DANY PLACARD
Cantons Culture présente

DANY PLACARD

Événement en personne
31 mars 2018
20h00 / Entrée: 19h00

119, 1re Avenue, Stoneham-et-Tewkesbury, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Cantons Culture à cantonsculture@gmail.com.

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Suite à son arrivée à Montréal, Dany Placard (ou Dany Gauthier pour les intimes) a consacré la moitié de sa vie à la création. Déjà, en 1998, le Saguenéen d’origine autoproduit un premier album. Au lendemain de cette sortie, il continue à baigner dans les tonalités folk lorsqu’il s’allie à Éric Villeneuve afin de former le groupe Plywood ¾, avec qui il fera paraître deux albums qui y mélangent aussi le rock et même les sons jazz.

Depuis 2005, Placard enchaîne les albums solos. Rang de l’église (2005), Raccourci (2008), Placard (2010), Démon vert (2012) et Santa Maria (2014) sont tous applaudis par la critique et trempent dans un univers aux histoires americana. Sa poésie crue et ses guitares folk rock rappellent les bons vieux Bob Dylan et Neil Young, une musique que l’on prend plaisir à faire jouer dans le tapis pendant un roadtrip.

Parallèlement à sa carrière solo, le musicien est un réalisateur convoité, offrant son expertise à de nombreux artistes de son entourage, dont Laura Sauvage, Louis-Philippe Gingras, Francis Faubert et domlebo. Puis, en 2015, Placard fait le saut devant la caméra, tenant le premier rôle du court métrage Bleu tonnerre, réalisé par Philippe David Gagné et Jean-Marc E. Roy, et y signe la bande sonore.

Suite à ce long séjour, Placard sent qu’il en a vu assez du paysage folk. Il met à la poubelle un album presque complet, monte sur sa moto et retourne en ville, transporté par une ambition musicale qui le conduit vers des sonorités nettement en ligne avec son temps et, surtout, avec lui-même.

C’est ainsi que Placard perle Full Face, un album qui lui prendra 3 ans à concrétiser. L’époque des harmonicas et des guitares sèches est derrière lui ; Placard entre dans l’ère des guitares électriques lourdes et des tonalités rock alternatif. C’est un réel travail de déprogrammation pour l’artiste qui doit troquer ses habitudes folk pour des sonorités plus modernes. Entouré de Guillaume Bourque (guitare, co-réalisation), de Marc-Olivier Tremblay Drapeau (basse), de Camille Gélinas (clavier), de Jonathan Bigras (batterie), de Gabriel Desjardins et de Louis-Philippe Gingras (arrangements et cordes), le musicien explore des tons plus grunges, particulièrement inspiré de Nirvana, Alice In Chains et de Radiohead, mélangeant ses textes aux images sombres à une musique plus lumineuse.

Il faut le dire, Dany Placard n’est plus en éternel roadtrip dans l’Amérique profonde. Au contraire, il est bien établi, chez lui, dans un Montréal qu’il a adopté depuis maintenant 20 ans.

Vérification des disponibilités en cours...

Suite à son arrivée à Montréal, Dany Placard (ou Dany Gauthier pour les intimes) a consacré la moitié de sa vie à la création. Déjà, en 1998, le Saguenéen d’origine autoproduit un premier album. Au lendemain de cette sortie, il continue à baigner dans les tonalités folk lorsqu’il s’allie à Éric Villeneuve afin de former le groupe Plywood ¾, avec qui il fera paraître deux albums qui y mélangent aussi le rock et même les sons jazz.

Depuis 2005, Placard enchaîne les albums solos. Rang de l’église (2005), Raccourci (2008), Placard (2010), Démon vert (2012) et Santa Maria (2014) sont tous applaudis par la critique et trempent dans un univers aux histoires americana. Sa poésie crue et ses guitares folk rock rappellent les bons vieux Bob Dylan et Neil Young, une musique que l’on prend plaisir à faire jouer dans le tapis pendant un roadtrip.

Parallèlement à sa carrière solo, le musicien est un réalisateur convoité, offrant son expertise à de nombreux artistes de son entourage, dont Laura Sauvage, Louis-Philippe Gingras, Francis Faubert et domlebo. Puis, en 2015, Placard fait le saut devant la caméra, tenant le premier rôle du court métrage Bleu tonnerre, réalisé par Philippe David Gagné et Jean-Marc E. Roy, et y signe la bande sonore.

Suite à ce long séjour, Placard sent qu’il en a vu assez du paysage folk. Il met à la poubelle un album presque complet, monte sur sa moto et retourne en ville, transporté par une ambition musicale qui le conduit vers des sonorités nettement en ligne avec son temps et, surtout, avec lui-même.

C’est ainsi que Placard perle Full Face, un album qui lui prendra 3 ans à concrétiser. L’époque des harmonicas et des guitares sèches est derrière lui ; Placard entre dans l’ère des guitares électriques lourdes et des tonalités rock alternatif. C’est un réel travail de déprogrammation pour l’artiste qui doit troquer ses habitudes folk pour des sonorités plus modernes. Entouré de Guillaume Bourque (guitare, co-réalisation), de Marc-Olivier Tremblay Drapeau (basse), de Camille Gélinas (clavier), de Jonathan Bigras (batterie), de Gabriel Desjardins et de Louis-Philippe Gingras (arrangements et cordes), le musicien explore des tons plus grunges, particulièrement inspiré de Nirvana, Alice In Chains et de Radiohead, mélangeant ses textes aux images sombres à une musique plus lumineuse.

Il faut le dire, Dany Placard n’est plus en éternel roadtrip dans l’Amérique profonde. Au contraire, il est bien établi, chez lui, dans un Montréal qu’il a adopté depuis maintenant 20 ans.

DANY PLACARD

Suite à son arrivée à Montréal, Dany Placard (ou Dany Gauthier pour les intimes) a consacré la moitié de sa vie à la création. Déjà, en 1998, le Saguenéen d’origine autoproduit un premier album. Au lendemain de cette sortie, il continue à baigner dans les tonalités folk lorsqu’il s’allie à Éric Villeneuve afin de former le groupe Plywood ¾, avec qui il fera paraître deux albums qui y mélangent aussi le rock et même les sons jazz.

Depuis 2005, Placard enchaîne les albums solos. Rang de l’église (2005), Raccourci (2008), Placard (2010), Démon vert (2012) et Santa Maria (2014) sont tous applaudis par la critique et trempent dans un univers aux histoires americana. Sa poésie crue et ses guitares folk rock rappellent les bons vieux Bob Dylan et Neil Young, une musique que l’on prend plaisir à faire jouer dans le tapis pendant un roadtrip.

Parallèlement à sa carrière solo, le musicien est un réalisateur convoité, offrant son expertise à de nombreux artistes de son entourage, dont Laura Sauvage, Louis-Philippe Gingras, Francis Faubert et domlebo. Puis, en 2015, Placard fait le saut devant la caméra, tenant le premier rôle du court métrage Bleu tonnerre, réalisé par Philippe David Gagné et Jean-Marc E. Roy, et y signe la bande sonore.

Suite à ce long séjour, Placard sent qu’il en a vu assez du paysage folk. Il met à la poubelle un album presque complet, monte sur sa moto et retourne en ville, transporté par une ambition musicale qui le conduit vers des sonorités nettement en ligne avec son temps et, surtout, avec lui-même.

C’est ainsi que Placard perle Full Face, un album qui lui prendra 3 ans à concrétiser. L’époque des harmonicas et des guitares sèches est derrière lui ; Placard entre dans l’ère des guitares électriques lourdes et des tonalités rock alternatif. C’est un réel travail de déprogrammation pour l’artiste qui doit troquer ses habitudes folk pour des sonorités plus modernes. Entouré de Guillaume Bourque (guitare, co-réalisation), de Marc-Olivier Tremblay Drapeau (basse), de Camille Gélinas (clavier), de Jonathan Bigras (batterie), de Gabriel Desjardins et de Louis-Philippe Gingras (arrangements et cordes), le musicien explore des tons plus grunges, particulièrement inspiré de Nirvana, Alice In Chains et de Radiohead, mélangeant ses textes aux images sombres à une musique plus lumineuse.

Il faut le dire, Dany Placard n’est plus en éternel roadtrip dans l’Amérique profonde. Au contraire, il est bien établi, chez lui, dans un Montréal qu’il a adopté depuis maintenant 20 ans.