KALEIDOSCOPE: SPECTACLE UN MONDE DE REVE
Kaleidoscope présente

KALEIDOSCOPE: SPECTACLE UN MONDE DE REVE

Événement en personne
24 novembre 2015
20h00 / Entrée: 19h00

228, St-Joseph Est, Québec, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Kaleidoscope à guylapointe@videotron.ca.

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Première œuvre du groupe rassemblé par Guy Lapointe, co-fondateur des Colocs et de Pierre A. Gauthier De La Vérendrye, co-fondateur de Aut'chose avec Lucien Francoeur, cet album nous propose une pure expérience de plaisir, ponctuée d'arrêts réfléchis et de moments d'intimités comme celui où l'auteur, Guy Lapointe, nous parle de son ami, Dédé Fortin. Un album qui se veut d'approche facile, mais qui se laisse désirer encore et encore.

L'album « Un monde de rêve » baigne dans un son actuel, chaleureux, naturel, à la prise de voix directe, proche de l'auditeur. Presque « Indie » sans l'être, sans trop d'artifices vocaux, il réserve de belles trouvailles minimalistes qui contribuent à créer une ambiance soulignant avec justesse les intentions de chaque chanson, sans les dénaturer.

Un monde de rêve s'ouvre sur « La Grande Veillée », un zydeco avec des saveurs africaines et des guitares presque surfs. Sur une musique joyeuse, la chanson présente l'histoire métaphorique du naufrage d'un individu noyé dans les plaisirs.
Cohérence de sonorité, mais aussi, de contenu, qui enrobe des styles variés : du rythme country d'« Au prochain départ », à la chanson française traditionnelle aux ambiances classico/atmosphériques de « C'est la guerre », à « Seule », ballade pop rock libératrice d'amours déchus à la touche presque psychédélique.

Un rock énergique, hymne à la Danse, au Chant, à l'Amour au présent : « Chanter, danser » côtoie « Un monde de rêve », fantaisie critique qui allie ska et comédie musicale. Un rock de route lourd pour motards et cyclistes écolos, « La maudite ride de bicyke », précède un rock chaud d'influence autochtone, « Spirit of Eagle ».

« Better », amuse gueule néo-soul s'amuse des nostalgiques du passé, annonce une fête swing sur la schizophrénie jour / travail vs soirée / fête, « J'aime le monde… », fait contraste avec « Pour Dédé » hommage acoustique à un ami pour lequel la vie s'est révélée trop pesante.

L'album « un monde de rêve », à l'image de Kaléidoscope, allie diversité, fête et réflexion sur des textes appuyés, témoigne d'un temps où le plaisir n'est jamais loin de la chute, où le pire s'il côtoie le meilleur n'est tout de même jamais une raison pour laisser tomber l'espoir.

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Première œuvre du groupe rassemblé par Guy Lapointe, co-fondateur des Colocs et de Pierre A. Gauthier De La Vérendrye, co-fondateur de Aut'chose avec Lucien Francoeur, cet album nous propose une pure expérience de plaisir, ponctuée d'arrêts réfléchis et de moments d'intimités comme celui où l'auteur, Guy Lapointe, nous parle de son ami, Dédé Fortin. Un album qui se veut d'approche facile, mais qui se laisse désirer encore et encore.

L'album « Un monde de rêve » baigne dans un son actuel, chaleureux, naturel, à la prise de voix directe, proche de l'auditeur. Presque « Indie » sans l'être, sans trop d'artifices vocaux, il réserve de belles trouvailles minimalistes qui contribuent à créer une ambiance soulignant avec justesse les intentions de chaque chanson, sans les dénaturer.

Un monde de rêve s'ouvre sur « La Grande Veillée », un zydeco avec des saveurs africaines et des guitares presque surfs. Sur une musique joyeuse, la chanson présente l'histoire métaphorique du naufrage d'un individu noyé dans les plaisirs.
Cohérence de sonorité, mais aussi, de contenu, qui enrobe des styles variés : du rythme country d'« Au prochain départ », à la chanson française traditionnelle aux ambiances classico/atmosphériques de « C'est la guerre », à « Seule », ballade pop rock libératrice d'amours déchus à la touche presque psychédélique.

Un rock énergique, hymne à la Danse, au Chant, à l'Amour au présent : « Chanter, danser » côtoie « Un monde de rêve », fantaisie critique qui allie ska et comédie musicale. Un rock de route lourd pour motards et cyclistes écolos, « La maudite ride de bicyke », précède un rock chaud d'influence autochtone, « Spirit of Eagle ».

« Better », amuse gueule néo-soul s'amuse des nostalgiques du passé, annonce une fête swing sur la schizophrénie jour / travail vs soirée / fête, « J'aime le monde… », fait contraste avec « Pour Dédé » hommage acoustique à un ami pour lequel la vie s'est révélée trop pesante.

L'album « un monde de rêve », à l'image de Kaléidoscope, allie diversité, fête et réflexion sur des textes appuyés, témoigne d'un temps où le plaisir n'est jamais loin de la chute, où le pire s'il côtoie le meilleur n'est tout de même jamais une raison pour laisser tomber l'espoir.

KALEIDOSCOPE

Kaléidoscope est un amalgame de musiciens d'horizons divers, aux parcours éclectiques, de la Côte-Nord à l'Abitibi en passant par Québec et le Mexique, fondus dans le creuset montréalais. Le groupe s'est bâti progressivement, au fil des ans, avant de se souder musicalement grâce à la venue du petit dernier : le bassiste! Le style musical puise son origine dans le rock américain et celui des Îles britanniques, apprêté de diverses couleurs et textures, de sonorités bien actuelles. Les mélodies accrocheuses portent des textes qui ne laissent rien au hasard et mêlent les influences de la chanson française et québécoise, jouent entre la réalité et l'image, dans l'espoir de susciter à la fois émotion et réflexion. En spectacle il y a ce phénomène intraduisible : le "GROOVE", qui s'est installé! Imaginez Kaléidoscope comme un tourbillon éclaté de 50 ans d'histoire musicale canalisé dans un module espace-temps lancé dans le XXIème siècle.

Guy Lapointe: Guy est le principal auteur-compositeur et interprète de Kaléidoscope.
Il a été membre fondateur du groupe les COLOCS et a collaboré à l'écriture de chansons avec son ami « Dédé ». De ses premiers pas musicaux à l'âge de 15 ans, en République Dominicaine, il a préservé une approche autodidacte de la musique assimilée, au fil des voyages, des fêtes et des amitiés : de Québec dans les années 70, sur la Terrasse Dufferin, à Greenwich Village avec David Peel; du métro, des terrasses et des bars de Paris, aux plages du sud de la France dans les années 90. De retour au Québec à l'approche de l'an 2000, la mort tragique d'André Fortin qui devait réaliser son premier album, a fait taire les muses, le temps d'un deuil difficile. C'est grâce à la formation du groupe les Deadlocks, par des travailleurs de Radio-Canada en lock-out et d'une première partie du spectacle de soutien, au défunt Spectrum, en compagnie des Plume Latraverse, Michel Rivard, Richard Séguin et Gilles Vigneault, que la musique a repris ses droits. En 2011, un premier album, « J'ai Vu » a été lancé à titre individuel et voici maintenant ce deuxième, « Un monde de rêve », au sein d'un groupe, Kaléidoscope, dont il rêve depuis longtemps.

Pierre Gauthier: Le vétéran : dans le métier depuis plus de 35-ans, compositeur et guitariste, Pierre Gauthier s'est fait connaître au sein de la formation Aut'Chose jusqu'en 1975 avant de former le groupe progressif Éclipse l'année suivant. Au cours de sa carrière, il aura aussi fait partie des groupes les Super Classels, Le Show, ainsi que le duo Fauve au début des années 2000. Il a aussi travaillé régulièrement en studio avec de multiples artistes, dont le groupe In Motion qui a connu un certain succès au début des années 2000. Toujours actif en 2011, il a co-écrit et réalisé un album avec Christine Albertoni . Ces dernières années, il a participé aussi au groupe Guy Lapointe et les Lascars devenu Kaléidoscope en tant que directeur musical, bassiste et guitariste soliste.

Pierre Dumas: Bassiste, autodidacte à l'origine, complète un Baccalauréat en Musique Générale à l'université de Montréal, option guitare classique. Musicien de métier de 1977 à 1995, il accompagné plusieurs artistes Québécois en tournées, canadiennes et européennes, dont Daniel Lavoie, Brault et Fréchette, Maurice Paquin, Calixte Duguay. Pierre s’est retiré de la scène professionnelle en 1995 pour des raisons familiales tout en demeurant actif au sein de chorales et en accompagnant des chanteurs. Avec Kaléidoscope, lui aussi reprend du service.

Mira Shanti Staffieri: Un talent naturel aux voix et aux percussions. Choriste, Mira allie charme et talent naturel aux voix et aux percussions. Au fil des ans, elle avec les groupes Zed Wave, Mutant Muses, les artistes Luc Guimond, Nico Lelièvre et Just Wôan aux Francofolies avant de se joindre aux Lascars et poursuivre avec Kaléidoscope.

Yves Drapeau: Le claviériste: Après avoir étudié le piano classique à Vincent D'Indy pendant 7ans, il a successivement joué pour les groupes d’interprétation Union Days, Taylor Made et Lipstick, de 1984 à 88 dans presque tous les clubs du Québec. Il revient à la musique avec Kaléidoscope.

Jacques-André Couture (JAC): La batterie et les harmonies vocales sont une seconde nature pour JAC. Déjà, à 4 ou 5 ans, il vidait les armoires pour se faire une batterie avec les chaudrons de sa mère! Quelques années plus tard, ses parents décidaient de lui offrir une vraie batterie dans l'espoir de sauver les meubles du salon. JAC n'a pas cessé de « brasser » ses drums depuis lors! Il a fait partie de nombreux groupes inconnus aux noms étranges : Trigonometric Avenue, Splendor of Sin, L'Obsession, Van Ego, Ladies First, etc. Il a également accompagné plusieurs vedettes pop et en plus de Kaléidoscope. Il participe au groupe de rock original Friday’s Heroes.