Xavier Caféïne

Figure mythique de la contre-culture québécoise depuis le milieu des années 90, Xavier Caféïne lance un nouvel album à l’automne après six longues années d’attente. C’est accompagné de deux musiciens d’exception qu’il reprendra la route aux quatre coins de la province en soutien de son nouvel effort. En pleine possession de ses moyens, il promet déjà un album profond, dans la pure tradition Punk, Garage et Glam, qui saura assurément réconforter les anciens fans et saura convaincre les nouveaux. Cette tournée fait le pont entre une carrière parsemée de succès critiques et populaires (Gisèle, Babylone, Montréal cette ville) et l’avenir d’un créateur qui a encore beaucoup à raconter et à accomplir. Caféïne n’a pas perdu une once d’énergie. Originaire de l’Outaouais mais installé à Montréal, il fait sa réputation dans les plus sombres tavernes de la métropole jusqu’à ce que Mal éduqué mon amour (1998) et Pornstar (2000) fasse de lui la légende que nous connaissons aujourd’hui. Après avoir lancé Artificial pleasures (2004) dans la langue de Shakespeare sous le nom de Poxy, l’auteur-compositeur, multi-instrumentiste et peintre lance Gisèle (2006) réalisé par Glen Robinson (Ramones, Bowie, Iggy, Daniel Bélanger) avec lequel il remporte le prix Chanson découverte de l’année de la Socan pour la pièce La fin du monde. En 2007, Caféîne collabore à l’écriture de sept pièces du nouvel album de Plastic Bertrand avant de recentrer sa vie autour des arts martiaux. Inspiré de ses longues périodes méditatives, le ceinture noir de judo lance Bushido (2009), et finalement, ce que plusieurs considèrent comme son travail le plus accompli, New Love (2013). Réalisé à New York par Gus Van Go (Sam Roberts, Vulgaires Machins, Cowboys Fringants) l’album comporte les succès Lettre d’amour et Love Disease qui lui permettront d’être invité sur les plateaux de télé et la scène des plus grands festivals.

Mudie

Rough Gentlemen