Que les beaux jours sont courts

Que les beaux jours sont courts

Isle aux Coudres.

De l'aube au crépuscule, Marie guette la lumière. Éloi raconte encore et encore ses exploits en mer. Leur petit-fils, Benoît, s'acharne à peindre des toiles abstraites de son île.

Étudiante en littérature, Léa fait irruption parmi elle et eux. Elle vient sur l’île pour écrire, mais le fleuve, les conifères rabougris et le vent incessant la paralysent. D'autant plus que son amoureuse, partie en Islande pour un stage de géologie, ne donne aucun signe de vie.

Dans une langue poétique et incarnée, Que les beaux jours sont courts évoque l’importance et la difficulté d’appartenir à un lieu, à une culture, à un héritage.