Changer de cap

Changer de cap

Événement en personne
4 mars 2020
12h00 – 13h30 / Entrée: 11h45

2410, chemin Sainte-Foy, Québec, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Cégep Ste-Foy à socio@cegep-ste-foy.qc.ca.

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À la Salle Albert-Rousseau, une conférence de la tournée de sensibilisation du mouvement "CHANGER DE CAP", un mouvement positif pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, limiter le réchauffement planétaire et assurer un avenir plus vert aux prochaines générations.

Soutenu par le Fonds d'action pour le climat du gouvernement fédéral, il s'agit d'une conférence de 60 à 90 minutes au cours de laquelle cinq anciens diplômés du programme de maîtrise en gestion de l'innovation sociale de HEC Montréal présenteront de courts documentaires ainsi que des témoignages afin de valoriser des initiatives concrètes mises en place au Québec pour assurer un avenir plus vert aux prochaines générations, que ce soit pour se loger, se déplacer, se nourrir ou s'outiller. Des périodes d'échanges sont aussi prévues pour permettre aux étudiants de s'exprimer sur ces enjeux.

 

6 THÉMATIQUES POUR CHANGER DE CAP

Les jeunes se sentent souvent impuissants devant l'ampleur des catastrophes climatiques appréhendées. Mais les changements climatiques sont influencés par nos choix collectifs et nos actes individuels. Cela signifie que nous pouvons faire une différence. Les diplômés de HEC agiront comme ambassadeurs pour redonner espoir à la jeunesse québécoise en présentant des pistes d'action concrètes dans les différentes sphères de leur vie.

 

Se déplacer

Le secteur des transports produit non seulement plus de 40 % des émissions de GES du Québec, mais celles-ci sont en croissance. À travers leur périple, les 5 diplômés de HEC Montréal s'intéressent aux solutions préconisées par des villes régionales comme Granby et investiguent des initiatives lancées par des organismes tels que Solon-LocoMotion.

 

Se loger

Intéressé par les techniques de construction écologique, le groupe participe à une corvée citoyenne de construction d'une maison de chanvre à Saint-Adrien et visite les maisons en ballots de paille du Écohameau de La Baie construites selon la technique dite «du GREB». Mais qu'en est-il en ville?

 

Se nourrir

Alors que l’intégrité des milieux naturels sera essentielle pour s’adapter aux changements climatiques et assurer notre sécurité alimentaire, le groupe de HEC Montréal rencontre des producteurs spécialisés en permaculture, visite le projet d'agriculture urbaine Hectare urbain et la pépinière d'arbres à noix La Borinière.

 

S'outiller 

Le développement des low techs ou basses technologies peu consommatrices en énergie peut grandement contribuer à réduire les émissions de GES. Accueilli comme woofers à l'Écohameau de la Baie, le groupe des 5 diplômés de HEC Montréal expérimente les techniques mises de l'avant par le GREB pour permettre une transition vers une société post-pétrolière. Ils poursuivent leur quête à Montréal auprès des ingénieurs de ALTE coop.

 

S’entraider

Les efforts collectifs sont absolument nécessaires pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C. Le groupe partage la vie des citoyens de Saint-Adrien, un village modèle qui a mis l’entraide au cœur de la communauté pour développer une alimentation locale et biologique, un programme de bâtiments durables, un projet d’écovillage axé sur l’autonomie alimentaire et assurer la transformation de l’église en un lieu de travail et de création afin de soutenir le développement social et culturel de la municipalité.

 

Se mobiliser

Le changement de cap nécessaire pour s’adapter aux changements climatiques passe nécessairement par une remise en question de notre mode de vie et de notre vision du monde. Comment se préparer aux bouleversements et trouver la force d’innover pour construire un avenir meilleur? Deux membres du groupe participent à une expédition sur un voilier où ils explorent l’autonomie, le travail collectif et l’entraide, tandis que les autres se prêtent à un atelier qui interroge notre reconnexion nécessaire à la nature, sans se priver de moments de joie et de rire.

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À la Salle Albert-Rousseau, une conférence de la tournée de sensibilisation du mouvement "CHANGER DE CAP", un mouvement positif pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, limiter le réchauffement planétaire et assurer un avenir plus vert aux prochaines générations.

Soutenu par le Fonds d'action pour le climat du gouvernement fédéral, il s'agit d'une conférence de 60 à 90 minutes au cours de laquelle cinq anciens diplômés du programme de maîtrise en gestion de l'innovation sociale de HEC Montréal présenteront de courts documentaires ainsi que des témoignages afin de valoriser des initiatives concrètes mises en place au Québec pour assurer un avenir plus vert aux prochaines générations, que ce soit pour se loger, se déplacer, se nourrir ou s'outiller. Des périodes d'échanges sont aussi prévues pour permettre aux étudiants de s'exprimer sur ces enjeux.

 

6 THÉMATIQUES POUR CHANGER DE CAP

Les jeunes se sentent souvent impuissants devant l'ampleur des catastrophes climatiques appréhendées. Mais les changements climatiques sont influencés par nos choix collectifs et nos actes individuels. Cela signifie que nous pouvons faire une différence. Les diplômés de HEC agiront comme ambassadeurs pour redonner espoir à la jeunesse québécoise en présentant des pistes d'action concrètes dans les différentes sphères de leur vie.

 

Se déplacer

Le secteur des transports produit non seulement plus de 40 % des émissions de GES du Québec, mais celles-ci sont en croissance. À travers leur périple, les 5 diplômés de HEC Montréal s'intéressent aux solutions préconisées par des villes régionales comme Granby et investiguent des initiatives lancées par des organismes tels que Solon-LocoMotion.

 

Se loger

Intéressé par les techniques de construction écologique, le groupe participe à une corvée citoyenne de construction d'une maison de chanvre à Saint-Adrien et visite les maisons en ballots de paille du Écohameau de La Baie construites selon la technique dite «du GREB». Mais qu'en est-il en ville?

 

Se nourrir

Alors que l’intégrité des milieux naturels sera essentielle pour s’adapter aux changements climatiques et assurer notre sécurité alimentaire, le groupe de HEC Montréal rencontre des producteurs spécialisés en permaculture, visite le projet d'agriculture urbaine Hectare urbain et la pépinière d'arbres à noix La Borinière.

 

S'outiller 

Le développement des low techs ou basses technologies peu consommatrices en énergie peut grandement contribuer à réduire les émissions de GES. Accueilli comme woofers à l'Écohameau de la Baie, le groupe des 5 diplômés de HEC Montréal expérimente les techniques mises de l'avant par le GREB pour permettre une transition vers une société post-pétrolière. Ils poursuivent leur quête à Montréal auprès des ingénieurs de ALTE coop.

 

S’entraider

Les efforts collectifs sont absolument nécessaires pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C. Le groupe partage la vie des citoyens de Saint-Adrien, un village modèle qui a mis l’entraide au cœur de la communauté pour développer une alimentation locale et biologique, un programme de bâtiments durables, un projet d’écovillage axé sur l’autonomie alimentaire et assurer la transformation de l’église en un lieu de travail et de création afin de soutenir le développement social et culturel de la municipalité.

 

Se mobiliser

Le changement de cap nécessaire pour s’adapter aux changements climatiques passe nécessairement par une remise en question de notre mode de vie et de notre vision du monde. Comment se préparer aux bouleversements et trouver la force d’innover pour construire un avenir meilleur? Deux membres du groupe participent à une expédition sur un voilier où ils explorent l’autonomie, le travail collectif et l’entraide, tandis que les autres se prêtent à un atelier qui interroge notre reconnexion nécessaire à la nature, sans se priver de moments de joie et de rire.

socio@cegep-ste-foy.qc.ca

Abrielle Sirois-Cournoyer

Diplômée de Polytechnique en génie mécanique, j’avais un fort désir, après mes études, de développer davantage mon esprit critique et mes connaissances du milieu communautaire et social. C’est pourquoi, j’ai décidé de m’inscrire à la maîtrise en gestion de l'innovation sociale à HEC Montréal. J’ai commencé à m’intéresser au low-tech afin de réfléchir à la façon de concevoir nos outils et techniques de demain. J’ai réalisé et terminé mon mémoire, en 2018, dans le but d’inspirer les futures générations à comprendre l’impact que peuvent avoir les techniques d’aujourd’hui et voir de quelle manière nos techniques peuvent nous rendre autonomes, être soutenables et accessibles au plus grand nombre.

José Fuca

Originaire de la région de Barcelone, j'habite au Québec depuis 2005. Dans ma quête pour comprendre la condition humaine et les divers modes de vie, j'ai fait un baccalauréat en anthropologie et expérimenté la réalisation cinématographique. En 2014, je me suis incrit au programme de maîtrise en gestion de l'innovation sociale à HEC Montréal. J'ai alors découvert et étudié le mouvement de la Décroissance conviviale et, en 2016, j'ai co-fondé le premier comité sur la Décroissance conviviale au sein du Forum social mondial (FSM), à Montréal. Actuellement, je suis médiateur à l’organisation Exeko où j'explore des questions sur les relations interculturelles et le vivre-ensemble.

Anne Gauthier

C’est aujourd'hui seulement que je réalise que le développement de notre pouvoir personnel, tant comme individu que comme communauté, guide mon parcours. C'est à la maîtrise en gestion de l'innovation sociale que j’ai découvert l’économie sociale. Pour mon mémoire, je suis allée au Nunavik étudier le rôle que jouent les coopératives dans le développement des communautés inuites. En tant que chargée de projets en innovation sociale, j'ai ensuite accompagné la réalisation de projets renforçant notre autonomie et celle des communautés par le partage des ressources, la prise de décision démocratique, l’action collective et la reconnexion avec la nature.

Johanna Baës

En 2014, j'obtiens un baccalauréat en marketing et développement durable à HEC Montréal. De 2015 à 2018, je co-coordonne CHNGR ("changer"), un projet pilote, par les étudiant.e.s pour les étudiant.e.s., visant à faire la promotion du modèle de l'économie sociale et solidaire (Coop, OBNL) dans les cégeps et les universités. Ce programme me permet de partager et d'affermir mes valeurs personnelles et professionnelles : solidarité, propriété collective, équité, diversité et justice sociale et environnementale.

Stéphane Chalmeau

Stéphane a toujours été très curieux de connaître le fonctionnement du monde qui l’entoure. En 2015, Stéphane entame un PhD. sur la décroissance et la relocalisation des activités économiques. Il approfondit ses connaissances sur l’économie mais également l’écologie, la sociologie ou la philosophie. Depuis 3 ans, Stéphane sent la nécessité de faire « redescendre » ses idées dans le monde à travers ses choix personnels et professionnels. Comment toute cette connaissance peut permettre d’adopter un mode de vie et contribuer à des projets qui soient en davantage en cohérence avec les valeurs centrales telle que l’écologie, la justice sociale et le bien-être humain ?