conférences en présence de multiple invité.e.s au Centre Intégré en Pâtes et Papiers (CIPP) de l’UQTR et sur Zoom.
Quand: jeudi 18 novembre de 10h à 16h
Où: local Y-1102, Centre intégré en pâtes et papiers (CIPP) de l’UQTR et sur Zoom: https://us02web.zoom.us/j/82302123646
Panélistes:
- En avant-midi:
Carlos Amorales (artiste sculpteur, Mexique), Daniel Fiset (commissaire invité pour la BNSC 2022, Tio'tia:ke / Mooniyaang / Montréal), Sheena Hoszko (artiste sculpteure et organisatrice anti-prison, Montréal).
- En après-midi:
Edith Brunette et François Lemieux (artistes, militants et chercheurs, Montréal), , Carmen Papalia (artiste de l'infiltration et de la manœuvre, Vancouver) et André-Louis Paré (directeur général de la revue Espace art actuel, Montréal).
*Entrée libre et accessible aux fauteuils roulants.
Cette Table ronde permet de mettre en lumière des démarches variées en sculpture actuelle qui ont un important point commun : elles interrogent directement les hiérarchies sociales et politiques établies et font voir des préoccupations qui débordent de l’écosystème artistique pour traverser entièrement nos sociétés actuelles. Faisant éclater les conventions de la sculpture, certains artistes actuels envisagent la marche comme une matière malléable qui se sert de processus exploratoires, voire même performatifs, furtifs ou éphémères, et qui s’intègrent à leur démarche.Ces démarches s’envisagent comme des manœuvres : des gestes individuels et collectifs identifiant des façons de faire, d’échanger et de transmettre; des systèmes à inventer; des espaces à dégager. Avec ces manœuvres, les artistes pourront imaginer autrement le monde: revendiquer des possibles, renégocier nos conditions de vie, redéfinir nos rapports. S’engager dans un temps long, qui reconnaît l’urgence sans céder à la crise. Se mettre en marche.
La Biennale nationale de sculpture contemporaine présente une Table ronde sous la thématique de sa 10e édition : Marche démarche manoeuvre. En collaboration avec la Galerie R3 de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), nous tiendrons une journée de conférences en présence de multiple invité.e.s au Centre Intégré en Pâtes et Papiers (CIPP) de l’UQTR et sur Zoom.
Quand: jeudi 18 novembre de 10h à 16h
Où: local Y-1102, Centre intégré en pâtes et papiers (CIPP) de l’UQTR et sur Zoom: https://us02web.zoom.us/j/82302123646
Panélistes:
- En avant-midi:
Carlos Amorales (artiste sculpteur, Mexique), Daniel Fiset (commissaire invité pour la BNSC 2022, Tio'tia:ke / Mooniyaang / Montréal), Sheena Hoszko (artiste sculpteure et organisatrice anti-prison, Montréal).
- En après-midi:
Edith Brunette et François Lemieux (artistes, militants et chercheurs, Montréal), , Carmen Papalia (artiste de l'infiltration et de la manœuvre, Vancouver) et André-Louis Paré (directeur général de la revue Espace art actuel, Montréal).
*Entrée libre et accessible aux fauteuils roulants.
Cette Table ronde permet de mettre en lumière des démarches variées en sculpture actuelle qui ont un important point commun : elles interrogent directement les hiérarchies sociales et politiques établies et font voir des préoccupations qui débordent de l’écosystème artistique pour traverser entièrement nos sociétés actuelles. Faisant éclater les conventions de la sculpture, certains artistes actuels envisagent la marche comme une matière malléable qui se sert de processus exploratoires, voire même performatifs, furtifs ou éphémères, et qui s’intègrent à leur démarche.Ces démarches s’envisagent comme des manœuvres : des gestes individuels et collectifs identifiant des façons de faire, d’échanger et de transmettre; des systèmes à inventer; des espaces à dégager. Avec ces manœuvres, les artistes pourront imaginer autrement le monde: revendiquer des possibles, renégocier nos conditions de vie, redéfinir nos rapports. S’engager dans un temps long, qui reconnaît l’urgence sans céder à la crise. Se mettre en marche.