
Le revenu de base: une proposition radicale à l’avenir incertain
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Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, Maison des affaires publiques et internationales, à maison-api@fas.umontreal.ca.
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Yannick Vanderborght, professeur de science politique à l’Université catholique de Louvain (UCLouvain), rejoint la Maison des affaires publiques et internationales dans le contexte d’une classe de maître, durant la semaine du 29 septembre 2025. Dans ce contexte, Ambre Fourier (doctorante à l’Université du Québec à Montréal) et Christian Gérard (chercheur à l’Observatoire québécois des inégalités) se joindront à lui, en compagnie de Pascale Dufour à l’animation (Pascale professeure titulaire au département de science politique de l’Université de Montréal), pour vous amener cette conférence. Celle-ci s’inscrit dans la nouvelle série Dialogues en affaires publiques lancée par la Maison cette année.
L’idée d’octroyer à chaque individu un revenu de base inconditionnel a gagné en popularité ces dernières années. Cette proposition « radicale » est souvent justifiée en référence à une éthique libérale-égalitaire : en fournissant à chacun les bases matérielles minimales de la liberté, sa mise en œuvre permettrait d’égaliser les chances qu’auraient les individus de poursuivre leur conception d’une vie réussie. Mais quelles sont les chances que cette idée, en apparence attractive, prenne un jour la forme d’une politique publique concrète ? Pouvons-nous en anticiper les effets sur les inégalités et la pauvreté ? Des forces politiques et sociales sont-elles réellement prêtes à envisager sa mise en place ? En Belgique, un organisme fédéral a confié à une équipe interdisciplinaire le soin d’examiner ces questions de plus près. La conférence sera l’occasion de présenter quelques-uns des résultats de cette recherche, d’une ampleur inédite, menée entre 2020 et 2025. On insistera en particulier sur trois volets de celle-ci : les effets attendus sur le marché du travail, l’impact en termes de lutte contre la pauvreté, et l’état du débat au sein du monde politique et syndical. Au-delà du cas spécifique de la Belgique, la conférence sera l’occasion de débattre plus largement de l’avenir de cette idée dans le contexte des pays industrialisés.
Yannick Vanderborght, professeur de science politique à l’Université catholique de Louvain (UCLouvain), rejoint la Maison des affaires publiques et internationales dans le contexte d’une classe de maître, durant la semaine du 29 septembre 2025. Dans ce contexte, Ambre Fourier (doctorante à l’Université du Québec à Montréal) et Christian Gérard (chercheur à l’Observatoire québécois des inégalités) se joindront à lui, en compagnie de Pascale Dufour à l’animation (Pascale professeure titulaire au département de science politique de l’Université de Montréal), pour vous amener cette conférence. Celle-ci s’inscrit dans la nouvelle série Dialogues en affaires publiques lancée par la Maison cette année.
L’idée d’octroyer à chaque individu un revenu de base inconditionnel a gagné en popularité ces dernières années. Cette proposition « radicale » est souvent justifiée en référence à une éthique libérale-égalitaire : en fournissant à chacun les bases matérielles minimales de la liberté, sa mise en œuvre permettrait d’égaliser les chances qu’auraient les individus de poursuivre leur conception d’une vie réussie. Mais quelles sont les chances que cette idée, en apparence attractive, prenne un jour la forme d’une politique publique concrète ? Pouvons-nous en anticiper les effets sur les inégalités et la pauvreté ? Des forces politiques et sociales sont-elles réellement prêtes à envisager sa mise en place ? En Belgique, un organisme fédéral a confié à une équipe interdisciplinaire le soin d’examiner ces questions de plus près. La conférence sera l’occasion de présenter quelques-uns des résultats de cette recherche, d’une ampleur inédite, menée entre 2020 et 2025. On insistera en particulier sur trois volets de celle-ci : les effets attendus sur le marché du travail, l’impact en termes de lutte contre la pauvreté, et l’état du débat au sein du monde politique et syndical. Au-delà du cas spécifique de la Belgique, la conférence sera l’occasion de débattre plus largement de l’avenir de cette idée dans le contexte des pays industrialisés.
Cet évènement se déroulera à la salle Michel Fortmann (530-1-3), située dans le Centre d’étude sur la paix et la sécurité internationale (CEPSI).