Mozart voyage!
Galileo présente

Mozart voyage!

Événement en personne
3 juin 2023
19h30 – 22h30 / Entrée: 19h00

145, boul. Harwood, Vaudreuil-Dorion, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Galileo à info@orchestregalileo.com.

Achat de billets

De par sa qualité de très jeune prodige, Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) fut trimbalé par son père dans toutes les grandes cours d'Europe dès l'âge de cinq ans. Par la suite, l'adulte qu'il était devenu s'étant fait un nom, plusieurs des meilleurs orchestres du Vieux Continent lui commandèrent diverses œuvres, dont les symphonies dites de «Paris», «Linz» et «Prague», toutes fort réussies.

Le concert «Mozart voyage!» illustre l'apport du compositeur au genre symphonique en faisant le tour de celles de ses œuvres identifiées à des noms de villes européennes. S'y greffent la symphonie dite «Haffner», terminée à Vienne, de même que celle qui l'inspira, la Symphonie op. 18, n° 1 de Jean-Chrétien Bach — l'un des fils de Jean Sébastien —, que Mozart rencontra à Londres lorsqu'il était encore enfant. 

En prime, l'extraordinaire concerto en do mineur KV 491, joué pour l'occasion par la talentueuse pianofortiste Gili Loftus.

Détail des œuvres du concert

Pot-pourri
Symphonie op.18, n° 1 | Composée à Londres par J. C. BACH  
Symphonie n° 31, KV 297 | «Paris»
Symphonie n° 36, KV 425 | «Linz»
Symphonie n° 35, KV 385 | «Haffner» terminée à Vienne

Concerto en do mineur, KV 491. Gili Loftus, pianoforte.

Entracte

Symphonie n° 31, KV 506 | «Prague»

• Effectifs: 28 musiciens, une soliste, un chef

◊◊◊

Due to his quality as a very young prodigy, Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) was carried around by his father in all the great courts of Europe from the age of five. Subsequently, the adult he had become having made a name for himself, several of the best orchestras of the Old Continent commissioned various works from him, including the symphonies known as "Paris", "Linz" and "Prague", all very successful.

The concert “Mozart travels!" illustrates the composer's contribution to the symphonic style by reviewing those of his works identified with the names of European cities. The so-called “Haffner” symphony, completed in Vienna, is added to it, as well as the one that inspired it, the Symphony op. 18, no. 1 by Jean-Chrétien Bach — one of the sons of Jean Sébastien — whom Mozart met in London when he was still a child.

As a bonus, the extraordinary concerto in C minor KV 491, played for the occasion by the gifted pianofortist Gili Loftus.

Échanges
Jusqu'à ce que l'événement débute
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De par sa qualité de très jeune prodige, Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) fut trimbalé par son père dans toutes les grandes cours d'Europe dès l'âge de cinq ans. Par la suite, l'adulte qu'il était devenu s'étant fait un nom, plusieurs des meilleurs orchestres du Vieux Continent lui commandèrent diverses œuvres, dont les symphonies dites de «Paris», «Linz» et «Prague», toutes fort réussies.

Le concert «Mozart voyage!» illustre l'apport du compositeur au genre symphonique en faisant le tour de celles de ses œuvres identifiées à des noms de villes européennes. S'y greffent la symphonie dite «Haffner», terminée à Vienne, de même que celle qui l'inspira, la Symphonie op. 18, n° 1 de Jean-Chrétien Bach — l'un des fils de Jean Sébastien —, que Mozart rencontra à Londres lorsqu'il était encore enfant. 

En prime, l'extraordinaire concerto en do mineur KV 491, joué pour l'occasion par la talentueuse pianofortiste Gili Loftus.

Détail des œuvres du concert

Pot-pourri
Symphonie op.18, n° 1 | Composée à Londres par J. C. BACH  
Symphonie n° 31, KV 297 | «Paris»
Symphonie n° 36, KV 425 | «Linz»
Symphonie n° 35, KV 385 | «Haffner» terminée à Vienne

Concerto en do mineur, KV 491. Gili Loftus, pianoforte.

Entracte

Symphonie n° 31, KV 506 | «Prague»

• Effectifs: 28 musiciens, une soliste, un chef

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Due to his quality as a very young prodigy, Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) was carried around by his father in all the great courts of Europe from the age of five. Subsequently, the adult he had become having made a name for himself, several of the best orchestras of the Old Continent commissioned various works from him, including the symphonies known as "Paris", "Linz" and "Prague", all very successful.

The concert “Mozart travels!" illustrates the composer's contribution to the symphonic style by reviewing those of his works identified with the names of European cities. The so-called “Haffner” symphony, completed in Vienna, is added to it, as well as the one that inspired it, the Symphony op. 18, no. 1 by Jean-Chrétien Bach — one of the sons of Jean Sébastien — whom Mozart met in London when he was still a child.

As a bonus, the extraordinary concerto in C minor KV 491, played for the occasion by the gifted pianofortist Gili Loftus.

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Gili Loftus

Claviériste primée, la Canadienne d'origine Gili Loftus possède une triple expertise du pianoforte, du piano moderne et du clavecin qui lui confère un caractère unique. Cela lui a ouvert de nouvelles et passionnantes voies d'exploration artistique dont elle a été invitée à faire part par le biais de ses performances et conférences à travers les deux côtés de l'Atlantique.

Gili a été publiée dans Keyboard Perspectives et son travail a été présenté dans le New York Times. Elle a aussi été invitée de produire un récital sur la fortepiano originale de Clara Schumann (l’André Stein no. 513) qui est situé au Robert-Schumann-Haus à Zwickau, Allemagne.

En demande croissante en tant qu'artiste soliste et collaboratrice, Gili a été invitée à jouer avec plusieurs  d’ensembles d'instruments d'époque aussi a l’étranger qu’a Montreal, sa ville adoptée. Elle est particulièrement contente quand elle est appelée de revenir jouer des concerts en Israel, sa pays natale. Elle a enregistré pour Backlash Music (Berlin) et Leaf Music (Canada). Plus récemment, elle s’est lancée dans une nouveau projet, Ida’s Salon Online, une série de mini-concerts sur instruments d’époque, explorant des différentes facettes de l’art, de la vie et la culture juifs de la Diaspora.

Gili a été généreusement soutenue par le Conseil des arts du Canada, ainsi que par les fonds AIDA, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.

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Award winning keyboardist, Gili Loftus’ three-fold expertise on the fortepiano, modern piano and harpsichord lend her playing a character that is unique to her, and which has opened up new and exciting paths for artistic and historical exploration which Gili has been invited to share through her performances and lectures on both sides of the Atlantic.

Gili has been published in Keyboard Perspectives, her work featured in The New York Times, and in May 2019, she was invited to present a recital on Clara Schumann’s original 1827 André Stein fortepiano (no. 513), housed at the Robert-Schumann-Haus in Zwickau, Germany.

In growing demand as a solo and collaborative artist, Gili is invited to play with period-instrument ensembles both internationally and in her adopted city of Montreal, and is especially happy when she is called home to play concerts in her native Israel. Most recently, Gili has been busy with the creation of Ida’s Salon Online, a new series of bite-size online concerts on period instruments exploring different facets of Jewish art, life and culture in the diaspora. Gili’s studies and artistic endeavours over the years have been generously supported by the Canada-Israel Cultural Foundation, the Canada Council for the Arts, as well as Fonds AIDA, le conseil des arts et des letters du Québec and the Social Sciences and Humanities Research Council of Canada.

Gili’s recordings can be heard under the Backlash Music (Berlin) and Leaf Music (Canada) labels.

gililoftus.com/projects-1

Daniel Constantineau

Daniel Constantineau (https://danielconstantineau.com/direction-orchestrale/ )entame l’apprentissage de la musique à 12 ans et compose depuis l’âge de 16 ans. Ses premières œuvres sont créées au Camp musical de Lanaudière et constituent sa porte d’entrée au Conservatoire de musique de Montréal, qu’il fréquente de 1975 à 1985. Il y complète des maîtrises en écriture (Magdeleine Martin, Clermont Pépin, Gaston Arel), analyse (Gilles Tremblay) et direction d’orchestre (Raffi Arménian), auxquelles s’ajoute l’apprentissage de la clarinette, du piano, du chant (Jeanine Lachance) et de la composition acousmatique (Micheline Coulombe Saint-Marcoux).

De 1985 à 1987, Daniel Constantineau se perfectionne en direction d’orchestre à l’OSM et la SMCQ, auprès de Charles Dutoit et de Serge Garant. Boursier du Ministère des Affaires culturelles du Québec, il participe à la même époque aux stages de Tanglewood (Gustav Meier), du Domaine Forget (Pierre Dervaux) et du Artsperience Conducting Symposium (Nurhan Arman), en Ontario. Parallèlement à ses études en direction d’orchestre, il aborde la composition de musique de scène — télévision, radio, théâtre, cinéma — d’où émerge depuis plus de 30 ans un catalogue d’œuvres, d’arrangements et d’orchestrations qui se démarque par ses diversité et originalité.

En septembre 1996, il fonde l’Orchestre philharmonique du Grand Montréal, une formation symphonique amateure de grand calibre qui connaît un succès immédiat, ce jusqu’à sa dissolution, en juin 2001. Il prend par la suite les rênes du profil musique du Programme Arts et Lettres du Collège de Valleyfield où, de 2000 à 2013, il enseigne l’histoire, la théorie, l’analyse, le chant choral et la musique assistée par ordinateur.

En 2003, l’audition d’une symphonie de Beethoven par l’Orchestre Révolutionnaire et Romantique de John Eliott Gardiner l’incite à rejoindre l’ensemble Tafelmusik de Toronto afin d’y recevoir, en 2004 et 2006, les avis éclairés de Jeanne Lamon, Ivars Taurins et Bruno Weil en direction d’orchestre et de choeur baroque et classique. Il parfait cette formation en assistant, à l’été 2011, aux répétitions et concerts du Jeune Orchestre Atlantique, un ensemble spécialisé dans l’interprétation de répertoire symphonique classique et romantique sur instruments d’époque. Il y rencontre alors Philippe Herreweghe et Alexander Lonquich, musiciens réputés en la matière.

Ces diverses expériences l’incitent à fonder Galileo (www.orchestregalileo.com) anciennement Orchestre symphonique de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent), un ensemble qui joue dès que cela lui est possible les répertoires classique, romantique et post-romantique sur instruments d’époque et dont l’année de démarrage, en 2010-2011, est couronnée de succès. Depuis lors, Galileo produit environ deux à quatre concerts par année. Dans ce contexte, la sortie d’un premier album sous étiquette ATMA — André Gagnon Baroque —, en octobre 2015, suivie de nominations aux Galas de l’ADISQ et Prix Opus, respectivement en novembre 2016, février 2017 et février 2021, de même que de deux nominations et obtention d’un Prix Opus en janvier 2020, se révèlent des accomplissements de premier plan.

En complément à ses activités de musicien, Daniel Constantineau complète, en 2008, un certificat en journalisme à l’UdeM, dans la foulée duquel il remplit la fonction de journaliste pupitreur surnuméraire au journal Le Devoir, de même que celle de chroniqueur de musique classique à l’émission Le 4 @ 6, de CIBL Radio-Montréal, de 2007 à 2009.

La piqûre des études et la nécessité de bien s’occuper de ses affaires lui commandent de s’inscrire à l’école des Hautes études commerciales de Montréal, où il se voit décerner une Maîtrise en management d’entreprises culturelles avec mention d’excellence, en septembre 2014.

Nominations https://drive.google.com/file/d/10fpLbVA5bKyV5DzUwnz7as6AebYvhpiz/view?usp=share_link Revue de presse https://www.orchestregalileo.com/_files/ugd/992cee_94453a04f6634442b825e32d7c6771b6.pdf

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Daniel Constantineau began learning music at 12 and has been composing since the age of 16. His first works were created at Camp musical de Lanaudière and were his gateway to the Conservatoire de musique de Montréal, where he completed master's degrees in writing (Magdeleine Martin, Clermont Pépin, Gaston Arel), analysis (Gilles Tremblay) and conducting (Raffi Arménian), to which is added learnings of clarinet, piano, singing (Jeanine Lachance) and acousmatic composition (Micheline Coulombe Saint-Marcoux).

From 1985 to 1987, Daniel Constantineau hones its art in orchestral conducting with Charles Dutoit and Serge Garant. A scholarship holder from the Quebec Ministry of Cultural Affairs, he participates at the same time in the summer internships at Tanglewood Music Center (Gustav Meier), Domaine Forget (Pierre Dervaux) and Artsperience Conducting Symposium (Nurhan Arman). At the same time as his studies, he tackled the composition of stage music - television, radio, theater, cinema - from which emerges a catalog of works that stands out for its diversity and originality.

In September 1996, he founded the OPGM, a high-caliber amateur symphonic group which enjoyed immediate success until its disbandment in June 2001.

In 2010, he set up Galileo, a period orchestra whose start-up year, 2010-2011, was crowned with success. Since then, Galileo has produced around two to five concerts per year. In this context, the release of the album “André Gagnon Baroque” (Atma), in October 2015, followed by five nominations at the ADISQ and Quebec Music Council Galas, in 2016, 2017, 2020 and 2021, the all enameled by obtaining an Opus Prize in January 2020, are proving to be major achievements.

danielconstantineau.com