Le Centre culturel le Griffon vous convie à un petit-déjeuner à saveur poétique. Quatre poètes d’ici et d’ailleurs joindront leurs voix lors d’une lecture publique dans la splendide salle de spectacle avec vue sur la mer.

Vanessa Bell
Vanessa Bell est directrice de la collection poésie aux Éditions du Quartz, en plus d’avoir elle-même publié deux recueils de poésie, une anthologie portant sur la poésie des femmes au Québec et un essai
sur la baignade en eaux froides. Son œuvre et son engagement lui ont valu plusieurs bourses et distinctions au Québec comme à l’international.

Virginie Savard
Virginie Savard est un·e poète né·e à Rimouski en 1993 et maintenant 
basé·e à Montréal. Iel a publié les recueils Formes subtiles de la fuite (2020) et Les deuils transparents (2022, finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général). Plusieurs de ses poèmes peuvent aussi être lus notamment dans Estuaire, Moebius, Filles-missiles et Exit.

Rachel Leclerc
Rachel Leclerc publie de la poésie depuis les années 1980. Elle est aussi l’autrice de plusieurs romans, dont Noces de sable et La Patience des
fantômes. Son œuvre a été récompensée au Québec et en Europe (Prix Émile-Nelligan, Prix Alain-Grandbois). Sa plus récente publication, 
La Chambre des saisons, est un recueil de poésie consacrée au territoire gaspésien.

Charlotte Vaidye-Bourgault
Charlotte Vaidye-Bourgault compose poésie et musique depuis 2018. 
Depuis la fin de ses études en Arts, lettres et communication, elle se 
consacre à son projet de musique et à dynamiser la vie culturelle de la 
pointe gaspésienne. On peut la lire notamment dans le recueil de textes féministes Je garde mes lunettes fumées près de moi, publié par Salon 58 (2023).



IL ÉTAIT UNE FÉE

Notre coup de coeur à la finale locale de Cégep en spectacle! Un texte franchement poétique porté par une voix forte; des liens entre la parole et la danse comme si de l'une, l'autre émergeait et vice-versa; un jeu d'éclairage sensible et efficace, qui donne à voir plus loin que les mots et les gestes. 

Édith: Artiste multidisciplinaire, je ne pense pas qu’il m’est possible de choisir un art qui me parle plus qu’un autre, mais la performance permet une forme de communication que j’affectionne particulièrement.  «  Il était une fée » prend racine dans l’imaginaire mais surtout dans une envie profonde de raconter la beauté.

Eveline: Je danse depuis l’âge de deux ans. La danse est une partie importante de ma personne. C’est ma manière de m’extasier à bord de ma créativité. Cet œuvre montre l’aspect éphémère de l’improvisation rappelant le temps qui file.

Alicia: Je suis une jeune femme qui se passionne pour les arts depuis son plus jeune âge. La musique, le chant et la littérature sont ceux qui me font le plus vibrer. Au cours de cette représentation, j'accompagne Eveline Riel et Édith Tanguay sur le plan technique de leur création.