Plants and Animals + Ludovic Alarie
Le Cercle - Lab vivant présente

Plants and Animals + Ludovic Alarie

Événement en personne
11 novembre 2016
21h00 / Entrée: 20h00

228, St-Joseph Est, Québec, QC, Canada
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Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, Le Cercle, à sekou@le-cercle.ca.

Achat de billets

Plants and Animals est un trio montréalais dont les membres jouent ensemble depuis l’enfance. La formation, qui s’est fait connaître sur la scène internationale en 2008, fait aujourd’hui l’objet d’un véritable culte auprès d’un public varié, tant pour ses albums autoproduits que pour ses vibrantes prestations.

En 2013, après les nominations, les passages à d’importantes émissions radio et télé et les spectacles en première partie d’artistes reconnus; après les tournées en tête d’affiche en Amérique du Nord et en Europe, les membres du groupe décident de ralentir.

Et ralentir signifie pour eux faire de la musique comme avant. C’est le début d’un processus d’enregistrement intermittent qui s’étendra sur deux ans. Un moment de repos, comme en ont souvent besoin les groupes qui ont vu beaucoup de pays et passé peu de temps chez eux. Heureux de dormir dans leur propre lit, ils concevront donc un album à travers neuf saisons et tout ce que la vie peut apporter : naissances, morts, aubes grandioses, crépuscules bouleversants, et toutes les journées qui coulent entre les deux. Intitulé Waltzed in from the rumbling, leur nouveau disque est une danse des jours.

Faire de la musique comme avant signifie suivre un fil jusqu’au bout. Ils enregistrent tout ce qui leur passe par la tête et effectuent des changements impulsifs. Comme un flux de la conscience, les paroles adoptent la forme qu’il faut. Là où elles ont du charme, on laisse les erreurs, préférant révéler que dissimuler. Le chanteur y agit comme ingénieur de son, le guitariste, comme pianiste baroque, et le batteur sert d’œil intérieur-extérieur. Ils invitent leurs amis à chanter, à jouer de la basse et des claviers, des cordes et des cuivres. Un vieux guiro et un magnétoscope obsolète trouvés sur un trottoir sont tous deux enregistrés. D’un frigo vide, ils tirent des sons dignes d’une timbale. Ils capturent les commérages véhéments d’adolescentes à bord d’un autobus. Ils découvrent que le gars qui passe son temps dans la cuisine est en fait un magicien de la cabasa. Tout trouve sa place. Ils prennent la voie de la grande production. Ils baissent les stores et dévoilent leur cœur, leurs os.

Ça rappelle la fois où ils ont tous lâché leurs boulots en même temps pour se rassembler dans un appartement bancal de l’avenue du Parc et créer leur premier album. 

« Ça ressemblait plus à un studio d’artiste qu’à une salle d’enregistrement, explique Warren Spicer. Le bordel, les bouts de chansons partout… On avait une énorme toile, et on n’arrêtait pas de remplir les coins, d’effacer, de repeindre des bouts, de reculer pour contempler l’ensemble, voir ce qu’on avait. »

Les influences sont vastes et diverses : le soul brisé de Van Morrison, la géométrie oblique de J Dilla, le funk sombre de Gainsbourg, le feu du John Coltrane Quartet, la synesthésie de Messiaen, les bizarreries d’Antonio Badalimenti. Du Plants and Animals grand ouvert avec de l’espace pour bouger.

« On voulait pousser nos chansons dans des directions moins évidentes pour garder l’intérêt, raconte Matthew Woodley. Nous surprendre entre nous, et imaginer que ceux qui nous écouteraient apprécieraient tout autant. Mais dès qu’on sentait que l’intellect prenait le pas sur l’émotion, on lâchait tout et on passait à autre chose. »

« On s’est poussés les uns les autres et on s’est écoutés comme jamais auparavant, dit Nic Basque. C’était amusant, et beaucoup plus facile que par le passé. Travailler, tout simplement – c’est comme ça que les gens développent leur langage, peu importe ce qu’ils font. C’est ce qu’on a fait. »

C’est le recueil musical le plus profond et inventif qu’ait proposé Plants and Animals à ce jour. Onze pièces pleines de bonds en avant, de bateaux qui passent, d’eaux sombres et de ciels roses. Waltzed in from the Rumbling sort le 29 Avril prochain sur Secret City Records.

À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet le soir même de l'événement. Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement.

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Plants and Animals est un trio montréalais dont les membres jouent ensemble depuis l’enfance. La formation, qui s’est fait connaître sur la scène internationale en 2008, fait aujourd’hui l’objet d’un véritable culte auprès d’un public varié, tant pour ses albums autoproduits que pour ses vibrantes prestations.

En 2013, après les nominations, les passages à d’importantes émissions radio et télé et les spectacles en première partie d’artistes reconnus; après les tournées en tête d’affiche en Amérique du Nord et en Europe, les membres du groupe décident de ralentir.

Et ralentir signifie pour eux faire de la musique comme avant. C’est le début d’un processus d’enregistrement intermittent qui s’étendra sur deux ans. Un moment de repos, comme en ont souvent besoin les groupes qui ont vu beaucoup de pays et passé peu de temps chez eux. Heureux de dormir dans leur propre lit, ils concevront donc un album à travers neuf saisons et tout ce que la vie peut apporter : naissances, morts, aubes grandioses, crépuscules bouleversants, et toutes les journées qui coulent entre les deux. Intitulé Waltzed in from the rumbling, leur nouveau disque est une danse des jours.

Faire de la musique comme avant signifie suivre un fil jusqu’au bout. Ils enregistrent tout ce qui leur passe par la tête et effectuent des changements impulsifs. Comme un flux de la conscience, les paroles adoptent la forme qu’il faut. Là où elles ont du charme, on laisse les erreurs, préférant révéler que dissimuler. Le chanteur y agit comme ingénieur de son, le guitariste, comme pianiste baroque, et le batteur sert d’œil intérieur-extérieur. Ils invitent leurs amis à chanter, à jouer de la basse et des claviers, des cordes et des cuivres. Un vieux guiro et un magnétoscope obsolète trouvés sur un trottoir sont tous deux enregistrés. D’un frigo vide, ils tirent des sons dignes d’une timbale. Ils capturent les commérages véhéments d’adolescentes à bord d’un autobus. Ils découvrent que le gars qui passe son temps dans la cuisine est en fait un magicien de la cabasa. Tout trouve sa place. Ils prennent la voie de la grande production. Ils baissent les stores et dévoilent leur cœur, leurs os.

Ça rappelle la fois où ils ont tous lâché leurs boulots en même temps pour se rassembler dans un appartement bancal de l’avenue du Parc et créer leur premier album. 

« Ça ressemblait plus à un studio d’artiste qu’à une salle d’enregistrement, explique Warren Spicer. Le bordel, les bouts de chansons partout… On avait une énorme toile, et on n’arrêtait pas de remplir les coins, d’effacer, de repeindre des bouts, de reculer pour contempler l’ensemble, voir ce qu’on avait. »

Les influences sont vastes et diverses : le soul brisé de Van Morrison, la géométrie oblique de J Dilla, le funk sombre de Gainsbourg, le feu du John Coltrane Quartet, la synesthésie de Messiaen, les bizarreries d’Antonio Badalimenti. Du Plants and Animals grand ouvert avec de l’espace pour bouger.

« On voulait pousser nos chansons dans des directions moins évidentes pour garder l’intérêt, raconte Matthew Woodley. Nous surprendre entre nous, et imaginer que ceux qui nous écouteraient apprécieraient tout autant. Mais dès qu’on sentait que l’intellect prenait le pas sur l’émotion, on lâchait tout et on passait à autre chose. »

« On s’est poussés les uns les autres et on s’est écoutés comme jamais auparavant, dit Nic Basque. C’était amusant, et beaucoup plus facile que par le passé. Travailler, tout simplement – c’est comme ça que les gens développent leur langage, peu importe ce qu’ils font. C’est ce qu’on a fait. »

C’est le recueil musical le plus profond et inventif qu’ait proposé Plants and Animals à ce jour. Onze pièces pleines de bonds en avant, de bateaux qui passent, d’eaux sombres et de ciels roses. Waltzed in from the Rumbling sort le 29 Avril prochain sur Secret City Records.

À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet le soir même de l'événement. Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement.

Plants and Animals

Plants and Animals est un trio montréalais dont les membres jouent ensemble depuis l’enfance. La formation, qui s’est fait connaître sur la scène internationale en 2008, fait aujourd’hui l’objet d’un véritable culte auprès d’un public varié, tant pour ses albums autoproduits que pour ses vibrantes prestations.

En 2013, après les nominations, les passages à d’importantes émissions radio et télé et les spectacles en première partie d’artistes reconnus; après les tournées en tête d’affiche en Amérique du Nord et en Europe, les membres du groupe décident de ralentir.

Et ralentir signifie pour eux faire de la musique comme avant. C’est le début d’un processus d’enregistrement intermittent qui s’étendra sur deux ans. Un moment de repos, comme en ont souvent besoin les groupes qui ont vu beaucoup de pays et passé peu de temps chez eux. Heureux de dormir dans leur propre lit, ils concevront donc un album à travers neuf saisons et tout ce que la vie peut apporter : naissances, morts, aubes grandioses, crépuscules bouleversants, et toutes les journées qui coulent entre les deux. Intitulé Waltzed in from the rumbling, leur nouveau disque est une danse des jours.

Faire de la musique comme avant signifie suivre un fil jusqu’au bout. Ils enregistrent tout ce qui leur passe par la tête et effectuent des changements impulsifs. Comme un flux de la conscience, les paroles adoptent la forme qu’il faut. Là où elles ont du charme, on laisse les erreurs, préférant révéler que dissimuler. Le chanteur y agit comme ingénieur de son, le guitariste, comme pianiste baroque, et le batteur sert d’œil intérieur-extérieur. Ils invitent leurs amis à chanter, à jouer de la basse et des claviers, des cordes et des cuivres. Un vieux guiro et un magnétoscope obsolète trouvés sur un trottoir sont tous deux enregistrés. D’un frigo vide, ils tirent des sons dignes d’une timbale. Ils capturent les commérages véhéments d’adolescentes à bord d’un autobus. Ils découvrent que le gars qui passe son temps dans la cuisine est en fait un magicien de la cabasa. Tout trouve sa place. Ils prennent la voie de la grande production. Ils baissent les stores et dévoilent leur cœur, leurs os.

Ça rappelle la fois où ils ont tous lâché leurs boulots en même temps pour se rassembler dans un appartement bancal de l’avenue du Parc et créer leur premier album. 

« Ça ressemblait plus à un studio d’artiste qu’à une salle d’enregistrement, explique Warren Spicer. Le bordel, les bouts de chansons partout… On avait une énorme toile, et on n’arrêtait pas de remplir les coins, d’effacer, de repeindre des bouts, de reculer pour contempler l’ensemble, voir ce qu’on avait. »

Les influences sont vastes et diverses : le soul brisé de Van Morrison, la géométrie oblique de J Dilla, le funk sombre de Gainsbourg, le feu du John Coltrane Quartet, la synesthésie de Messiaen, les bizarreries d’Antonio Badalimenti. Du Plants and Animals grand ouvert avec de l’espace pour bouger.

« On voulait pousser nos chansons dans des directions moins évidentes pour garder l’intérêt, raconte Matthew Woodley. Nous surprendre entre nous, et imaginer que ceux qui nous écouteraient apprécieraient tout autant. Mais dès qu’on sentait que l’intellect prenait le pas sur l’émotion, on lâchait tout et on passait à autre chose. »

« On s’est poussés les uns les autres et on s’est écoutés comme jamais auparavant, dit Nic Basque. C’était amusant, et beaucoup plus facile que par le passé. Travailler, tout simplement – c’est comme ça que les gens développent leur langage, peu importe ce qu’ils font. C’est ce qu’on a fait. »

C’est le recueil musical le plus profond et inventif qu’ait proposé Plants and Animals à ce jour. Onze pièces pleines de bonds en avant, de bateaux qui passent, d’eaux sombres et de ciels roses. Waltzed in from the Rumbling sort le 29 Avril prochain sur Secret City Records.

Ludovic Alarie

Ludovic Alarie n'a pas d'âge et il crée en Cinérama. Dans le silence opaque de sa salle intérieure, le jeune auteur, compositeur et interprète écrit des chansons en noir et blanc, étranges récits bi-chromes qu'incarnent des personnages en Technicolor.