Anonymus

Maintenant qualifié de vétéran du métal québécois, ANONYMUS propose depuis 1989, une passion pour la musique agressive et furieuse. Et cette passion, ne semble pas vouloir s’estomper avec les années, comme en témoigne leur dernier joyaux “État Brute”, en magasin aujourd’hui.

“État Brute”, sixième album du groupe est le résultat du désir de revenir aux sources et de faire quelque chose de beaucoup plus agressif. Le but de composer des bonnes chansons et non de révolutionner le métal anime le quatuor. Les idées abondent dans le même sens: faire un album thrash métal à l’état brut…et en français. ANONYMUS veut prouver une fois pour toute que le métal dans la langue de Molière peut être destructeur.

Avec des chansons comme Enragé (participation spéciale de Sébastien Croteau), Je suis la bête, Maîtres chez nous, À la vie, à la mort, on se doute bien que le nouvel album du groupe ne fait pas dans la dentelle. Dix chansons simples, violentes et qui vont droit au but. Des textes furieux, engagés et personnels signés Oscar Souto qui relatent ses propres déboires, ceux de l’être humain et de la société qui ne cesse de s’engouffrer. Le tout enregistré et réalisé au studio Badass 2.0, du guitariste Jef Fortin, qui est à sa première participation sur un album d’ANONYMUS depuis qu’il a intégré le groupe en 2006.

Depuis 2006, ANONYMUS n’a pas chômé. Sortie de l’album “Chapter Chaos Begins”, en octobre 2006, une tournée du Québec, du Canada et de la France qui durera environ 2 ans. Pendant la tournée, ils travaillent dans le plus grand secret sur “Musique Barbare”, second opus en compagnie de Mononc’ Serge qui sortira en novembre 2008. Durant la tournée de “Musique Barbare”, le groupe lance la compilation “XX Métal”, qui inclut un CD/DVD, pour souligner le 20ième anniversaire d’ANONYMUS accompagné d’une tournée au Québec avec Marco Calliari. Mononc’ Serge et Anonymus feront environ 200 concerts au Québec, en France, en Belgique et en Suisse avec l’aventure “Musique Barbare”. Pour immortaliser le tout en beauté, un DVD intitulé « Final Bâton » verra le jour question de garder un souvenir audio-visuel impérisable sur les deux dernières années de tournées communes remplies de vulgarité et de moments hilarants.

Le retour d’ANONYMUS à l’état brut et en français!

HeadeXist

Headexist est un parfait mélange de cinq ingrédients douteux, flous et huileux qui a vu le jour, il y a déjà quelques lunes à Shawinigan petite ville québécoise située non loin de Montréal.

Après maintes consultations, réunions et party de Noël bien arrosés, Satan, Bouddha et M.net, les concepteurs officiels d’Headexist, trouvaient qu’il manquait réellement quelque chose à ce monde parfois terne et triste. Ils décidèrent donc d’y implanter leur projet le plus flamboyant et redoutable qui soit: Headexist ! Pour ce faire, ils devaient trouver la mixture parfaite.

Ils y ont introduit, pour débuter, Yannick Proteau, un élément mélodieux et hurlant qui apportera de la consistance à cette mixture douteuse ! Ensuite, comme second ingrédient au rendez-vous, ils y ajoutèrent Sébastien Casabon, une épice aux variations subtiles et perspicaces qui rehaussera de beaucoup la recette!

La consistance et les nuances en place, ils devaient y mettre un brin de saveur ! C’est pourquoi, après maintes consultations avec leurs supérieurs, ils y ont incorporé Steven Cole question d’accroître le piquant et l’intensité, mais surtout, pour un rythme à faire frémir n’importe quelle créature !

Le bal était lancé, mais Headexist nécessitait davantage de puissance et de sauvagerie! Voilà pourquoi Mike D, ce puissant soldat de la vérité, y fut conjugué! «Enfin !» S’exclama

Bouddha haut et fort, « nous détenons la recette idéale! ». Mais Satan, loin de partager cet avis loufoque, s’écria : « mais ô combien vous êtes bêtes chères confrères! Nous devons y ajouter un peu de puissance et de couleur !». Un peu de sang et d’obscurité pensa-t-il tout bas… Il proposa donc d’y mêler Adrien Williamson, un ingrédient très rare que seul Satan pouvait manipuler et auquel seuls les dieux les plus ténébreux avaient accès. Il prit l’ingrédient et le brassa sans plus tarder dans l’immense marmite. Une fois le mélange hétérogène, on laissa les éléments mariner et se frapper sur la gueule… Headexist était né!