Destroyer + Jane Ehrhardt
Le Cercle - Lab Vivant présente

Destroyer + Jane Ehrhardt

Événement en personne
8 novembre 2016
21h00 / Entrée: 20h00

228, St-Joseph Est, Québec, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Le Cercle à sekou@le-cercle.ca.

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Daniel Bejar est un musicien, guitariste et chanteur canadien appartenant à la scène de Vancouver. Né en 1972, il fonde le projet Destroyer en 1995 et autoproduit son premier album We'll Build Them a Golden Bridge qui paraît l'année suivante. Pour l'album City of Daughters, sorti en 1997, Bejar s'octroie les services de John Collins (basse, claviers) et du batteur Scott Morgan, ce qui fait de Destroyer, à partir de cet album, un groupe à part entière. Profitant de cette collaboration bienheureuse, Bejar crée la même année le groupe The New Pornographers avec Collins.

C'est avec l'album Thief (2000) que Destroyer parvient réellement à attirer l'attention des médias, qui évoquent systématiquement les paroles sibyllines et l'attrait particulier de Bejar pour le rock dandy et ses représentants, David Bowie en tête. Il est vrai que le leader et chanteur de Destroyer cultive une certaine filiation. Les albums suivants de Destroyer, Streethawk: A Seduction (2001), This Night (2002) et Your Blues (2004), tous publiés chez Merge Records, obtiennent des retombées globalement positives.

Puis, entre de nombreux projets parallèles (un disque avec le groupe Frog Eyes, contribution aux disques et tournées de The New Pornographersn ainsi qu'un nouveau groupe nommé Swan Lake), Dan Bejar publie Destroyer's Rubies (2006) et Trouble in Dreams (2008), septième et huitième albums studio distillant un rock mélodique et suave aux paroles pourtant de plus en plus cryptées. 

En 2011, Destroyer publie Kaputt, qui rend hommage à la pop glam et romantique des années 1980, tant le saxophone y occupe la première place. Un anachronisme osé qui remporte l'adhésion d'une presse médusée et d'un public curieux. Deux ans après paraît l'EP inédit Five Spanish Songs enregistré en collaboration avec le chanteur de Sr. Chinarro, Antonio Luque, puis l'album de The New Pornographers Brill Bruisers. En 2015, la dixième production de Destroyer, Poison Season, agrémente les cordes et le saxophone.

poisonseason.com

À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet le soir même de l'événement. Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement.

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Daniel Bejar est un musicien, guitariste et chanteur canadien appartenant à la scène de Vancouver. Né en 1972, il fonde le projet Destroyer en 1995 et autoproduit son premier album We'll Build Them a Golden Bridge qui paraît l'année suivante. Pour l'album City of Daughters, sorti en 1997, Bejar s'octroie les services de John Collins (basse, claviers) et du batteur Scott Morgan, ce qui fait de Destroyer, à partir de cet album, un groupe à part entière. Profitant de cette collaboration bienheureuse, Bejar crée la même année le groupe The New Pornographers avec Collins.

C'est avec l'album Thief (2000) que Destroyer parvient réellement à attirer l'attention des médias, qui évoquent systématiquement les paroles sibyllines et l'attrait particulier de Bejar pour le rock dandy et ses représentants, David Bowie en tête. Il est vrai que le leader et chanteur de Destroyer cultive une certaine filiation. Les albums suivants de Destroyer, Streethawk: A Seduction (2001), This Night (2002) et Your Blues (2004), tous publiés chez Merge Records, obtiennent des retombées globalement positives.

Puis, entre de nombreux projets parallèles (un disque avec le groupe Frog Eyes, contribution aux disques et tournées de The New Pornographersn ainsi qu'un nouveau groupe nommé Swan Lake), Dan Bejar publie Destroyer's Rubies (2006) et Trouble in Dreams (2008), septième et huitième albums studio distillant un rock mélodique et suave aux paroles pourtant de plus en plus cryptées. 

En 2011, Destroyer publie Kaputt, qui rend hommage à la pop glam et romantique des années 1980, tant le saxophone y occupe la première place. Un anachronisme osé qui remporte l'adhésion d'une presse médusée et d'un public curieux. Deux ans après paraît l'EP inédit Five Spanish Songs enregistré en collaboration avec le chanteur de Sr. Chinarro, Antonio Luque, puis l'album de The New Pornographers Brill Bruisers. En 2015, la dixième production de Destroyer, Poison Season, agrémente les cordes et le saxophone.

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À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet le soir même de l'événement. Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement.

Destroyer

Daniel Bejar est un musicien, guitariste et chanteur canadien appartenant à la scène de Vancouver. Né en 1972, il fonde le projet Destroyer en 1995 et autoproduit son premier album We'll Build Them a Golden Bridge qui paraît l'année suivante. Pour l'album City of Daughters, sorti en 1997, Bejar s'octroie les services de John Collins (basse, claviers) et du batteur Scott Morgan, ce qui fait de Destroyer, à partir de cet album, un groupe à part entière. Profitant de cette collaboration bienheureuse, Bejar crée la même année le groupe The New Pornographers avec Collins.

C'est avec l'album Thief (2000) que Destroyer parvient réellement à attirer l'attention des médias, qui évoquent systématiquement les paroles sibyllines et l'attrait particulier de Bejar pour le rock dandy et ses représentants, David Bowie en tête. Il est vrai que le leader et chanteur de Destroyer cultive une certaine filiation. Les albums suivants de Destroyer, Streethawk: A Seduction (2001), This Night (2002) et Your Blues (2004), tous publiés chez Merge Records, obtiennent des retombées globalement positives.

Puis, entre de nombreux projets parallèles (un disque avec le groupe Frog Eyes, contribution aux disques et tournées de The New Pornographersn ainsi qu'un nouveau groupe nommé Swan Lake), Dan Bejar publie Destroyer's Rubies (2006) et Trouble in Dreams (2008), septième et huitième albums studio distillant un rock mélodique et suave aux paroles pourtant de plus en plus cryptées. 

En 2011, Destroyer publie Kaputt, qui rend hommage à la pop glam et romantique des années 1980, tant le saxophone y occupe la première place. Un anachronisme osé qui remporte l'adhésion d'une presse médusée et d'un public curieux. Deux ans après paraît l'EP inédit Five Spanish Songs enregistré en collaboration avec le chanteur de Sr. Chinarro, Antonio Luque, puis l'album de The New Pornographers Brill Bruisers. En 2015, la dixième production de Destroyer, Poison Season, agrémente les cordes et le saxophone.

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Jane Ehrhardt

Depuis son arrivée dans la scène musicale de Québec il y a dix ans, Jane Ehrhardt a joué dans à peu près toutes les salles accueillant des auteurs-compositeurs au Québec et dans l’est du pays, se faisant ainsi un nom comme fière représentante du genre folk issue de la vieille capitale.

http://www.jane-ehrhardt.com