Brigadière-générale Krista Brodie

La brigadière-générale Krista D. Brodie est commandante du Groupe de génération du personnel militaire (GGPM) des Forces armées canadiennes. Ses intérêts, à la fois comme étudiante et praticienne, portent sur le leadership et la littérature, l’histoire et l’humanité, les tempéraments et la culture, la tactique militaire et la ténacité, les sciences et la stratégie, sans oublier les chaines d’approvisionnement mondiales. Pendant sa carrière militaire, la brigadière-générale Brodie a occupé des postes de commandement clés et d’état-major. Parachutiste et professeure, elle a été déployée dans le cadre d’opérations internationales en Croatie, en Bosnie, et en Afghanistan, et a pris part aux luttes nationales contre les inondations, les tempêtes de verglas, les feux de forêt et la récente pandémie. Elle est défenderesse passionnée du développement du personnel. Avec le soutien de son conjoint et de leur gros chien hirsute, ils élèvent trois enfants d’âge scolaire. 

Charles-Philippe David

Charles-Philippe David est professeur titulaire de sciences politiques, président du Centre d'études américaines, ainsi que fondateur de la Chaire Raoul Dandurand d'études stratégiques et diplomatiques (qu'il a dirigée de 1996 à 2016) à l'Université du Québec à Montréal. Il a été élu membre de la Société royale du Canada en 2001. Il a été nommé en 2017-2018 titulaire de la Chaire Rotary en études sur la paix à l'Université de Lille en France. Il a été lauréat du prix Jean Finot de l'Institut de France en 2003. Il a été le premier à recevoir, en 2012, le prix distingué George Vanier du Collège militaire royal du Canada, pour sa contribution érudite à l'avancement des études stratégiques et de sécurité. M. David a obtenu son doctorat de l'Université de Princeton en 1986 (sous la direction de Robert S. Gilpin). De 1985 à 1995, il a enseigné à l'ancien Collège militaire canadien de Saint-Jean sur Richelieu. Le professeur David est un spécialiste de la prise de décision en politique étrangère américaine, de la stratégie nucléaire, des études de sécurité, des conflits armés et des missions de paix. Il a publié plusieurs ouvrages en anglais, dont National Security Entrepreneurs and the Making of American Foreign Policy (McGill Queen's University Press, 2020), Hegemony or Empire ? The Redefinition of U.S. Power under George W. Bush (Ashgate, 2006), The Future of NATO (McGill Queen's University Press, 1999) et Foreign Policy Failure in the White House (University Press of America, 1993). Une douzaine d'autres ouvrages ont été publiés en français et traduits en espagnol, portugais, anglais et mandarin. Il a également publié de nombreux articles dans des revues telles que Policy & Politics, Security Dialogue, The Canadian Journal of Political Science, The Journal of Crisis Management, International Journal, Diplomacy & Statecraft, Defense and Security Analysis, The American Journal of Canadian Studies, Contemporary Security, the Journal of Borderland Studies et European Security. M. David est fréquemment invité à commenter à la télévision de Radio-Canada les crises, les conflits, la sécurité, la défense et les questions de maintien de la paix. Il a donné de nombreux cours et conférences à des publics très variés au Canada, aux États-Unis et en Europe. Il a été professeur invité dans une douzaine d'universités en France (Paris, Lyon, Grenoble, Lille, Nice, Montpellier), et aux États-Unis (UV, UVA, UCLA, Duke, Woodrow Wilson International Center for Scholars, Tampa, Georgia Tech). Il est le seul universitaire canadien à avoir été nommé trois fois comme Senior Fulbright Scholar (UCLA, Duke et Norwich).

Laurence Deschamps-Laporte

Laurence Deschamps-Laporte est directrice scientifique du Centre d’études et de recherches internationales (CÉRIUM) de l’Université de Montréal (UdeM) et professeure adjointe de science politique à cette même université. Spécialiste de la politique étrangère canadienne et de la diplomatie, elle s’intéresse tout particulièrement au féminisme en relations internationales, à la politique au Moyen-Orient et à l’étude des mouvements islamistes. C’est grâce à une bourse Rhodes qu’elle a mené et terminé ses études doctorales en science politique à l’Université d’Oxford. Avant de se joindre à l’UdeM et au CÉRIUM, Laurence Deschamps-Laporte a été conseillère, puis cheffe de cabinet auprès de trois ministres des Affaires étrangères du Canada. À titre de consultante chez McKinsey & Company, elle a réalisé des mandats en politiques publiques dans plusieurs pays d’Afrique et du Moyen-Orient. 

Brigadier-General James Lambert

Le brigadier-général Lambert a joint les Forces canadiennes en 1986 pour étudier au Collège Militaire Royal de Saint-Jean. Il a obtenu son diplôme de baccalauréat en génie mécanique du Royal Military College of Canada à Kingston en 1991. Après deux ans comme officier d’état-major dans un quartier-général stratégique, il a été promu au grade de capitaine en 1994 et muté à Valcartier où il fut employé dans une variété de postes au sein du quartier général et de l’Escadron des transmissions du 5e Groupe brigade mécanisé du Canada (QGET 5 GBMC) et au 1er Bataillon Royal 22e Régiment (1 R22eR). Lors de son service auprès du 1 R22eR, il s’est déployé en Haïti en 1996 dans le cadre d’une mission des Nations Unies où il a servi en tant qu’officier des transmissions du contingent canadien.

Suite à sa promotion au grade de major en 2001, le brigadier-général Lambert a complété une maîtrise en administration des affaires à l’Université Laval et a ensuite été assigné à Ottawa au sein du quartier général de l’Armée canadienne. En juin 2006, le brigadier-général Lambert a été nommé commandant du QGET 2 GBMC à Petawawa, en Ontario. Ce commandement a été suivi en mai 2008 par un déploiement à Kandahar, en Afghanistan, en tant que J6 de la Force opérationnelle interarmées canadienne, où il a été promu au rang de lieutenant-colonel.

En 2009, le brigadier-général Lambert a été muté au US Army Command and General Staff College à Fort Leavenworth, au Kansas. Après deux ans d’études dans un environnement multinational, il a obtenu une maîtrise en art et science militaire de la US Army School of Advanced Military Studies, et fut alors muté à Kingston, en Ontario, en tant que G6 du système de doctrine et d’instruction de la Force terrestre, puis en tant que directeur de groupe d’études au Collège de commandement et d’état-major de l’Armée canadienne. En 2013, le brigadier‑général Lambert a été nommé commandant de l’École de l’électronique et des communications des Forces canadiennes.

Promu au grade de colonel en 2015, il a tout d’abord occupé le poste de chef d’état-major du Centre de la doctrine et de l’instruction de l’Armée canadienne, et fut ensuite nommé Commandant du 7e Groupe des communications en 2016. Après ce commandement, en 2018, il a participé au Cours supérieur du Collège de défense de l’OTAN à Rome, après quoi il fut employé en tant qu’adjoint au directeur général cyberespace.

En 2019, le brigadier-général Lambert a été promu à son rang actuel et affecté au sein du commandement des renseignements des FAC en tant que directeur général de l’entreprise des renseignements, puis en 2020, comme directeur général opérations de la gestion de l’information et commandant de la composante cybernétique de la Force interarmées. Il a également rempli les fonctions de chef de la branche des communications et de l’électronique de mai 2020 jusqu’à juillet 2022.

Le brigadier-général Lambert a deux merveilleuses filles. Il pratique plusieurs sports, en particulier la course à pied et le golf, et est le président d’honneur du basketball masculin des FAC. Il aime aussi la lecture et a un intérêt marqué pour l’histoire.

Alexandra Lesnikowski

Alexandra Lesnikowski est professeure adjointe au département de géographie, d’urbanisme et d’environnement de l’Université Concordia, où elle dirige le Concordia Climate Change Adaptation Lab. Elle est experte en gouvernance et en politiques d’adaptation aux changements climatiques, ainsi qu’en méthodes et approches d’évaluation de l’adaptation. Son groupe de recherche se concentre sur l’avancement de notre compréhension empirique des lacunes et des possibilités d’adaptation émergentes, ainsi que sur les intersections entre les systèmes de logement et la gouvernance de l’adaptation. Les travaux de Mme Lesnikowski sont publiés dans des revues universitaires et des livres édités, et elle figure parmi les auteurs collaborateurs du sixième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat et du dernier Rapport d’évaluation des changements climatiques de Santé Canada. Elle est conseillère experte en adaptation pour l’Institut canadien du climat. À Concordia, elle donne des cours de géographie et d’études urbaines sur le changement climatique, l’évaluation des impacts urbains et l’urbanisation.

Megan Mackenzie

Megan MacKenzie est professeure et titulaire de la chaire Simons en droit international et sécurité humaine à l'Université Simon Fraser. Ses travaux portent essentiellement sur l'importance du genre dans la compréhension de la guerre et de l'insécurité et sur la manière dont les expériences de guerre et d'insécurité sont façonnées par les normes sexuées et le sexisme. Megan étudie la culture militaire et l'intégration du genre dans l'armée depuis plus d'une décennie, menant des projets sur la violence sexuelle militaire, l'intégration des femmes dans les rôles de combat et le suicide chez les militaires. Son plus récent livre, Feminist Solutions for Ending War, coédité avec Nicole Wegner, a été publié chez Pluto en 2021.

Christine Normandin

Christine Normandin est élue députée de Saint-Jean à la Chambre des communes le 21 octobre 2021 et réélue le 20 septembre 2021. Au parlement, elle agit à titre de leader parlementaire adjointe du Bloc Québécois depuis le 13 novembre 2019. Dans son premier mandat, elle a eu le mandat de porte-parole officiel du Bloc Québécois en matière d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté. Depuis sa réélection en 2021, elle a le mandat de porte-parole officiel du Bloc Québécois en matière de Défense nationale.

Ambassadrice Jacqueline O’Neill

Jacqueline O’Neill est la première ambassadrice du Canada pour les femmes, la paix et la sécurité. Nommée par le premier ministre en juin 2019, son rôle principal est de conseiller les ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de nombreux autres ministères engagés dans la mise en œuvre du Plan d’action national du Canada pour les femmes, la paix et la sécurité.

Auparavant, l’ambassadrice O’Neill était présidente de l’Institute for Inclusive Security, une organisation établie aux États-Unis qui a accru l’inclusion des femmes dans les négociations de paix et les processus connexes, y compris la réforme d’organisations policières et militaires. Pendant 13 ans à Inclusive Security, elle a soutenu la création de stratégies et de cadres politiques nationaux pour plus de 30 pays, l’OTAN, l’OSCE et les Nations Unies. Elle a également travaillé directement avec des coalitions de femmes dirigeantes en Colombie, au Soudan du Sud, au Soudan, au Pakistan et ailleurs. Auparavant, l’ambassadrice O’Neill a travaillé à la mission de maintien de la paix des Nations Unies au Soudan et à l’Université pour femmes Ahfad de Khartoum. Avec l’ancien lieutenant-général Roméo Dallaire, elle a participé à la fondation de l’Initiative Roméo Dallaire pour les enfants soldats afin d’éliminer l’utilisation d’enfants pendant les conflits. Elle a également été conseillère politique auprès du secrétaire d’État du Canada pour la région Asie-Pacifique.

Plus récemment, l’ambassadrice O’Neill a été Global Fellow au Canada Institute du Woodrow Wilson Center, professeur auxiliaire à l’Université Georgetown et membre du conseil du Conseil international du Canada. Elle est titulaire d’un baccalauréat en commerce de l’Université d’Alberta et d’une maîtrise de la Harvard Kennedy School of Government.

Caroline Quach-Thanh

Dre Caroline Quach-Thanh est professeure titulaire dans les départements de microbiologie, infectiologie & immunologie et de pédiatrie de l’Université de Montréal. Elle est professeure associée au Département d’épidémiologie, biostatistiques et santé au travail de l’Université McGill et collaboratrice scientifique à l’École de Santé Publique de l’Université libre de Bruxelles. Elle est l’officière en Prévention & Contrôle des infections du CHU Sainte-Justine où elle est également microbiologiste-infectiologue. Dre Quach est clinicienne-chercheure et titulaire de la Chaire de recherche du Canada, niveau 1, en prévention des infections.

Dre Quach a été la présidente du Comité consultatif national en immunisation de l’ASPC (2017‑2021) et est la présidente actuelle du Comité sur l’immunisation du Québec. Elle a été la présidente de l’Association de microbiologie médicale et de maladies infectieuses, Canada (2014‑2016). Elle a été reconnue comme Fellow de l’Académie canadienne des sciences de la santé et de la Society for Healthcare Epidemiology of America. Dre Quach a été sélectionnée comme l’une des Femmes les plus influentes du Canada en 2019 dans la catégorie Sciences et technologie (Manulife Science and Technology). Elle a reçu l’Ordre du mérite de l’Université de Montréal en 2021 et a été nommée officière de l’Ordre national du Québec en 2022.

Alexis Rapin

Alexis Rapin est chercheur en résidence à la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques de l'Université du Québec à Montréal. Il a notamment participé en 2019 à la création de l'Observatoire des conflits multidimensionnels dans cette même institution, et contribue depuis 2021 à la supervision du répertoire des cyberincidents canadiens. Il travaille notamment sur les transformations de la conflictualité, tels les enjeux de cybersécurité ou l’essor des stratégies de désinformation, et s'intéresse plus globalement à l'impact des nouvelles technologies sur la sécurité internationale. Il a signé ou co-signé plusieurs contributions académiques en français et en anglais, ainsi que de nombreux billets d’analyse et de vulgarisation. En 2021, il a participé à l'ouvrage Conflits, crimes et régulations dans le cyberespace (ISTE Éditions).

Madeleine Redfern

Madeleine Redfern est une femme autochtone impliquée dans la haute technologie et l’innovation. Elle participe activement aux technologies transformatrices dans les domaines des télécommunications, des transports et de l’énergie. Directrice de l’exploitation de CanArctic Inuit Networks Inc., qui s’est engagée à construire 3 000 km de câbles à fibres optiques marins dans l’Arctique canadien afin d’améliorer considérablement les télécommunications dans le Nunangat et le Nunavut inuits. PDG de SednaLink Marine Systems, qui transformerait des segments du câble à fibres optiques SednaLink en un SMART (science monitoring and reliable telecommunications) pour surveiller les changements climatiques marins, contribuer à la surveillance de l’environnement, en particulier près des zones marines protégées, et aider à la collecte de renseignements marins.

Martine Saint-Victor

Martine Saint-Victor est stratège en communication. Pendant près de 20 ans, elle a dirigé l’agence de relations publiques qu’elle a aussi fondée, avant de se joindre à Edelman à titre de Directrice générale du bureau de Montréal. Martine contribue régulièrement à la Montreal Gazette, à La Presse, à la radio et télévision de Radio-Canada et à la CBC.

Martine siège au conseil d’administration de la Fondation Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie, au conseil d’administration de l’IRPP (Institut de recherche en politiques publiques) et à celui de la Fondation KANPE. Elle est également membre du conseil d’administration de la Fondation de l’Institut de Cardiologie de Montréal et celui du Musée d’art contemporain de Montréal, en plus d’être présidente de son comité consultatif des communications. Elle est émissaire de la Diversité et de l’Inclusion du Start-Up Festival et membre fondatrice du Black Opportunity Fund.

Béatrice Vaugrante

Béatrice est Directrice, Développement du Mouvement mondial au secrétariat international (SI) d'Amnesty International depuis 2019. Elle a défini et mis en œuvre des stratégies de transformation organisationnelle pour accroitre l'impact en droits humains des 70 entités nationales opérant dans tous les continents: gouvernance, bien-être et sécurité, redevabilité collective, allocation des ressources financières, anti-racisme, conflits internes et menaces externes, croissance du mouvement. Elle conseille l'équipe de direction et le bureau exécutif mondial. Béatrice a été Directrice intérim, Stratégie mondiale et Impact au SI en 2018, préparant le Mouvement pour la nouvelle stratégie mondiale couvrant les enjeux prioritaires en droits humains.

Elle a été directrice générale d'Amnistie internationale Canada de 2007 à 2017. La sensibilisation et le plaidoyer sur les droits des peuples autochtones, la promotion des droits humains auprès des jeunes, le développement de partenariats, l'augmentation de la visibilité médiatique ont constitué son impact marquant. Elle a fait partie de 2011 à 2017 de l'Équipe de gestion mondiale d’Amnesty. 

Elle a reçu en 2016 le prix Hommage 40è de la Commission des droits de la personne du Québec.

Avant 2007, Béatrice a été directrice et consultante dans le secteur privé au Canada et en Europe. Elle détient un MBA de HEC Paris.

Laure Waridel

Laure Waridel est écosociologue PhD, professeure associée à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM et conseillère au cabinet juridique Trudel, Johnston & Lespérance. Consciente du fait que la société́ se transforme à force de choix individuels et collectifs, Laure Waridel est tombée dans la marmite de l’engagement citoyen lorsqu’elle avait 15 ans.

Cofondatrice d’Équiterre, pionnière du commerce équitable et de la consommation responsable au Québec, elle est aussi coauteure du Pacte pour la transition et coinstigatrice du mouvement Mères au front.

Elle est l’auteure des livres « Acheter, c’est voter », « L’Envers de l’assiette » et son plus récent « La transition, c’est maintenant ». Elle s’est aussi fait connaître par ses chroniques à la radio de Radio-Canada et dans la presse écrite. Elle tient une chronique dans le Journal de Montréal et le Journal de Québec.

Depuis des années, Laure Waridel cumule les distinctions dont un doctorat honoris causa de l’Université́ du Québec à Rimouski, l’Insigne du mérite de l’Université́ de Montréal, l’Ordre du Canada et l’Ordre du Québec. Mais pour Laure Waridel, ses deux plus grandes réalisations tiennent chacune sur deux jambes. Il s’agit de ses enfants : Colin et Alphée.

Aphrodite Salas - Modératrice - Panel 1

Aphrodite Salas est directrice du programme de diplôme d'études supérieures et professeure adjointe au département de journalisme de l'Université Concordia, où elle mène des recherches portant sur les formes collaboratives de journalisme visuel et plus particulièrement sur la décolonisation de l'enseignement du journalisme.

Ses travaux les plus récents comprennent des collaborations multimédias avec la communauté inuite d'Inukjuak, la communauté des Premières Nations Kiashke Zaaging Anishinaabek et CTV Montréal. Aphrodite est également animatrice d'ateliers et formatrice pour le Journalists for Human Rights Misinformation Project, dans le cadre duquel elle se concentre sur l'éducation aux médias et l'investigation numérique. Elle a formé des centaines d'étudiants en journalisme, de journalistes et d'experts en politique sur la façon d'identifier la désinformation et la mésinformation en ligne. En tant que journaliste, Aphrodite a travaillé dans tout le Canada et à l'étranger. Elle a passé plusieurs années à CTV, tant au niveau régional que national, en tant que reporter, présentatrice, journaliste vidéo et rédactrice en chef. Aphrodite a également été présentatrice principale à Global Québec, correspondante sur la colline parlementaire pour CityTV et animatrice de radio d'actualité sur 940 Montréal. Elle a reçu quatre prix RTDNA pour l'excellence de ses reportages.

Catherine François - Modératrice - Panel 3

Journaliste à Radio-Canada depuis 1993, Catherine François y a occupé différents postes à la radio puis à RDI quand le réseau a été lancé, où elle a exercé des fonctions à la rédaction, au pupitre, à l’actualité internationale. Depuis 2008, elle est correspondante de TV5 Monde au Canada où elle couvre l'actualité canadienne pour le 64, principal bulletin d'infos de TV5, ainsi que le site web de Tv5 Monde Info.