Pidikwe, Caroline Monnet, 10m11s, Québec

Présentant des femmes autochtones de générations diverses, Pidikwe intègre danse traditionnelle et contemporaine dans un tourbillon audiovisuel qui se situe aux frontières du cinéma et de la performance, quelque part entre le passé et l’avenir.

JE REVIENS À CE LIEU QUE JE N’AI PAS CONNU, Jannie L. Duval, 4m16s, Îles-de-la-Madeleine, Québec.

Correspondance entre une poète et un écrivain. Dans cet échange, les mots tissent un refuge fragile pour la femme, traversée par l’hostilité du paysage automnal des Îles-de-la-Madeleine. Le film explore la tension et la dualité du territoire insulaire, et la manière dont un lieu peut affleurer nos propres tempêtes.

Beau temps, mauvais temps, Florence Lafond, 14m29s, Québec.

Renée, 83 ans, s’est cassée la cheville. Par chance, elle peut compter sur l'aide de sa petite fille Florence, devenue sa proche aidante. Bien que cette épreuve les rapproche plus que jamais, elle les confronte toutefois inévitablement au déclin de Renée

Hypersensible, Martine Frossard, 6m41s, Québec

Hypersensible est le parcours accidenté et surréaliste d’une jeune femme qui cherche à se reconstruire. Puisant dans ses propres souvenirs d’enfance comme dans son imaginaire foisonnant, la cinéaste Martine Frossard brosse un portrait empli de compassion d’une femme en quête de guérison, dans une société peu tolérante de la différence. Porté par un symbolisme riche empruntant au monde végétal, Hypersensible est un doux plaidoyer pour une humanité plus attentive à ses émotions, même les plus difficiles. Et qui rappelle au passage qu’être sensible, c’est être vivant.

Cher Zoscar, Sarah Toussaint-Léveillé, 2m12s, Québec

Le film Cher Zoscar est une correspondance entre le désir de créer et la vie qui t'avale.

Im not a robot, Victoria Warmerdam, 22m30s, Pays-Bas

Après avoir échoué à plusieurs reprises aux tests Captcha, la productrice de musique Lara devient obsédée par une question troublante : pourrait-elle être un robot ?

Despues del silencio, Matilde-Luna Perroti, Québec

Si la force d'un agresseur réside dans le silence de sa victime, la prise de parole est de cette dernière une arme indispensable pour qu'elle parvienne à s'en défaire. Après le silence commence alors la libération.

Anotc ota ickwaparin akosiin, Catherine Boivin, 15m29s, Québec

À la maison, une mère s’occupe des tâches ménagères tandis que de l’autre côté, safille joue insouciante. Une voix off s’adresse à sa propre mère, lui confessant dessouvenirs heureux puis douloureux, éveillant des blessures profondes transmises degénération en génération.

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