Il faut absolument être moderne • Webdiffusion | Online
Galileo présente

Il faut absolument être moderne • Webdiffusion | Online

Événement virtuel
Du 19 avril au 18 mai 2022
  • 19 avril 2022
    19h30 – 23h45 / Entrée: 19h00
  • 21 avril 2022
    0h00 – 23h45
  • 18 mai 2022
    0h00 – 23h45
Lepointdevente.com agit à titre de mandataire pour Galileo dans le cadre de l’affichage en ligne et la vente de billets pour ses événements.
Pour plus d’information à propos de cet événement, veuillez contacter l’organisateur de l’événement, Galileo, à info@orchestregalileo.com.

Achat de billets

Entrée à 19h. Diffusion en direct à partir de 19h30 jusqu'à la fin du concert puis en différé du 21 avril au 18 mai 2022.

«Il faut absolument être moderne», dont le titre reprend la phrase du poète Arthur Rimbaud, s’attache à souligner le cheminement de la musique occidentale vers l’atonalité, un élément de langage marquant les débuts du 20ème siècle, le mardi 19 avril 2021, à l’Église Saint-Michel de Vaudreuil-Dorion.

Galileo compte cette soirée-là aborder de manière historiquement informée des œuvres et compositeurs phares qui illustrent la notion de modernité en musique: Ludwig van Beethoven et sa Grande fugue, op. 133, Richard Wagner et Siegfried Idyll, WWV 103, Arnold Schœnberg et sa seconde Symphonie de chambre, op. 38 et finalement Anton Webern et ses Cinq pièces pour orchestre, op. 5.

Entre la Grande fugue, écrite en 1825, et les Cinq pièces op.5, datant de 1911, s’écoulent 86 années durant lesquelles s’opère l'une des révolutions langagières les plus marquantes de l’histoire de la musique occidentale, l’atonalité, presque totalement établie chez Webern au moment où il couche son opus 5 sur papier mais déjà en germe chez Beethoven.

Galileo désire guider son public sur ce chemin évolutif exceptionnel par l'entremise de compositeurs et de morceaux significatifs à cet égard

Effectifs: 27 musiciens, un chef | Concert hybride

Programme pdf

***

Entry at 7 p.m. Live broadcast from 7:30 p.m. until the end of the concert then postponed from April 21th to May 18th, 2022.

"Il faut absolument être modern" whose title takes up the phrase of the poet Arthur Rimbaud, endeavors to underline the progress of Western music towards atonality, an element of language marking the beginnings of the 20th century, on Tuesday April 19 2021, at Église Saint-Michel in Vaudreuil-Dorion.

Galileo intends that evening to address in a historically informed way the key works and composers who illustrate the notion of modernity in music: Ludwig van Beethoven and his Great Fugue, Op. 133, Richard Wagner and Siegfried Idyll, WWV 103, Arnold Schoenberg and his Second Chamber Symphony, Op. 38 and finally Anton Webern and his Five Pieces for Orchestra, Op. 5.

Between the Great Fugue, written in 1825, and the Five Pieces Op.5, dating from 1911, elapsed 86 years during which one of the most significant language revolutions in the history of Western music took place, the tonality, almost totally established with Webern when he puts his opus 5 down on paper but already in germ with Beethoven.

Galileo wishes to guide its audience on this exceptional evolutionary path through composers and pieces that are significant in this regard.

Staff: 27 musicians, a conductor | Concert is both live and online.

PDF program

Échanges
Jusqu'à ce que l'événement débute
Vérification des disponibilités en cours...

Entrée à 19h. Diffusion en direct à partir de 19h30 jusqu'à la fin du concert puis en différé du 21 avril au 18 mai 2022.

«Il faut absolument être moderne», dont le titre reprend la phrase du poète Arthur Rimbaud, s’attache à souligner le cheminement de la musique occidentale vers l’atonalité, un élément de langage marquant les débuts du 20ème siècle, le mardi 19 avril 2021, à l’Église Saint-Michel de Vaudreuil-Dorion.

Galileo compte cette soirée-là aborder de manière historiquement informée des œuvres et compositeurs phares qui illustrent la notion de modernité en musique: Ludwig van Beethoven et sa Grande fugue, op. 133, Richard Wagner et Siegfried Idyll, WWV 103, Arnold Schœnberg et sa seconde Symphonie de chambre, op. 38 et finalement Anton Webern et ses Cinq pièces pour orchestre, op. 5.

Entre la Grande fugue, écrite en 1825, et les Cinq pièces op.5, datant de 1911, s’écoulent 86 années durant lesquelles s’opère l'une des révolutions langagières les plus marquantes de l’histoire de la musique occidentale, l’atonalité, presque totalement établie chez Webern au moment où il couche son opus 5 sur papier mais déjà en germe chez Beethoven.

Galileo désire guider son public sur ce chemin évolutif exceptionnel par l'entremise de compositeurs et de morceaux significatifs à cet égard

Effectifs: 27 musiciens, un chef | Concert hybride

Programme pdf

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Entry at 7 p.m. Live broadcast from 7:30 p.m. until the end of the concert then postponed from April 21th to May 18th, 2022.

"Il faut absolument être modern" whose title takes up the phrase of the poet Arthur Rimbaud, endeavors to underline the progress of Western music towards atonality, an element of language marking the beginnings of the 20th century, on Tuesday April 19 2021, at Église Saint-Michel in Vaudreuil-Dorion.

Galileo intends that evening to address in a historically informed way the key works and composers who illustrate the notion of modernity in music: Ludwig van Beethoven and his Great Fugue, Op. 133, Richard Wagner and Siegfried Idyll, WWV 103, Arnold Schoenberg and his Second Chamber Symphony, Op. 38 and finally Anton Webern and his Five Pieces for Orchestra, Op. 5.

Between the Great Fugue, written in 1825, and the Five Pieces Op.5, dating from 1911, elapsed 86 years during which one of the most significant language revolutions in the history of Western music took place, the tonality, almost totally established with Webern when he puts his opus 5 down on paper but already in germ with Beethoven.

Galileo wishes to guide its audience on this exceptional evolutionary path through composers and pieces that are significant in this regard.

Staff: 27 musicians, a conductor | Concert is both live and online.

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Orchestre Galileo

Dirigé par Daniel Constantineau, Galileo (anciennement Orchestre symphonique de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent) est la seule compagnie de musique classique professionnelle de la Montérégie-Ouest, en périphérie sud-ouest du Grand Montréal.

Formation de chambre composée de 15 à 35 instrumentistes selon le répertoire qu’il aborde, son principal objectif consiste à produire de la musique symphonique vivante sur un territoire qui en est généralement privé. Il le fait sur instruments d’époque, ce qui s’harmonise à merveille avec le caractère historique de la région.Par ailleurs, Galileo est un OBNL inscrit en tant qu’organisme de bienfaisance et promeut à ce titre la formation et le développement musical de son public en général et des jeunes en particulier.

Depuis le début de ses activités, en octobre 2010, l’Orchestre s’est exécuté à 23 reprises dans diverses agglomérations de la Montérégie-Ouest, de même qu'à Dorval et à Saint-Jérôme. Ses productions témoignent de la qualité de son travail artistique et de son enracinement régional en cela qu’elles l’ont respectivement mené à l’enregistrement des œuvres baroques d’André Gagnon par le prestigieux label ATMA en juillet 2015, à l’obtention de ses premières subventions de Musicaction, Conseil des arts du Canada, Conseil des arts et des lettres du Québec, Conseil des arts et de la culture de Vaudreuil-Soulanges et MRC de Vaudreuil-Soulanges depuis 2015, à sa participation aux Seigneuriales de Vaudreuil-Dorion depuis juin 2016, à des nominations aux Gala de l’ADISQ 2016, Prix Opus 2017, 2020 et 2021 et à la réception d'un premier Prix Opus en janvier 2020 (Meilleur concert - Répertoire multiples), pour «Opéras !», produit en collaboration avec l'Atelier lyrique de l'Opéra de Montréal.

www.orchestregalileo.com

Daniel Constantineau

Daniel Constantineau entame l’apprentissage de la musique à 12 ans et compose depuis l’âge de 16 ans. Ses premières œuvres sont créées au Camp musical de Lanaudière et constituent sa porte d’entrée au Conservatoire de musique de Montréal, qu’il fréquente de 1975 à 1985. Il y complète des maîtrises en écriture (Magdeleine Martin, Clermont Pépin, Gaston Arel), analyse (Gilles Tremblay) et direction d’orchestre (Raffi Arménian), auxquelles s’ajoute l’apprentissage de la clarinette, du piano, du chant (Jeanine Lachance) et de la composition acousmatique (Micheline Coulombe Saint-Marcoux).

De 1985 à 1987, Daniel Constantineau se perfectionne en direction d’orchestre à l’OSM et la SMCQ, auprès de Charles Dutoit et Serge Garant. Boursier du Ministère des Affaires culturelles du Québec, il participe à la même époque aux stages de Tanglewood (Gustav Meier), du Domaine Forget (Pierre Dervaux) et du Artsperience Conducting Symposium (Nurhan Arman), en Ontario. Parallèlement à ses études en direction d’orchestre, il aborde la composition de musique de scène — télévision, radio, théâtre, cinéma — d’où émerge depuis 30 ans un catalogue d’œuvres, d’arrangements et d’orchestrations qui se démarque par ses diversité et originalité.

En septembre 1996, il fonde l’Orchestre philharmonique du Grand Montréal, une formation symphonique amateure de grand calibre qui connaît un succès immédiat, ce jusqu’à sa dissolution, en juin 2001. Il prend par la suite les rênes du profil musique du Programme Arts et Lettres du Collège de Valleyfield où, de 2000 à 2013, il enseigne l’histoire, la théorie, l’analyse, le chant choral et la musique assistée par ordinateur.

En 2003, l’audition d’une symphonie de Beethoven par l’Orchestre Révolutionnaire et Romantique de John Eliott Gardiner l’incite à rejoindre l’ensemble Tafelmusik de Toronto afin d’y recevoir, en 2004 et 2006, les avis éclairés de Jeanne Lamon, Ivars Taurins et Bruno Weil en direction d’orchestre et de choeur baroque et classique. Il parfait cette formation en assistant, à l’été 2011, aux répétitions et concerts du Jeune Orchestre Atlantique, un ensemble spécialisé dans l’interprétation de répertoire symphonique classique et romantique sur instruments d’époque. Il y rencontre alors Philippe Herreweghe et Alexander Lonquich, musiciens réputés en la matière.

Ces diverses expériences l’incitent à fonder Galileo (anciennement Orchestre symphonique de la Vallée-du-Haut- Saint-Laurent), un ensemble qui joue les répertoires classique, romantique et post-romantique sur instruments d’époque et dont l’année de démarrage, en 2010-2011, est couronnée de succès. Depuis lors, Galileo produit environ deux à quatre concerts par année. Dans ce contexte, la sortie d’un premier album sous étiquette ATMA — André Gagnon Baroque —, en octobre 2015, suivie de nominations aux Galas de l’ADISQ et Prix Opus, respectivement en novembre 2016, février 2017 et février 2021, de même que de deux nominations et obtention d’un Prix Opus en janvier 2020, se révèlent des accomplissements de premier plan.

En complément à ses activités de musicien, Daniel Constantineau complète, en 2008, un certificat en journalisme à l’UdeM, dans la foulée duquel il remplit la fonction de journaliste pupitreur surnuméraire au journal Le Devoir, de même que celle de chroniqueur de musique classique à l’émission Le 4 @ 6, de CIBL Radio-Montréal, de 2007 à 2009.

La piqûre des études et la nécessité de bien s’occuper de ses affaires lui commandent de s’inscrire à l’école des Hautes études commerciales de Montréal, où il se voit décerner une Maîtrise en management d’entreprises culturelles avec mention d’excellence, en septembre 2014.

www.danielconstantineau.com