Aliocha + Soran
District 7 Productions présente

Aliocha + Soran

Événement en personne
28 février 2018
20h30 – 23h30 / Entrée: 19h30

251 Rue Dorchester, Québec, QC, Canada
Pour plus d'information à propos de cet événement, veuillez contacter District 7 Production à district7prod@gmail.com.

Achat de billets

« Imperfection is in some sort essential to all that we know of life. […] in all things that live there are certain irregularities and deficiencies which are not only signs of life, but sources of beauty. »

Si un siècle ne les séparait pas, Aliocha et l’auteur de ces lignes, John Ruskin, parleraient d’une même voix. Puisque c’est bien de cette « humanité » génératrice de beauté dont Aliocha se réclame. Celle-là même qui jaillit des titres de Bob Dylan et d’Eliott Smith, de Lennon et de Nick Drake; une audible et poignante « imperfection » qui en a fait, jeune, un autodidacte fuyant la froideur du standard, le faux brillant du « normalisé ».

Connu tôt pour son jeu, sur les planches, puis au petit et au grand écran, le benjamin de la famille Schneider — un père homme de théâtre, une mère femme d’affaire et mannequin et une fratrie d’artistes —, s’est pourtant rêvé songwriter l’essentiel de son temps. Rencontré au hasard d’un café, c’est le fascinant et fasciné Jean Leloup qui, le premier, lui permettra l’audace de l’être. Avec lui et ses « Last Assassins », Aliocha matérialisera en studio les ébauches d’un premier gravé — huit maquettes qui lui donneront aussi sa première maison de disques, Audiogram.

De là, entre Paris, Montréal et Los Angeles, l’auteur-compositeur-interprète se profile, émerge. Obsédé par l’invention d’un verbe qui serait sien, lorsqu’il fait la rencontre à Paris du brillant réalisateur Samy Osta (La Femme, Feu! Chatterton, Juniore), il sait qu’il se conjuguera désormais à la première personne du pluriel; la complicité est absolue.

Derrière la console vintage d’un studio de Göteborg, en Suède, puis plus tard à Paris, les deux, joints un moment par le batteur Ludwig Dahlberg (Indochine, The International Noise Conspiracy), immortaliseront les sessions dont seront tirées deux albums : un premier « extended play », Sorry Eyes, paru à l’automne 2016 — et qui a vu Aliocha joindre Le Label de PIAS en France —, puis un « long play », Eleven Songs, attendu au Canada et en Europe le 2 juin 2017.

Incarnés sur scène par de jeunes hommes modernes, des complices adroits au charisme original — son frère Volodia Schneider, batteur, le multi-instrumentiste Christian Sean et le bassiste Tom Tartarin, — ses titres vibrent, gagnent en force et en caractère, promettant une suite à mille lieues de l’ordinaire… Ce dont ont d’ailleurs attesté les spectacles des quatre jusqu’ici, au Québec, en France, en Allemagne, en Belgique et en Suisse — au MaMa, à Bars en Trans, à M pour Montréal, au FME, à Montréal en Lumière, et en ouverture de Charlotte Cardin, notamment.

Moins de deux ans après la parution d’un premier disque encensé par la critique, nommé deux fois au Gala de l’ADISQ et gagnant du prix Album Indie Rock de l’année au GAMIQ, Bernhari revient se brûler aux feux de la rampe avec un album sombre, pop et poétique, qui sonne comme un croisement entre la nouvelle chanson française, la musique d’un film de David Lynch et du bon vieux glam rock. C’est épique, mélancolique, post-romantique, sur fond de claviers intergalactiques et de riffs de guitares hydroélectriques.

Réalisé par Emmanuel Ethier (Chocolat, Peter Peter), arrangé par Bernhari, Emmanuel Ethier et Shawn Cotton, enregistré par Francois-Régis Pagé, mixé par Mathieu Parisien (Karkwa, Patrick Watson), Île Jésus nous transporte dans un monde sombre où l’amour est roi, et la mort, reine. 

L’artiste remporte une fois de plus le prix de l’Album de l’année Indie Rock au GAMIQ, est en lice au Prix Félix-Leclerc et Île Jésus s'est retrouvé en nomination au Gala de l’ADISQ 2016 dans la catégorie Album de l'année – Alternatif. Entre temps, l’auteur-compositeur-interprète s’est produit sur de nombreuses scènes prestigieuses, notamment à South by Southwest, à Osheaga, aux FrancoFolies de Montréal, au Festival d’été de Québec et à Paris lors du festival Aurores Montréal.

À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet au restaurant du Cercle (valide en tout temps, non seulement le soir du spectacle). Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement. Réservez maintenant!

Remboursements
Aucun remboursement
Échanges
Aucun échange
Gratuité pour les enfants
Aucune gratuité
Accès pour personnes à mobilité réduite
Oui
Gratuité pour l'accompagnateur
Non
Vérification des disponibilités en cours...

« Imperfection is in some sort essential to all that we know of life. […] in all things that live there are certain irregularities and deficiencies which are not only signs of life, but sources of beauty. »

Si un siècle ne les séparait pas, Aliocha et l’auteur de ces lignes, John Ruskin, parleraient d’une même voix. Puisque c’est bien de cette « humanité » génératrice de beauté dont Aliocha se réclame. Celle-là même qui jaillit des titres de Bob Dylan et d’Eliott Smith, de Lennon et de Nick Drake; une audible et poignante « imperfection » qui en a fait, jeune, un autodidacte fuyant la froideur du standard, le faux brillant du « normalisé ».

Connu tôt pour son jeu, sur les planches, puis au petit et au grand écran, le benjamin de la famille Schneider — un père homme de théâtre, une mère femme d’affaire et mannequin et une fratrie d’artistes —, s’est pourtant rêvé songwriter l’essentiel de son temps. Rencontré au hasard d’un café, c’est le fascinant et fasciné Jean Leloup qui, le premier, lui permettra l’audace de l’être. Avec lui et ses « Last Assassins », Aliocha matérialisera en studio les ébauches d’un premier gravé — huit maquettes qui lui donneront aussi sa première maison de disques, Audiogram.

De là, entre Paris, Montréal et Los Angeles, l’auteur-compositeur-interprète se profile, émerge. Obsédé par l’invention d’un verbe qui serait sien, lorsqu’il fait la rencontre à Paris du brillant réalisateur Samy Osta (La Femme, Feu! Chatterton, Juniore), il sait qu’il se conjuguera désormais à la première personne du pluriel; la complicité est absolue.

Derrière la console vintage d’un studio de Göteborg, en Suède, puis plus tard à Paris, les deux, joints un moment par le batteur Ludwig Dahlberg (Indochine, The International Noise Conspiracy), immortaliseront les sessions dont seront tirées deux albums : un premier « extended play », Sorry Eyes, paru à l’automne 2016 — et qui a vu Aliocha joindre Le Label de PIAS en France —, puis un « long play », Eleven Songs, attendu au Canada et en Europe le 2 juin 2017.

Incarnés sur scène par de jeunes hommes modernes, des complices adroits au charisme original — son frère Volodia Schneider, batteur, le multi-instrumentiste Christian Sean et le bassiste Tom Tartarin, — ses titres vibrent, gagnent en force et en caractère, promettant une suite à mille lieues de l’ordinaire… Ce dont ont d’ailleurs attesté les spectacles des quatre jusqu’ici, au Québec, en France, en Allemagne, en Belgique et en Suisse — au MaMa, à Bars en Trans, à M pour Montréal, au FME, à Montréal en Lumière, et en ouverture de Charlotte Cardin, notamment.

Moins de deux ans après la parution d’un premier disque encensé par la critique, nommé deux fois au Gala de l’ADISQ et gagnant du prix Album Indie Rock de l’année au GAMIQ, Bernhari revient se brûler aux feux de la rampe avec un album sombre, pop et poétique, qui sonne comme un croisement entre la nouvelle chanson française, la musique d’un film de David Lynch et du bon vieux glam rock. C’est épique, mélancolique, post-romantique, sur fond de claviers intergalactiques et de riffs de guitares hydroélectriques.

Réalisé par Emmanuel Ethier (Chocolat, Peter Peter), arrangé par Bernhari, Emmanuel Ethier et Shawn Cotton, enregistré par Francois-Régis Pagé, mixé par Mathieu Parisien (Karkwa, Patrick Watson), Île Jésus nous transporte dans un monde sombre où l’amour est roi, et la mort, reine. 

L’artiste remporte une fois de plus le prix de l’Album de l’année Indie Rock au GAMIQ, est en lice au Prix Félix-Leclerc et Île Jésus s'est retrouvé en nomination au Gala de l’ADISQ 2016 dans la catégorie Album de l'année – Alternatif. Entre temps, l’auteur-compositeur-interprète s’est produit sur de nombreuses scènes prestigieuses, notamment à South by Southwest, à Osheaga, aux FrancoFolies de Montréal, au Festival d’été de Québec et à Paris lors du festival Aurores Montréal.

À l'achat d'un billet de spectacle en prévente, Le Cercle vous offre 20% de rabais pour un souper complet au restaurant du Cercle (valide en tout temps, non seulement le soir du spectacle). Ce forfait est valide sur présentation d'une preuve d'achat ou du billet uniquement. Réservez maintenant!

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Aucune gratuité
Accès pour personnes à mobilité réduite
Oui
Gratuité pour l'accompagnateur
Non

Aliocha

« Imperfection is in some sort essential to all that we know of life. […] in all things that live there are certain irregularities and deficiencies which are not only signs of life, but sources of beauty. »

Si un siècle ne les séparait pas, Aliocha et l’auteur de ces lignes, John Ruskin, parleraient d’une même voix. Puisque c’est bien de cette « humanité » génératrice de beauté dont Aliocha se réclame. Celle-là même qui jaillit des titres de Bob Dylan et d’Eliott Smith, de Lennon et de Nick Drake; une audible et poignante « imperfection » qui en a fait, jeune, un autodidacte fuyant la froideur du standard, le faux brillant du « normalisé ».

Connu tôt pour son jeu, sur les planches, puis au petit et au grand écran, le benjamin de la famille Schneider — un père homme de théâtre, une mère femme d’affaire et mannequin et une fratrie d’artistes —, s’est pourtant rêvé songwriter l’essentiel de son temps. Rencontré au hasard d’un café, c’est le fascinant et fasciné Jean Leloup qui, le premier, lui permettra l’audace de l’être. Avec lui et ses « Last Assassins », Aliocha matérialisera en studio les ébauches d’un premier gravé — huit maquettes qui lui donneront aussi sa première maison de disques, Audiogram.

De là, entre Paris, Montréal et Los Angeles, l’auteur-compositeur-interprète se profile, émerge. Obsédé par l’invention d’un verbe qui serait sien, lorsqu’il fait la rencontre à Paris du brillant réalisateur Samy Osta (La Femme, Feu! Chatterton, Juniore), il sait qu’il se conjuguera désormais à la première personne du pluriel; la complicité est absolue.

Derrière la console vintage d’un studio de Göteborg, en Suède, puis plus tard à Paris, les deux, joints un moment par le batteur Ludwig Dahlberg (Indochine, The International Noise Conspiracy), immortaliseront les sessions dont seront tirées deux albums : un premier « extended play », Sorry Eyes, paru à l’automne 2016 — et qui a vu Aliocha joindre Le Label de PIAS en France —, puis un « long play », Eleven Songs, attendu au Canada et en Europe le 2 juin 2017.

Incarnés sur scène par de jeunes hommes modernes, des complices adroits au charisme original — son frère Volodia Schneider, batteur, le multi-instrumentiste Christian Sean et le bassiste Tom Tartarin, — ses titres vibrent, gagnent en force et en caractère, promettant une suite à mille lieues de l’ordinaire… Ce dont ont d’ailleurs attesté les spectacles des quatre jusqu’ici, au Québec, en France, en Allemagne, en Belgique et en Suisse — au MaMa, à Bars en Trans, à M pour Montréal, au FME, à Montréal en Lumière, et en ouverture de Charlotte Cardin, notamment.

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