Productions Arté Boréal présente

Ego Death + Helena Deland

Événement en personne
28 octobre 2016
21h30 / Entrée: 19h00

405 rue Racine Est, Saguenay, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Le Sous-Bois à cgcambio@gmail.com.

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Ego Death, le plus récent projet du musicien Joey Proteau (Québec, Canada), se veut la résultante d’un long travail d’introspection et de composition. S’en dégage une série de pièces à la fois minimalistes et expansives qui a pour point commun principal l’élégance des arrangements et l’intimité des textes. Un refuge contradictoire de chansons Heavy qui donnent l’impression de flotter dans l’ether, un sentiment de familiarité qu’on n’arrive à décrire précisément; à la fois un point de départ et le fil d’arrivée.

Grief est un EP de cinq chansons, tout aussi distinctes les unes que les autres. Un petit bijou fignolé de manière totalement indépendante et avec beaucoup de soin. Les palettes vaporeuses et l’atmosphère de hantise planant sur celui-ci traduisent l’acharnement du jeune artiste à exorciser la grande crise – celle du début de la vingtaine – celle qui s’imbibe à tout jamais. Dans un élan d’humilité draconienne et de désir d’épouser le bon sens, il tente de se réfugier dans ce nuage de coton, ce palais de souvenirs qui est à la fois en constante dévastation et en perpétuel épanouissement.

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Ego Death, le plus récent projet du musicien Joey Proteau (Québec, Canada), se veut la résultante d’un long travail d’introspection et de composition. S’en dégage une série de pièces à la fois minimalistes et expansives qui a pour point commun principal l’élégance des arrangements et l’intimité des textes. Un refuge contradictoire de chansons Heavy qui donnent l’impression de flotter dans l’ether, un sentiment de familiarité qu’on n’arrive à décrire précisément; à la fois un point de départ et le fil d’arrivée.

Grief est un EP de cinq chansons, tout aussi distinctes les unes que les autres. Un petit bijou fignolé de manière totalement indépendante et avec beaucoup de soin. Les palettes vaporeuses et l’atmosphère de hantise planant sur celui-ci traduisent l’acharnement du jeune artiste à exorciser la grande crise – celle du début de la vingtaine – celle qui s’imbibe à tout jamais. Dans un élan d’humilité draconienne et de désir d’épouser le bon sens, il tente de se réfugier dans ce nuage de coton, ce palais de souvenirs qui est à la fois en constante dévastation et en perpétuel épanouissement.