Journées ERE 2021 - Arts & ERE: perspectives littéraires
Centr'ERE présente

Journées ERE 2021 - Arts & ERE: perspectives littéraires

Événement en personne
7 octobre 2021
13h30 – 16h30 / Entrée: 13h15

1430, rue Saint-Denis, Montréal, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter Centr'ERE à ere@uqam.ca.

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Jeudi 7 octobre 2021, de 13h30 à 16h30

Salle D-R200, Pavillon Athanase-David, Université du Québec à Montréal, 1430 rue Saint-Denis

Aussi en ligne, sur Zoom

 

Dans le cadre des Journées de l’éducation relative à l’environnement 2021 qui ont lieu du 5 au 14 octobre à l’Université du Québec à Montréal, organisées par  le Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté  (Centr’ERE).

Face aux questions socialement vives, la diversité des pratiques artistiques contemporaines

contribue à une redéfinition de nos rapports à soi, aux autres et au monde. Ainsi comment les formes et pratiques littéraires qui explorent différents rapports à l’environnement de même que les approches théoriques qui en proposent la saisie (par exemple l’écocritique, l’écopoétique, la géopoétique, le nature writing, les humanités environnementales, les écoféminismes, la Queer ecology,  autres ?) peuvent-ils s’inscrire dans ou enrichir une démarche d’éducation relative à l’environnement ? La demi-journée Art & ERE propose ici trois courtes conférences suivies d’une table ronde offrant différentes perspectives littéraires qui explorent une diversité de rapports à l’environnement. 

Avec la participation de: Rachel Bouvet, professeure titulaire au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal Catherine Cyr, professeure au Département d’études littéraires de l’UQAM Jeanne Murray-Tanguay, candidate à la maîtrise en études littéraires à l’UQAM Jonathan Hope, professeur au Département d’études littéraires de l’UQAM Tom Berryman, professeur au Département de didactique de l’UQAM et chercheur régulier du Centr’ERE Marie-Hélène Massie, chargée de cours et conseillère pédagogique à l’Université de Sherbrooke

Animation : Vincent Bouchard-Valentine, professeur de pédagogie musicale au Département de musique de l’UQAM et chercheur régulier du Centr’ERE

Vérification des disponibilités en cours...

Jeudi 7 octobre 2021, de 13h30 à 16h30

Salle D-R200, Pavillon Athanase-David, Université du Québec à Montréal, 1430 rue Saint-Denis

Aussi en ligne, sur Zoom

 

Dans le cadre des Journées de l’éducation relative à l’environnement 2021 qui ont lieu du 5 au 14 octobre à l’Université du Québec à Montréal, organisées par  le Centre de recherche en éducation et formation relatives à l’environnement et à l’écocitoyenneté  (Centr’ERE).

Face aux questions socialement vives, la diversité des pratiques artistiques contemporaines

contribue à une redéfinition de nos rapports à soi, aux autres et au monde. Ainsi comment les formes et pratiques littéraires qui explorent différents rapports à l’environnement de même que les approches théoriques qui en proposent la saisie (par exemple l’écocritique, l’écopoétique, la géopoétique, le nature writing, les humanités environnementales, les écoféminismes, la Queer ecology,  autres ?) peuvent-ils s’inscrire dans ou enrichir une démarche d’éducation relative à l’environnement ? La demi-journée Art & ERE propose ici trois courtes conférences suivies d’une table ronde offrant différentes perspectives littéraires qui explorent une diversité de rapports à l’environnement. 

Avec la participation de: Rachel Bouvet, professeure titulaire au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal Catherine Cyr, professeure au Département d’études littéraires de l’UQAM Jeanne Murray-Tanguay, candidate à la maîtrise en études littéraires à l’UQAM Jonathan Hope, professeur au Département d’études littéraires de l’UQAM Tom Berryman, professeur au Département de didactique de l’UQAM et chercheur régulier du Centr’ERE Marie-Hélène Massie, chargée de cours et conseillère pédagogique à l’Université de Sherbrooke

Animation : Vincent Bouchard-Valentine, professeur de pédagogie musicale au Département de musique de l’UQAM et chercheur régulier du Centr’ERE

Rachel Bouvet

Professeure au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal, Rachel Bouvet mène des recherches sur l’espace, le fantastique, la géopoétique et le végétal. Elle a publié 3 essais : Étranges récits, étranges lectures. Essai sur l’effet fantastique (PUQ, 2007 [1998]), Pages de sable. Essai sur l'imaginaire du désert (XYZ, 2006), Vers une approche géopoétique. Lectures de K. White, V. Segalen et J.M.G. Le Clézio (PUQ, 2015) et 2 récits : Le vent des rives et Tisser les voix (Mémoire d’encrier, 2014, 2019). Elle a également codirigé une dizaine d’ouvrages collectifs. Membre de Figura, le Centre de recherche sur le Texte et l’Imaginaire, elle a co-fondé La Traversée-Atelier de géopoétique. Elle dirige le Groupe de recherche L’imaginaire botanique et la sensibilité écologique ainsi que GRIVE, le Groupe de recherche interdisciplinaire sur le végétal et l’environnement.

Catherine Cyr

Catherine Cyr est professeure au Département d’études littéraires de l’UQAM. Ses recherches portent sur les imaginaires du corps, sur les pratiques immersives et sur les approches écopoétiques dans les champs de la littérature et des arts vivants. Elle a été membre de la rédaction de la revue Jeu et elle codirige maintenant, avec Jean-Paul Quéinnec, la revue Percées. Récemment, elle a fait paraître les dossiers thématiques « Brigitte Haentjens : mouvances du texte et imaginaires du féminin » (L’Annuaire théâtral, 2018) et « Corps scéniques, textes, textualités » (Percées, 2020).

Jeanne Murray-Tanguay

Jeanne Murray-Tanguay est candidate à la maîtrise en études littéraires à l’UQAM. Son mémoire, dirigé par Catherine Cyr, porte sur la trilogie théâtrale Trois de Mani Soleymanlou et s’inscrit au croisement des théories de la lecture dramatique et de la poétique du drame. Elle travaille actuellement comme auxiliaire de recherche pour le projet « Approches écopoétiques des dramaturgies québécoises contemporaines » et pour la production du tome VIII de La vie littéraire au Québec. Elle agit également à titre de secrétaire de rédaction pour la revue Percées et s’implique auprès de la Société québécoise d’études théâtrales en tant que conseillère.

Tom Berryman

Depuis les années 1970, Tom Berryman s’interroge sur le rapport au monde des êtres humains et de leurs sociétés. Parmi des jalons de cette histoire de vie, on trouve la randonnée pédestre, la fondation d’un groupe écologiste et d’un projet de tri à la source au CEGEP et à Ville Saint-Laurent, un baccalauréat en biologie-écologie, le travail en interprétation de la nature et en éducation relative à l’environnement au mont Royal. C’est durant ces années au mont Royal que les enjeux de langage et d’environnement commencent à orienter son action éducative et son écriture. En plus d’une maitrise sur les relations à l’environnement dans le développement humain, il réalise un doctorat sur les enjeux d’institutionnalisation de l’éducation relative à l’environnement dans la formation des enseignants et finalement un postdoctorat portant sur la pratique des autosociobiographies environnementales comme voie de formation. Cette dernière pratique mobilise d’ailleurs un langage différent en matière d’environnement et de rapport au monde. Professeur à l’UQAM, il explore notamment l’histoire de la pensée écologique. En gardant à l’esprit des perspectives historiques et critiques, ses travaux portent sur les relations de co-formation entre l’être humain, la société et la nature. Dans toutes ces relations, la langue est une médiation importante sur laquelle il importe de veiller.

Kateri Lemmens

Écrivaine et professeure de lettres à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) Kateri Lemmens a vu certains de ses travaux littéraires (essais, poésies, fictions, traductions) publiés et parfois primés au Québec, au Moyen-Orient et en Europe. Elle a récemment codirigé deux collectifs Que sait la littérature (avec Normand Baillargeon, Leméac, 2019), Explorer, créer, bouleverser (Nota Bene, 2019) et fait paraître un recueil de poésies : Passer l’hiver (Noroît, 2020). Elle s'intéresse aux théories et pratiques de la création littéraire et aux écritures du vivant et de la nature. Elle participe actuellement aux projets «Littécriture» (UBO, Rennes 2, UQAR) et «Risques naturels associés à la remobilisation sédimentaire et impacts sur les dynamiques de productivité primaire dans l’estuaire du Saint-Laurent» (dirigé par Jean-Carlos Montero-Serrano et Audrey Limoge, collaboration entre ISMER-UQAR, UNB, Laval, Dalhousie et commission géologique du Canada, financé par RQM et MEOPAR).

Marie-Hélène Massie

Après avoir enseigné au préscolaire et au primaire durant une dizaine d’années, Marie-Hélène Massie est maintenant superviseure de stage, conseillère pédagogique et chargée de cours à l’Université de Sherbrooke. Elle intervient particulièrement dans le domaine de la littérature jeunesse et du développement professionnel. Inscrite au doctorat, son projet porte sur la créativité des personnes enseignantes.