Correspondance entre Virginie Savard et virginie fauve : héritage et survie
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Dans le cadre du Salon dans la ville (Salon du livre de Montréal), les éditions Triptyque et Le Lézard amoureux ont le plaisir de vous inviter à une correspondance entre Virginie Savard et virginie fauve : une lecture en alternance d'extraits tirés des recueils LES DEUILS TRANSPARENTS et LA POUSSIÈRE NOUS CERNE PARCE QU'ELLE NOUS RESSEMBLE. Il s'agit d'une correspondance poétique pour aborder des thématiques communes telles que la notion d’héritage en littérature, la survie et l’impact des réminiscences dans le travail poétique. Une rencontre émouvante entre deux poètes.
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Merci à La Livrerie de nous accueillir le 14 novembre!
Le déroulement de la soirée :
- 17h30 : Début de l'événement;
- 18h : Performance.
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LES DEUILS TRANSPARENTS de Virginie Savard
Avec ce livre, Virginie Savard honore, dans tous les espace-temps et à toutes les échelles, les morts quotidiennes qui passent inaperçues : celles des insectes et des étoiles, des animaux égarés et des espèces disparues, des plantes négligées et des gens qu’on ne croise plus, des versions de nous que nous avons abandonnées ou qui n’ont simplement jamais existé. En nous invitant à faire l’expérience de deuils fantômes et de pertes irréversibles, l’autrice nous encourage à regarder avec tendresse la fragilité de tout ce qui vit et qui, condamné par le passé, laisse des traces de doigts sur nos cœurs. En célébrant ce qui périt, Les deuils transparents rend hommage à notre survie.
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LA POUSSIÈRE NOUS CERNE PARCE QU'ELLE NOUS RESSEMBLE de virginie fauve
À travers une approche tantôt plus narrative, tantôt plus dépouillée, la poète virginie fauve questionne ses assises. Tant féministes qu’identitaires, celles-ci teintent sa position ambiguë d’autrice confrontée à son héritage littéraire et à ses propres limites énonciatives.
Divisé en trois parties (« que répondre sans arracher ta bouche des mots »; « il faut renverser la toponymie avant qu’elle nous efface du paysage » et « rien de plus qu’une grande fatigue »), la poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble défile les multiples référents qui constituent la poète, mais qu’elle choisit de rejouer, de détourner, de réécrire.
virginie fauve cherche ainsi à comprendre et à investir une histoire qui l’inscrit en faux, afin de la démentir sans pourtant la renier.
Dans le cadre du Salon dans la ville (Salon du livre de Montréal), les éditions Triptyque et Le Lézard amoureux ont le plaisir de vous inviter à une correspondance entre Virginie Savard et virginie fauve : une lecture en alternance d'extraits tirés des recueils LES DEUILS TRANSPARENTS et LA POUSSIÈRE NOUS CERNE PARCE QU'ELLE NOUS RESSEMBLE. Il s'agit d'une correspondance poétique pour aborder des thématiques communes telles que la notion d’héritage en littérature, la survie et l’impact des réminiscences dans le travail poétique. Une rencontre émouvante entre deux poètes.
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Merci à La Livrerie de nous accueillir le 14 novembre!
Le déroulement de la soirée :
- 17h30 : Début de l'événement;
- 18h : Performance.
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LES DEUILS TRANSPARENTS de Virginie Savard
Avec ce livre, Virginie Savard honore, dans tous les espace-temps et à toutes les échelles, les morts quotidiennes qui passent inaperçues : celles des insectes et des étoiles, des animaux égarés et des espèces disparues, des plantes négligées et des gens qu’on ne croise plus, des versions de nous que nous avons abandonnées ou qui n’ont simplement jamais existé. En nous invitant à faire l’expérience de deuils fantômes et de pertes irréversibles, l’autrice nous encourage à regarder avec tendresse la fragilité de tout ce qui vit et qui, condamné par le passé, laisse des traces de doigts sur nos cœurs. En célébrant ce qui périt, Les deuils transparents rend hommage à notre survie.
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LA POUSSIÈRE NOUS CERNE PARCE QU'ELLE NOUS RESSEMBLE de virginie fauve
À travers une approche tantôt plus narrative, tantôt plus dépouillée, la poète virginie fauve questionne ses assises. Tant féministes qu’identitaires, celles-ci teintent sa position ambiguë d’autrice confrontée à son héritage littéraire et à ses propres limites énonciatives.
Divisé en trois parties (« que répondre sans arracher ta bouche des mots »; « il faut renverser la toponymie avant qu’elle nous efface du paysage » et « rien de plus qu’une grande fatigue »), la poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble défile les multiples référents qui constituent la poète, mais qu’elle choisit de rejouer, de détourner, de réécrire.
virginie fauve cherche ainsi à comprendre et à investir une histoire qui l’inscrit en faux, afin de la démentir sans pourtant la renier.
Virginie Savard
VIRGINIE SAVARD est né·e en 1993 dans le vent du fleuve et s’assure de toujours se poser près de lui. Après avoir obtenu une maîtrise en études littéraires à l’Université Laval, iel demeure maintenant à Montréal. Ses poèmes sont notamment parus dans Mœbius, Filles Missiles, Exit et Estuaire. Son premier livre, Formes subtiles de la fuite, est paru chez Triptyque en 2020.
virginie fauve
Originaire de l’Abitibi, VIRGINIE FAUVE vit et travaille à Montréal. Littéraire volage, elle butine; en poésie et en prose, en revue et en fanzine, parfois sous forme d’événements ou de performances. Elle s’intéresse à l’histoire littéraire des femmes, à l’édition indépendante et aux arts imprimés. Elle est titulaire d’une maîtrise en études littéraires de l’Université du Québec à Montréal. la poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble est son premier recueil de poésie.