Série Coup de Coeur : Lydia Képinski & Choses sauvages
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Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, Café culturel de la Chasse-galerie, à info@chasse-galerie.ca ou au +1 450-586-9569.
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Admission générale. Les places assises seront attribuées lors de votre arrivée. Masque de procédure obligatoire lors des déplacements dans la salle. Service de bar disponible sur place.
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PLATEAU DOUBLE
Lydia Képinski canalise son énergie expansive d’enfant spéciale dans la musique, apprenant le piano classique puis la guitare. Son obstination à faire toujours le contraire de ce qu’on lui dit l’amène à se faire remarquer dans plusieurs concours jusqu’au lancement en 2016 d’un EP sobrement baptisé EP et à une victoire éclatante aux Francouvertes. L’année suivante, c’est au Gala GAMIQ qu’elle s’illustre en remportant les catégories «Révélation de l’année» et «EP de l’année» avant de rendre l’âme en 2018 sur Premier juin. Réalisé par Blaise Borboën-Léonard et paru sur l’étiquette Chivi Chivi, ce premier album de chansons douces-amères porte la marque de sa candeur et de son ironie légendaire. Ses chansons s’attardent aux aléas de l’attachement, aux méandres des troubles de la personnalité, à la difficulté de trouver sa place. Une célébration de la jeunesse pour constituer un exorcisme des apprentissages douloureux porté par des guitares électriques et des arrangements finement ciselés. Lydia Képinski y défend l’idée d’une pop intelligente brillant d’une lumière sombre. Cet opus la porte un peu partout sur scène au Québec et en France, tout en la propulsant sur la longue liste du prestigieux Prix de musique Polaris. Elle remporte également la catégorie «Album Pop de l’année» lors de l’édition 2018 du Gala GAMIQ et décroche 6 nominations au Gala ADISQ la même année. Un an plus tard, une relecture complète de l’album par sept beatmakers (Cri, Robert Robert, Tommy Kruise, Ryan Playground, Odile Myrtil, Ben Shemie, Softcoresoft) offre un képi-mixtape saisissant aux accents house, minimal ou transe, accompagné par un mixtape vidéo. Les portes du succès s’ouvrent toutes grandes devant cette nouvelle voix aussi fragile qu’affirmée de la chanson québécoise. Parions qu’un jour tout proche, on saura écrire son nom correctement.
Choses sauvages:
Suite à un passage atomique sur les scènes des salles et festivals de la province, un Club Soda à guichets fermés à Montréal pour son spectacle Rewerk, une tournée en première partie de Half Moon Run, Choses Sauvages présente enfin son nouvel album, de nouveau sous l’étiquette Audiogram.
Toujours animé par le souci d’une démarche rigoureuse et méticuleuse, Choses Sauvages a mûri sans délaisser son côté rebelle. Son nouvelle opus Choses Sauvages II se rapproche dorénavant de certaines influences plus électroniques et nu-disco à la façon de L’Impératrice ou du producteur Lindstrøm, tout en poursuivant son voyage fascinant dans les sentiers du funk, inspiré par les Bowie et Bee Gees de ce monde. La quête sonore de la formation, encore plus léchée et mordante, se matérialise en douze chansons et une heure d’écoute. Après plus d’un an à contenir leur énergie, attendez-vous à voir les forces des «cavaliers du groove» décuplées en spectacle. Réputés pour être de véritables bêtes de scène, Marc-Antoine Barbier (guitare), Thierry Malépart (guitare, clavier), Tommy Bélisle (clavier), Philippe Gauthier-Boudreau (batteur) sont toujours menés par l’incandescent Félix Bélisle (chant, basse). L’ami Charles Primeau s’échappe de Foreign Diplomats le temps des spectacles pour tenir la basse.
Dès septembre 2018, Choses Sauvages propose un premier album éponyme à saveur dance-punk dont la réalisation est assurée par Emmanuel Ethier (Corridor, P’tit Belliveau, Chocolat, Pierre Lapointe). Très bien accueilli par la presse québécoise, cet album se voit nommer dans la catégorie «Album de l’année – Alternatif» au Gala ADISQ 2019 et s’impose comme «Album Indie-rock de l’année» au Gala GAMIQ la même année, atteignant par le fait même les sommets des palmarès des radios indépendantes de la province. Plus récemment, la chanson ancrée dans un rock «motorik» effervescent L’Or et l’argent, ainsi que l’épopée disco de neuf minutes Apophis, co-réalisées avec l’ingénieur du son Samuel Gemme (Gamma Recording Studio) établissent les bases de ce nouveau son plus explosif et dansant que jamais.
- Remboursements
- Aucun remboursement
- Accès pour personnes à mobilité réduite
- Oui
- Gratuité pour l'accompagnateur
- Oui
Admission générale. Les places assises seront attribuées lors de votre arrivée. Masque de procédure obligatoire lors des déplacements dans la salle. Service de bar disponible sur place.
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PLATEAU DOUBLE
Lydia Képinski canalise son énergie expansive d’enfant spéciale dans la musique, apprenant le piano classique puis la guitare. Son obstination à faire toujours le contraire de ce qu’on lui dit l’amène à se faire remarquer dans plusieurs concours jusqu’au lancement en 2016 d’un EP sobrement baptisé EP et à une victoire éclatante aux Francouvertes. L’année suivante, c’est au Gala GAMIQ qu’elle s’illustre en remportant les catégories «Révélation de l’année» et «EP de l’année» avant de rendre l’âme en 2018 sur Premier juin. Réalisé par Blaise Borboën-Léonard et paru sur l’étiquette Chivi Chivi, ce premier album de chansons douces-amères porte la marque de sa candeur et de son ironie légendaire. Ses chansons s’attardent aux aléas de l’attachement, aux méandres des troubles de la personnalité, à la difficulté de trouver sa place. Une célébration de la jeunesse pour constituer un exorcisme des apprentissages douloureux porté par des guitares électriques et des arrangements finement ciselés. Lydia Képinski y défend l’idée d’une pop intelligente brillant d’une lumière sombre. Cet opus la porte un peu partout sur scène au Québec et en France, tout en la propulsant sur la longue liste du prestigieux Prix de musique Polaris. Elle remporte également la catégorie «Album Pop de l’année» lors de l’édition 2018 du Gala GAMIQ et décroche 6 nominations au Gala ADISQ la même année. Un an plus tard, une relecture complète de l’album par sept beatmakers (Cri, Robert Robert, Tommy Kruise, Ryan Playground, Odile Myrtil, Ben Shemie, Softcoresoft) offre un képi-mixtape saisissant aux accents house, minimal ou transe, accompagné par un mixtape vidéo. Les portes du succès s’ouvrent toutes grandes devant cette nouvelle voix aussi fragile qu’affirmée de la chanson québécoise. Parions qu’un jour tout proche, on saura écrire son nom correctement.
Choses sauvages:
Suite à un passage atomique sur les scènes des salles et festivals de la province, un Club Soda à guichets fermés à Montréal pour son spectacle Rewerk, une tournée en première partie de Half Moon Run, Choses Sauvages présente enfin son nouvel album, de nouveau sous l’étiquette Audiogram.
Toujours animé par le souci d’une démarche rigoureuse et méticuleuse, Choses Sauvages a mûri sans délaisser son côté rebelle. Son nouvelle opus Choses Sauvages II se rapproche dorénavant de certaines influences plus électroniques et nu-disco à la façon de L’Impératrice ou du producteur Lindstrøm, tout en poursuivant son voyage fascinant dans les sentiers du funk, inspiré par les Bowie et Bee Gees de ce monde. La quête sonore de la formation, encore plus léchée et mordante, se matérialise en douze chansons et une heure d’écoute. Après plus d’un an à contenir leur énergie, attendez-vous à voir les forces des «cavaliers du groove» décuplées en spectacle. Réputés pour être de véritables bêtes de scène, Marc-Antoine Barbier (guitare), Thierry Malépart (guitare, clavier), Tommy Bélisle (clavier), Philippe Gauthier-Boudreau (batteur) sont toujours menés par l’incandescent Félix Bélisle (chant, basse). L’ami Charles Primeau s’échappe de Foreign Diplomats le temps des spectacles pour tenir la basse.
Dès septembre 2018, Choses Sauvages propose un premier album éponyme à saveur dance-punk dont la réalisation est assurée par Emmanuel Ethier (Corridor, P’tit Belliveau, Chocolat, Pierre Lapointe). Très bien accueilli par la presse québécoise, cet album se voit nommer dans la catégorie «Album de l’année – Alternatif» au Gala ADISQ 2019 et s’impose comme «Album Indie-rock de l’année» au Gala GAMIQ la même année, atteignant par le fait même les sommets des palmarès des radios indépendantes de la province. Plus récemment, la chanson ancrée dans un rock «motorik» effervescent L’Or et l’argent, ainsi que l’épopée disco de neuf minutes Apophis, co-réalisées avec l’ingénieur du son Samuel Gemme (Gamma Recording Studio) établissent les bases de ce nouveau son plus explosif et dansant que jamais.
- Remboursements
- Aucun remboursement
- Accès pour personnes à mobilité réduite
- Oui
- Gratuité pour l'accompagnateur
- Oui
La salle de spectacle est située à l'Église Saint-Antoine au 1351 rue Notre-Dame à Lavaltrie.
Le stationnement de l’église, situé à l’intersection des rues Notre-Dame
et Saint-Antoine Nord, et le stationnement de l'hôtel de Ville sont mis à votre disposition gratuitement. En cas de débordement, le stationnement situé à l’arrière de la Maison des contes et légendes (1251, rue Notre-Dame) demeure accessible via la rue Benoit.
Heures d'ouverture
Lydia Képinski
Choses sauvages
chosessauvages.bandcamp.com/Événements à venir
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23 novembre 2024, 20h00Garage à Simon, Lavaltrie, QC
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Chasse-galRIRE : François Bellefeuille
28 novembre 2024, 20h00Église Saint-Antoine de Lavaltrie, Lavaltrie, QC -
Chasse-galRIRE : Jo Cormier
29 novembre 2024, 20h00Église Saint-Antoine de Lavaltrie, Lavaltrie, QC -
Série Prestige : Yelo Molo
30 novembre 2024, 20h00Église Saint-Antoine de Lavaltrie, Lavaltrie, QC